( 1 novembre, 2010 )

Pierre-Luc SÉGUILLON-Décédé

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 Pierre-Luc SÉGUILLON-Décédé

Pierre-Luc SÉGUILLON
Biographie de Pierre-Luc SÉGUILLON : 

Journaliste (Francais)
Né le 13 septembre 1940
Décédé le 01 novembre 2010 (à l’âge de 70 ans)

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Pierre-Luc Séguillon, parfois surnommé par ses initiales PLS, est un journaliste français de radio et de télévision, né le 13 septembre 1940 à Nancy et mort le 1er novembre 2010 à Paris.

Titulaire d’une licence d’arabe (Institut français de Damas – Faculté des lettres de Lyon) et d’une licence de philosophie et de théologie (Collège supérieur de théologie d’Eveux), Pierre-Luc Séguillon est diplômé de l’Institut des lettres orientales (université Saint-Joseph de Beyrouth).

De 1970 à 1983, il est reporter, rédacteur en chef adjoint, puis rédacteur en chef de l’hebdomadaire Témoignage chrétien. Militant socialiste, il a siégé au collectif de politique étrangère du Parti Socialiste entre 1980 et 1983.[réf. souhaitée] En 1983, il est le directeur de la revue L’Enjeu.

En 1983, il rejoint TF1 pour diriger le service politique[3]. En 1984, il anime l’émission hebdomadaire Midi presse. De 1985 à 1987. souhai, il co-anime avec Anne Sinclair l’émission Questions à domicile.

En 1987, il rejoint La Cinq pour y devenir éditorialiste et chef du service politique. Jusqu’à la disparition de la chaîne en 1992, il anime plusieurs émissions dont la mensuelle La preuve par Cinq (1987-1988) et l’hebdomadaire Aparté (1989-1992[réf. souhaitée]). Parallèlement, de 1990 à 1998, il anime l’émission hebdomadaire Regarde le monde sur Canal J. De 1993 à 1994[réf. souhaitée], il est éditorialiste politique quotidien sur la radio BFM et animateur de l’émission culturelle hebdomadaire Sortie de Secours sur Paris Première.

En 1994, il participe à la création de LCI, la chaîne d’information en continu du groupe TF1. Jusqu’en 2008, il est éditorialiste politique, animateur de débats et d’entretiens politiques. À partir de septembre 1996, il participe à l’émission d’interview politique dominicale Le Grand Jury avec RTL[5]. Parallèlement, de 1996 à 2002, il préside le conseil de surveillance de l’hebdomadaire Témoignage chrétien. De 2003 à 2006[réf. souhaitée], il anime l’émission mensuelle J’ai aimé un cheval sur Équidia. À partir de 2004[réf. souhaitée], il assure une chronique politique mensuelle dans la revue L’essentiel des Relations internationales. À partir de 2008[réf. souhaitée], il anime l’émission littéraire mensuelle L’Esprit des Lettres sur la chaîne de télévision catholique KTO.

Fin décembre 2008, il quitte LCI, précisant que la chaîne a décidé de ne pas renouveler son contrat[6]. En 2009, il devient éditorialiste politique sur i>Télé.

En avril 2004, il est fait chevalier de la Légion d’honneur.

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( 31 octobre, 2010 )

Maurice LUCAS-Décédé

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 Maurice LUCAS-Décédé

Maurice LUCAS

Biographie de Maurice LUCAS :
Basketeur, Entraineur et Sportif (Américain)
Né le 18 février 1952
Décédé le 31 octobre 2010 (à l’âge de 58 ans)
 
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Maurice Lucas, né le 18 février 1952 à Pittsburgh, Pennsylvanie, et mort le 31 octobre 2010, est un joueur américain de basket-ball. Il fut entraîneur assistant de l’équipe NBA des Portland Trail Blazers.

Lucas joua à l’université Marquette durant deux années, atteignant la finale du tournoi NCAA en 1974. Bien que Marquette ne remporta pas le titre, Lucas disputa l’intégralité de la rencontre, inscrivant 21 points et 13 rebonds.

En 1974, il fut sélectionné par les Chicago Bulls au 14e rang de la draft 1974. Cependant, il décida de rejoindre l’American Basketball Association et les Saint-Louis Spirits et fut nommé dans la ABA All-Rookie 2nd team en 1975. Au cours de la saison suivante, Lucas fut transféré aux Kentucky Colonels jusqu’à ce que la ABA fusionne avec la NBA en 1976. Lucas fut élu « ABA All-Star » lors de la saison 1975-76.

Lucas fut sélectionné par les Portland Trail Blazers lors de la draft de dispersion. Lors de la saison 1976-1977, Lucas était le leader des Trail Blazers au nombre de points marqués, au nombre de minutes jouées, au pourcentage de réussite aux tirs, aux lancers-francs, ainsi qu’aux rebonds offensifs. Non seulement l’équipe se qualifia alors pour les playoffs pour la première fois lors de cette saison, mais Lucas et son coéquipier Bill Walton menèrent les Trail Blazers au titre de champion en éliminant le favori, les Los Angeles Lakers, en les battant 4-0 lors de la Finale de la Conférence Ouest, et remportant les Finales NBA en battant 4-2 les Philadelphia 76ers. Lors de cette série, Lucas affirma son rôle d’enforcer lors de la deuxième rencontre. Alors que les 76ers menaient confortablement lors de cette rencontre, les Blazers remontaient au score. Lionel Hollins manqua un tir, Bob Gross et Darryl Dawkins se battirent pour capter le rebond et les deux tombèrent au sol. Les deux allaient s’affronter lorsque Lucas mit une claque à Dawkins par derrière et le défia alors dans cette bagarre à la place de Gross. Les deux bancs intervinrent et Dawkins et Lucas furent exclus. Bien que les 76ers remportèrent le match et menaient la série 2-0, l’action de Lucas fut perçue comme le moment qui fit basculer la série en faveur des Blazers. Portland gagna les deux matchs suivants à domicile, puis alla gagner à Philadelphie, pour finalement remporter cette série sur le parquet de Philadelphie. Lucas demeura à Portland jusqu’en 1980 quand il fut transféré aux New Jersey Nets.

Lucas changea ensuite fréquemment d’équipe, évoluant sous les couleurs des New York Knicks, des Phoenix Suns, des Los Angeles Lakers et des Seattle SuperSonics avant de retourner à Portland pour sa dernière saison professionnelle en 1987-1988. En 14 années de carrière, (2 en ABA, 12 en NBA), Lucas inscrivit 14 857 points, 9 306 rebonds et fut à 5 reprises All-Star (1 fois en ABA, 4 fois en NBA). Il fut nommé en 1978 dans la All-NBA-Defense First team, dans la All-NBA Second team, et en 1979 dans la All-NBA-Defense Second team. Les Trail Blazers ont retiré son maillot numéro 20, lors d’une cérémonie qui s’est déroulée le 4 novembre 1988. Lucas fut également entraîneur assistant de Mike Schuler et Rick Adelman lors de la saison 1988-1989.

En 2005, Lucas revient chez les Trail Blazers en tant qu’assistant de l’entraîneur Nate McMillan.

L’ailier des Los Angeles Lakers Luke Walton, fils de Bill Walton, ancien coéquipier de Lucas à Portland est prénommé ainsi en son honneur.

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( 25 octobre, 2010 )

Gregory Isaacs -Décédé

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Gregory ISAACS – 25-10-2010
« L’une des plus belles voix de l’histoire du reggae s’est éteinte tôt lundi matin: Gregory Isaacs, crooner extraordinaire aux chapeaux et costumes distingués ayant connu le succès international dès la fin des années 70, est décédé dans un hôpital londonien des suites d’un cancer du poumon. Le «Cool Ruler» – du nom d’un album classique de 1978 – avait 59 ans. En compagnie des regrettés Bob Marley et Dennis Brown, Gregory Isaacs a contribué à la reconnaissance internationale de la scène musicale jamaicaine dans les années 70. Son timbre clair et mélancolique, son ton de voix calme et posé, la clarté de sa diction ont fait du Cool Ruler l’un des chanteurs les plus chéris par les amateurs de reggae. « … 

Gregory Isaacs

Nom de naissance Gregory Anthony Isaacs
Né 15 Juillet 1951 (1951-07-15)
Origine Kingston, Jamaïque
Mort 25 Octobre 2010 (59 ans)
Londres
Genres Reggae
Professions Singer – auteur-compositeur
Années actives 1968-2010
Gregory Isaacs (15 Juillet 1951 – 25 octobre 2010)  était un jamaïcain reggae musicien. Milo Miles, écrit dans le New York Times, décrit Isaacs comme « la plus exquise vocaliste en reggae ».

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Dès son adolescence, Isaacs est devenu un vétéran des concours talent qui régulièrement a eu lieu en Jamaïque. En 1968, il fait ses débuts de l’enregistrement avec un duo avec Winston Sinclair, « Une autre Heartache », enregistré pour le producteur Byron Lee.  Le single vendu mal et Isaacs ont faire équipe avec deux autres chanteurs (Penroe et Bramwell) dans le trio de courte durée correspond le, d’enregistrement de Rupie et Prince Buster. Le trio scindé en 1970 et Isaacs a lancé sa carrière de soliste, self-producing au départ des enregistrements et aussi d’enregistrement supplémentaire pour Edwards.  En 1973, il fait équipe avec un autre jeune chanteuse, Errol Dunkley pour démarrer le Musée de l’Afrique de l’ étiquette et de la boutique et bientôt avait un énorme coup de « My seulement Lover », considéré comme le premier enregistrement d’amateurs de rock jamais fait.  Il a enregistré pour les autres producteurs de financer davantage African Museum enregistrements, ayant une chaîne de grands succès dans les trois années qui ont suivi, allant des ballades aux racines reggae, y compris les « Tous les j’ont est Love », « Soldat Lonely », « Black a Kill Black », « Extra Classic » et sa version de couvrir Dobby Dobson de « Loving principal ».  En 1974, il a commencé à travailler avec le producteur Alvin Ranglin et cette année, il avait son premier jamaïcain numéro un unique avec « Love est souffrance ». Isaacs enregistré pour un grand nombre des principaux producteurs de la Jamaïque dans les années 70, dont Winston « Niney » Holness Gussie Clarke (« My Time »), Lloyd Campbell (« Slavemaster »), Glen Brown (« One un cacao Fill panier »), Harry Mudie, Roy Cousins, Sidney Crooks et Lee « Scratch » Perry (« m. flic »).  Par la fin des années 1970, Isaacs a été un des plus grands interprètes reggae dans le monde, régulièrement en tournée aux États-Unis et au Royaume-Uni et seulement contestée par Dennis Brown et Bob Marley.  Entre 1977 et 1978, Isaacs nouveau équipe avec Alvin Ranglin, enregistrement d’une chaîne de hits « Bordure » et « Numéro un » pour Ranglin l’étiquette du GG.

Devenus des vedettes internationales semblaient assurée en 1978 lorsque Isaacs signé à l’émanation de Virgin Records Front Line Records et apparaissent dans le film Rockers, dans lequel il produit « Slavemaster ».  Les albums de la Règle Cool et Peu avant, cependant, n’a pas de vendre aussi bien comme prévu,  même si elles sont maintenant considérés comme parmi ses meilleurs travaux.  En 1981, il a fait sa première apparition au festival Reggae Sunsplash (retour chaque année jusqu’en 1991), et il s’est rendu sur la ramification Charisma Records avant, qui a publié ses albums le Lonely et Plus Gregory avec une chaîne de singles plus réussies, y compris « Tune In », « Lover permanente », « Rudy Wailing » et « Hommage à Waddy ».  Il a signé pour une Île aux documents et libéré le dossier qui lui a enfin vu percer un public plus vaste, « Infirmière de nuit », la voie du titre de son premier album de l’étiquette (Infirmière de nuit (1982)).  Bien que « Infirmière de nuit » n’était pas un graphique a frappé dans le UK ou U.S., il a été immensément populaire dans les clubs et reçu la pièce radiophonique lourd et l’album atteint # 32 au Royaume-Uni.  Ce succès pour Isaacs a coïncidé avec les problèmes de drogue avec la cocaïne qui lui servent d’une peine d’emprisonnement de six mois à Kingston en 1982 pour possession d’armes à feu sans licence.  Isaacs a prétendu qu’il avait les armes que pour la protection, mais il est apparu que c’était son arrestation 27e et que Isaacs étaient devenu impliqués dans le commerce de la drogue et qu’il avaient deviennent accros à craquer de cocaïne.  Il a fêté sa sortie de prison, avec son deuxième album de le île, Out Deh! (1983).  Isaacs figurait dans le documentaire de 1982 Land de regarder derrière.

À la fin de son contrat avec le île, Isaacs retourné en 1984 avec le « Kool Ruler Come Again » uniques et commence une période d’enregistrement prolifique, en collaboration avec les producteurs, y compris le Prince Jammy, Red Man, Bobby Digital, Tad Dawkins, et Sa & Clevie, maintenir une norme uniforme malgré le volume de travail produite.  Isaacs construit ensuite une solide relation avec Gussie Clarke de l’étiquette de travaux de musique. Ils ont commencé avec 1985 album de Isaacs Private Beach Party et avait un énorme succès auprès des « Rumeurs » en 1988, qui a été suivie par plus populaires singles, y compris le « Esprit Yu Dis », « Rough cou », « Trop Good To Be True » et « Rapport à me ».  L’association avec Clarke a continué dans le début des années 90, avec des chanteurs dont Freddie McGregor, Ninjaman et JC Lodge. [ 6 ] Il duetted avec Beres Hammond sur la 1993 Philip « Fatis » Burrell-produit « Une bonne écoute », Burrell également produire 1994 album de Isaacs Midnight confidentiel. 

Dans les années 90, l’étiquette du Musée de l’Afrique a continué de libérer tous de la musique de Isaacs et que des artistes, qu’il a produit. En 1997, Simply Red couverts « Infirmière de nuit » et a connu un succès avec elle. Isaacs continue à enregistrer et à effectuer en direct dans les années 2000. En 2005, Lady Saw a produit une autre version de « Night Nurse » avec son diapason sur l’ origine de paroles.

Toxicomanie de Isaacs a eu un impact majeur sur sa voix, et la plupart de ses dents chute en conséquence.  Isaccs dit de sa dépendance en 2007 : « médicaments sont une arme avilissant. C’est le plus grand Collège jamais, mais la taxe scolaire plus cher jamais payés – l’école secondaire de cocaïne. J’ai appris tout, et maintenant j’ai placez-la sur le côté. 

Il se produit également à l’inauguration de l’ICC cricket coupe du monde 2007 à la Jamaïque.

En 2007, il a collaboré avec le groupe de rap espagnol Flowklorikos album Donde Duele Inspira.

En 2008, après une quarantaine d’années comme un artiste du disque, Isaacs a publié un nouvel album studio Brand New Me. L’album a reçu des critiques positives de critiques, tels que cet examen de Reggae Vibes: « Gregory est de retour, et comment! » Marque New Me’ est un titre de l’album très convenable pour nouvel album du dirigeant cool. Il est de retour dans un style différent, plus ou moins comme nous étions habitués à de ce grand artiste ‘amateurs & racines’ « 

Son surnom comprennent « Règle Cool » [ 10 ] et « Lover Lonely ». 

Mort
Après une longue lutte avec le cancer du poumon, Isaacs est décédé le 25 octobre 2010, à son domicile à Londres. 

Discographie
Plus de 500 Gregory Isaacs albums ont été libérés au cours de sa carrière, étant nombreux compilations. Albums studio du matériel original sont énumérés ci-dessous :

En personne Cheval de Troie (1975)
Tous j’ai est Love Cheval de Troie (1976)
Le meilleur de vol. 1 Du GG (1977)
Extra Classic Musée d’Afrique (1977)
M. Isaacs DEB (1977)
Règle cool (1978) Front Line
Dès avant Ligne de front (1979)
Taudis (Gregory Isaacs dans Dub) Son feu (1978)
Gregory Isaacs rencontre Ronnie Davis Usine (1979) (Ronnie Davis)
Vitrine Taxi (1980)
Solitaire Lover Avant (1980)
Gregory plus Avant (1981)
Le meilleur du vol de 2. Du GG (1981)
Infirmière de nuit (1982) Île/Mango
Des Deh! (1983) Île/Mango
Let ‘ s Go danse (1984)
Juge non (1985) Greensleeves (avec Dennis Brown)
Private Beach Party (1985) RAS
Facile Du tad (1985)
Double Dose Trac bleu (1986) (avec Sugar Minott)
J’ai est love amour Du tad (1987)
Victime (1987) VP
Veilleur de nuit de la ville Rohit (1987)
Venez le long (1988), Vivent & l’amour
Red Rose pour Gregory RAS (1988)
Avertissement Caserne de pompiers (1989)
I.O.U. RAS (1989)
Sur le Dancing (1990) Pulsation
Appel me recueillir RAS (1990)
Définissez me fr. Triage de vigne (1991)
Aucune intention VP (1991)
Boom Shot (1991) Shanachie
État de choc RAS (1991)
Passés et futurs VP (1991)
Me pardonner! RAS (1992)
Rudie tirer Sentier de star (1992)
Sans assistance (1993) Pow-wow
Déverrouillé RAS (1993)
Minuit confidentiel Greensleeves (1994)
Rêver Pulsation (1995)
Pas un one thing man RAS (1995)
Cours privé Pulsation (1996)
M. cool VP (1996)
Respect de maximum House (1996) de reggae
Tenir collant Pulsation (1997)
Accès hardcore Ikus (1997)
Danse couvre-feu (1997), Acid Jazz – avec Dread Flimstone
Kingston 14 Denham Town Vibes jamaïcaine (1998)
Nouvelle danse Prestige (1999)
Se tourner vers le bas les lumières (1999) Artistes seulement
So Much Love Musique de Joe Gibbs (2000)
Attraction de l’avenir VP (2000)
Le père & fils (2000), 2 B 1 – Gregory Isaacs & fils
Il aller maintenant (2002), 2B1
Lonely Road la vie (2004)
Il donne tout haut Pulsation (2004)
Rat patrouille Musée d’Afrique (2004)
Leçon Greensleeves (2004)
Vengeance (2005) P.O.T.
Substance fr. (2005) Vizion sons
Tenir collant Mafia (2008) & Fluxy
Brand New Millennium Musée d’Afrique (2008)
Lectures supplémentaires
Barrow, Steve & Dalton, Peter (2004) Le Guide des reggae, 3 rd edn., des guides, ISBN 1-84353-329-4
Kiviat, Steve (1996) « Gregory Isaacs », document de la ville de Washington, 6-12 décembre 1996 (vol. 16, # 49)
Larkin, Colin (1998) l’Encyclopédie vierge de reggae, Virgin Books, ISBN 0-7535-0242-9.
Miles, Milo (1992) « enregistrements VIEW. Gregory Isaacs, le souverain de reggae « , New York Times, 2 février 1992
Thomspon, Dave (2003) reggae & Caribbean Music, Backbeat Books, ISBN 0-87930-655-6.

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( 24 octobre, 2010 )

Rosa PARKS-Décédée

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Rosa PARKS-Décédée

C’est le 5ème anniversaire de la mort de Rosa PARKS.
Née le 04 février 1913
Décédée le 24 octobre 2005 (à l’âge de 92 ans)

Rosa Louise McCauley Parks, (4 février 1913, Tuskegee, Alabama États-Unis – 24 octobre 2005, Detroit, Michigan), était une couturière noire qui devint une figure emblématique de la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis, ce qui lui valut le surnom de mère du mouvement des droits civiques de la part du Congrès américain. Parks est devenue célèbre parce que le 1er décembre 1955, à Montgomery (Alabama), elle refusa de céder sa place à un passager blanc dans un bus. Arrêtée par la police, elle se vit infliger une amende de 10 dollars (plus 4 dollars de frais de justice) le 5 décembre; elle fit appel de ce jugement. Un jeune pasteur noir inconnu de 26 ans, Martin Luther King, avec le concours de Ralph Abernathy, lança alors une campagne de protestation et de boycott contre la compagnie de bus qui dura 381 jours. Le 13 novembre 1956, la Cour suprême cassa les… Biographie de Rosa PARKS
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Rosa Parks

Rosa Louise McCauley Parks (4 février 1913, Tuskegee, Alabama États-Unis – 24 octobre 2005, Détroit, Michigan), est une couturière qui devint une figure emblématique de la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis, ce qui lui vaut le surnom de mère du mouvement des droits civiques de la part du Congrès américain.

Parks est devenue célèbre le 1er décembre 1955, à Montgomery (Alabama) en refusant de céder sa place à un passager blanc dans un bus. Arrêtée par la police, elle se voit infliger une amende de 10 dollars (plus 4 dollars de frais de justice) le 5 décembre ; elle fait appel de ce jugement. Un jeune pasteur noir inconnu de 26 ans, Martin Luther King, avec le concours de Ralph Abernathy, lance alors une campagne de protestation et de boycott contre la compagnie de bus qui dura 381 jours. Le 13 novembre 1956, la Cour suprême casse les lois ségrégationnistes dans les bus, les déclarant anticonstitutionnelles.

Jeunesse et premiers engagements politiques
Rosa Parks est née à Tuskegee, Alabama, fille aînée d’une famille de deux enfants avec pour parents James et Leona McCauley, respectivement charpentier et institutrice. Dans son enfance, elle a des problèmes de santé, dont une angine chronique. Après le divorce de ses parents, elle grandit dans une ferme avec sa mère, ses grand-parents méthodistes et son frère Sylvester. Très attachée à ce que sa fille reçoive une bonne éducation malgré les entraves à la scolarité des Noirs, sa mère Leona éduque Rosa à la maison jusqu’à ses onze ans, puis elle est envoyée à l’Industrial School for Girls, fondée par des familles blanches du Nord pour les enfants noirs, à Montgomery, où habite sa tante.

Rosa commence ensuite ses études secondaires à l’Alabama State Teachers College for Negroes, mais elle ne peut les suivre jusqu’à leur terme, car elle doit s’occuper de sa grand-mère puis de sa mère, qui tombe malade.
Elle se souvient que son grand-père montait la garde la nuit devant la ferme contre les actions du Ku Klux Klan. Sa jeunesse lui fait vite subir les affronts du racisme. Le KKK a d’ailleurs brûlé à deux reprises l’école qu’elle fréquente, la Montgomery Industrial School for Girls. Bien que Rosa Parks ait raconté dans son autobiographie n’avoir pas eu une mauvaise impression des Blancs, elle narre des détails du racisme au quotidien (si vif dans le Sud des États-Unis) qui l’ont marquée, telles ces fontaines publiques réservées aux Blancs ou aux Noirs (« Enfant, je pensais que l’eau des fontaines pour les Blancs avait meilleur goût que celle des Noirs »).

Les autobus sont un bon exemple de cette ségrégation au quotidien. Il n’y avait certes pas de bus ou de trains différents, mais des sections réservées aux Blancs et aux Noirs. Rosa Parks se souvient cependant que les transports scolaires étaient interdits aux enfants jaunes et noirs. Pour aller à l’école de Pine Level, les enfants blancs prennent le bus alors que les autres y vont à pied : « Je voyais passer le bus chaque jour. Mais pour moi, c’était comme ça. Nous n’avions d’autre choix que d’accepter ce qui était notre quotidien, un très cruel quotidien. Le bus fut un des premiers éléments par lesquels je réalisais qu’il y avait un monde pour les Noirs et un monde pour les Blancs. »

En 1932, elle épouse Raymond Parks, un barbier militant de la cause des droits civiques, membre de l’Alabama de l’Association pour l’avancement des gens de couleur (National Association for the Advancement of Colored People, NAACP). Il collecte aussi de l’argent pour soutenir un groupe de jeunes Noirs, les « Scottsboro Boys », qui sont accusés de viols sur deux femmes blanches. Il l’encourage à finir ses études secondaires, qu’elle achève malgré les charges familiales en 1934, à une époque où seulement sept pour cent des Noirs obtiennent ce niveau d’étude. En 1940, les époux Parks deviennent membres de la ligue des électeurs (Voters’ League).

Rosa Parks travaille en tant que couturière de 1930 à 1955, mais elle a aussi divers autres métiers tels qu’aide soignante. En décembre 1943, Parks devient membre du mouvement pour les droits civiques (American Civil Rights Movement) et travaille en tant que secrétaire à Montgomery pour la section du NAACP, présidé par Edgar Nixon. Sur son rôle dans l’association, elle déclare : « J’étais la seule femme là-bas, et ils avaient besoin d’une secrétaire, et j’étais trop timide pour dire non ». Elle tient cette fonction jusqu’en 1957 lorsqu’elle quitte la ville de Montgomery. Début 1945, elle occupe brièvement un emploi à la base aérienne de Maxwell, une zone fédérale, où la ségrégation n’était pas en vigueur : « On peut dire que [la situation] à Maxwell m’a ouvert les yeux ». Elle est aussi femme de ménage pour un couple libéral, Clifford et Virginia Durr, qui sympathisent avec elle et l’encouragent à suivre une formation sur les droits des travailleurs et l’égalité raciale à la Highlander Folk School, à Monteagle (Tennessee), six mois avant son arrestation.

Comme beaucoup d’autres Afro-Américains, elle est choquée par le meurtre sauvage de Emmett Till en août 1955 . Le 27 novembre suivant (soit quatre jours avant qu’elle ne refuse son siège), elle assiste à un grand meeting sur son cas à Montgomery, dont le principal orateur est T.R.M. Howard, un activiste des droits civiques du Mississippi, à la tête du Regional Council of Negro Leadership.

Boycott des bus de Montgomery
Les événements précurseurs
Article détaillé : Plessy v. Ferguson.En 1944, le joueur de base-ball Jackie Robinson doit affronter un cas semblable, lorsque confronté à un officier de l’Armée à Fort Hood, au Texas, il refuse de se diriger vers l’arrière du bus. Robinson est traduit devant une cour martiale, qui l’acquitte[2]. Le NAACP prend en charge d’autres cas, comme celui d’Irene Morgan dix ans plus tôt, qui est victorieux devant la Cour suprême sur des aspects commerciaux. Toutefois, cette victoire ne rend caduques les lois ségrégatives que dans la mesure où elles s’appliquaient au commerce inter-étatique, comme les lignes de bus entre différents États. Des activistes noirs ont commencé à préparer la défense contre l’arrestation d’une fille de 15 ans, Claudette Colvin, lycéenne au Booker T. Washington High School de Montgomery. Le 2 mars 1955, Colvin fut menottée, arrêtée et expulsée manu militari d’un bus public après qu’elle eut refusé de céder son siège à un homme blanc. Elle clame que ses droits constitutionnels ont été violés. Colvin est alors un membre actif du groupe de jeunesse du NAACP, pour lequel Rosa Parks était une conseillère.

Colvin se souvient, « Mme Parks disait, « Faites ce qui est juste. » » Rosa Parks lève des fonds pour la défense de Colvin, mais quand E.D. Nixon apprend qu’elle était enceinte, il juge qu’elle n’est pas un symbole convenable pour leur cause. Peu après son arrestation, elle tombe enceinte d’un homme marié plus âgé ; cette transgression morale scandalise profondément la pieuse communauté noire. Ses stratèges pensent que la presse ségrégationniste blanche ferait valoir la grossesse de Colvin pour discréditer tout boycott. Le NAACP a également étudié mais rejeté d’autres cas antérieurs à celui de Rosa Parks, jugés insuffisants pour faire face aux pressions du contradictoire dans un affrontement légal avec les lois segrégationnistes. Colvin était aussi connue pour ses dérapages verbaux. La plupart des charges contre elle sont abandonnées. Les stratèges du NAACP continuent à rechercher un plaignant au-delà de tout reproche.

De même, une autre femme, Mary Louise Smith, n’a pas été défendue, la rumeur voulant que son père soit alcoolique. Au contraire, Rosa Parks est une des femmes les plus distinguées de la ville, dont l’éducation ne souffre aucune remarque, et donc un meilleur étendard pour la cause noire.
Le boycott à Montgomery
Rosa Parks devient célèbre lorsque, le 1er décembre 1955, dans la ville de Montgomery, elle refuse d’obéir au conducteur de bus James Blake qui lui demande de laisser sa place à un Blanc et d’aller s’asseoir au fond du bus.

Dans les bus de Montgomery, les quatre premiers rangs sont réservés aux Blancs. Les Noirs, qui représentent trois quarts des utilisateurs, doivent s’asseoir à l’arrière du bus. Ils peuvent néanmoins utiliser la zone centrale, jusqu’à ce que des Blancs en aient besoin ; ils doivent alors soit céder leur place et aller vers le fond, soit quitter le bus. Comble de l’humiliation : si ces places sont occupées, les Noirs doivent bien acheter leur billet à l’avant, mais doivent ressortir avant de rentrer de nouveau par la porte arrière du bus pour rejoindre les emplacements qui leur sont destinés. Mme Parks n’était pas la première personne à violer ce règlement et d’autres personnes l’avaient payé durement, parfois de leur vie[réf. nécessaire].

Pendant des années, la communauté noire se plaint de la situation et Mme Parks ne faisait pas exception : « Ma résistance à ces mauvais traitements dans le bus n’ont pas commencé avec cette arrestation. J’ai fait beaucoup de marche à pied à Montgomery. » Parks en fait une expérience publique un jour pluvieux de 1943, quand le chauffeur de bus James Blake, lui demande de descendre du bus et d’y rentrer de nouveau par la porte arrière. Alors qu’elle se dirige vers la porte avant, elle laisse tomber son porte-monnaie ; elle s’assied un instant sur un siège réservé aux passagers blancs pour le récupérer. Furieux, le chauffeur de bus lui laisse à peine le temps de descendre du bus, qu’il redémarre. Rosa Parks marche plus de huit kilomètres sous la pluie. Ironie du sort, c’était le même chauffeur que le 1er décembre 1955.

Ce jour de 1955, elle n’avait semble-t-il pas planifié son geste, mais une fois décidée, elle l’assume totalement. Elle est arrêtée, jugée et inculpée de désordre public ainsi que de violation des lois locales. Elle joint l’avocat Edgar Nixon, membre du chapitre de Montgomery du NAACP. Bien que furieux du traitement réservé à Madame Parks, il voit toutefois de suite l’intérêt symbolique du combat à mener. Il appelle un avocat blanc, Clifford Durr, qui accepte de contester la loi sur la ségrégation dont Rosa Parks est la victime.

La nuit suivante, cinquante dirigeants de la communauté afro-américaine, emmenés par un jeune pasteur peu connu à l’époque Dr. Martin Luther King, Jr, se réunissent à l’église baptiste de la Dexter Avenue pour discuter des actions à mener à la suite de l’arrestation de Rosa Parks. Ils y fondent le Montgomery Improvement Association, dont ils élisent King comme président. Il y popularise les théories de la non-violence et de la désobéissance civile. Le mouvement a trois revendications immédiates :

1.que les Blancs et les Noirs puissent s’asseoir où ils veulent dans l’autobus ;
2.que les chauffeurs soient plus courtois à l’égard de toutes les personnes ;
3.que des chauffeurs noirs soient engagés.

La veille du procès, 35 000 tracts sont distribués pour inviter les Noirs à ne plus emprunter les bus le lundi 5 décembre. Le mot d’ordre est repris le lundi par The Montgomery Advertiser, le journal noir local. Le mot d’ordre est reconduit après une réunion à l’église. C’est le début du boycott des bus de Montgomery ; il se prolonge 381 jours. Des dizaines de bus publics sont restés au dépôt pendant des mois jusqu’à ce que la loi sur la ségrégation dans les bus publics fût levée. La plupart marchèrent à pied ; des taxis conduits par des Noirs font des trajets au tarif du bus (10 cents). Quelques Blancs les rejoignent, parfois par idéologie, parfois simplement parce qu’ils avaient besoin que leurs employés noirs viennent travailler. Peu à peu, grâce en partie à l’écho international qu’eut le mouvement, des fonds commencent à arriver, permettant de mettre en place un service d’autobus parallèle, ou plus modestement l’achat de paires de chaussures. Des actes violents sont perpétrés, y compris le dynamitage des domiciles de Martin Luther King et de l’avocat Edgar Nixon, et de nombreuses vexations sont recensées contre les Noirs. Fidèle à sa stratégie, King demande de ne pas répondre à ces actes. Ce mouvement provoque beaucoup d’autres protestations contre la ségrégation menée aux États-Unis.

À travers son rôle initiateur du boycott, Rosa Parks contribua à la prise de conscience des Américains dans la lutte pour les droits civiques. King écrit dans son livre paru en 1958, Stride Toward Freedom, « L’arrestation de Mme Parks fut l’élément déclencheur plutôt que la cause des protestations… »

Finalement, le 13 novembre 1956, la Cour suprême des États-Unis statue par l’arrêt Browdler v. Gayle que la ségrégation dans les bus est anticonstitutionnelle. La nouvelle ne parvient à Montgomery que le 20 novembre. Le boycott cesse le lendemain.

Toutefois, la violence continue avec des tirs contre les bus et le domicile de Luther King et des explosions visant les églises fréquentées par les Noirs. Et si la ségrégation a été abolie dans les bus de l’État, ce n’est pas encore le cas pour les liaisons inter-étatiques. Un groupe de jeunes fonde le Freedom Ride, mais après quelques jours, un de ces bus est stoppé par le KKK ; ses occupants sont battus et le véhicule incendié. Ce n’est qu’en 1964 que les lois ségrégationnistes Jim Crow sont abrogées par le Civil Rights Act qui interdit toute forme de ségrégation dans les lieux publics, puis en 1965 par le Voting Rights Act qui supprime les tests et les taxes pour devenir électeur.

Son travail pour les droits civiques
Par la suite, Rosa Parks devient une icône pour le mouvement des droits civiques. Ne trouvant pas de travail à Montgomery et sous la pression de ses proches inquiets pour sa sécurité, mais aussi en raison de quelques désaccords avec les leaders noirs de la ville, elle se rendit en 1957 dans le Nord, à Hampton en Virginie puis à Détroit dans le Michigan.

Elle y travaille en tant que couturière, jusqu’à ce qu’elle se joigne à l’équipe du représentant démocrate du Michigan, l’Afro-Américain John Conyers à la Chambre des Représentants des États-Unis pour lequel elle travailla de 1965 jusqu’à sa retraite le 30 septembre 1988.

Ce combat contre les discriminations débouche en 1964 sur le Civil Rights Act, loi qui interdit toute forme de discrimination dans les lieux publics et en 1965 sur le Voting Rights Act, qui supprime les tests et autres taxes pour devenir électeur aux États-Unis.

Le Rosa and Raymond Parks Institute for Self Development est fondé en février 1987 conjointement par Rosa Parks et Elaine Eason Steele en l’honneur du mari de Rosa, Raymond Parks (décédé en 1977). L’institut organise des visites en bus pour les jeunes générations en leur montrant les sites importants du mouvement pour les droits civiques. Lors d’une visite en 1997, le bus tombe dans une rivière et tue Adisa Foluke, que tout le monde considérait comme son petit-fils adoptif, et en blessa beaucoup d’autres.

En octobre 1995, elle a participé à la « Million Man March », qui rassemble plus d’un million de Noirs à Washington.

Ses dernières années sont difficiles. Elle est notamment hospitalisée après un hold-up commis le 30 août 1994 par un jeune homme de 28 ans, Joseph Skipper, qui lui vola 53 dollars. Il est condamné le 8 août 1995 à 15 ans de prison. Rosa Parks lui pardonne partiellement, puisqu’elle souhaite qu’il puisse se racheter et non aller en prison. Elle a à la fin de ses jours des difficultés à payer son loyer et doit faire appel à l’aide de son Église, pour que son propriétaire arrête les poursuites judiciaires.

Décès et funérailles
Rosa Parks réside à Détroit jusqu’à sa mort le 24 octobre 2005. Depuis 2004, elle souffrait de démence dégénérative.

Après son décès, la classe politique dans son ensemble lui a rendu hommage. Le président George W. Bush a honoré sa mémoire dans une allocution télévisée et sa dépouille est restée exposée deux jours dans la rotonde du Capitole pour un hommage public. Privilège réservé d’habitude aux hommes politiques et aux soldats, Rosa Parks est la 31e personne après l’ancien président Ronald Reagan en juin 2004 et la première femme à recevoir cet honneur. Elle est également la deuxième personnalité noire (la première fut Jacob J. Chestnut) et la seconde personne ne faisant pas partie du gouvernement (la première était le français Pierre L’Enfant en 1909) à recevoir un tel hommage de la part du gouvernement fédéral.

Des milliers de personnes assistent à ses funérailles en l’église Greater Grace Temple à Détroit le 2 novembre. On estime à 60 000 le nombre d’Américains qui lui rendent hommage dans les premiers jours qui suivent son inhumation dans son État natal de l’Alabama et à Washington. De nombreuses personnalités y assistent, dont l’ancien président Bill Clinton, la sénatrice de New York Hillary Clinton, le pasteur noir Jesse Jackson, des élus noirs du Congrès et des dirigeants du mouvement des droits civiques. La chanteuse Aretha Franklin chante à cette occasion. Le président américain décréte la mise en berne de tous les drapeaux le jour de son enterrement. Le corbillard lui-même est suivi d’un bus des années 1950 recouvert d’un linceul noir.

A la suite de son décès, le bus dans lequel Rosa Parks a été arrêtée fut drapé d’un linceul rouge et noir jusqu’aux obsèques officielles. Enfin, les premières places des bus de Montgomery restent vacantes jusqu’au jour de son enterrement. Elles sont recouvertes d’une photographie de Rosa Parks entourée d’un ruban noir portant l’inscription suivante :

« La société de bus RTA rend hommage à la femme qui s’est tenue debout en restant assise. »
Hommages
Elle s’est assise pour que nous puissions nous lever. (…) Paradoxalement, son emprisonnement ouvrit les portes de notre longue marche vers la liberté. Révérend Jesse Jackson, le 25 octobre 2005.
Elle a souvent été décrite par les médias comme un genre de femme simple qui serait rentrée dans l’histoire un peu par hasard. Ce n’est pas vrai. C’était une femme très courageuse qui a consciemment risqué sa vie et la prison pour briser le système de l’apartheid. Jesse Jackson, le 25 octobre 2005.
Il y a très peu de personnes qui peuvent dire que leurs actions et leur conduite ont changé la face de la nation, et Rosa Parks est l’un de ces individus. Le représentant John Conyers.
Si je suis ici, c’est uniquement grâce à elle. Kwame Kilpatrick, maire noir de Détroit, rendant hommage à Rosa Parks, le 25 octobre 2005.
Elle fut une pionnière des droits civils [...] qui a inspiré une génération entière de gens à lutter pour leur liberté. Condoleezza Rice, première femme noire secrétaire d’État, originaire de l’Alabama.
Une authentique héroïne américaine [...] Elle était très humble et très mesurée dans ses paroles. Mais au-dedans d’elle-même, elle avait une détermination farouche [...] Par son courage et son exemple, elle a jeté les bases qui ont permis au pays de vivre en accord avec ses convictions. Le démocrate Barack Obama, premier président d’ascendance noire des États-Unis.
Le courage de Rosa Parks témoigne que chacun d’entre nous a la capacité de contribuer à édifier un monde meilleur et plus juste. Cette femme restera, pour tous les antiracistes, un bel exemple de simplicité, de ténacité et de fraternité. SOS Racisme, le 25 octobre 2005.
Rosa Parks était une héroïne, non seulement aux yeux des communautés minoritaires du Sud américain et des femmes, mais de l’humanité tout entière. Paul Martin, premier ministre du Canada du 12 décembre 2003 au 6 février 2006.
Rosa Parks a prouvé au monde qu’une action directe, et non-violente avec un but précis peut porter fruit et changer le cours de l’histoire [...] Son engagement, son courage et sa lutte pour les droits civiques, et contre le racisme sont des exemples pour tous les activistes du monde entier. Le parti vert allemand.
Je crois fermement que Dieu place différentes personnes à différentes périodes de l’histoire pour que de grandes choses se passent, Je crois que Rosa Parks est l’une de ces personnes. Bob Riley, gouverneur de l’Alabama.
Mark Camphouse, compositeur, écrivit la pièce A Movement for Rosa en hommage à Rosa Parks.
Le groupe américain Outkast lui a dédié une chanson à son nom dans l’album Big Boy and Dre present… en 2001.
Le 2 avril 2005, les Blacks d’Occase, groupe local du Narbonnais, crée sur scène une chanson hommage à Rosa Parks (The Story of une Simple Personne), à l’occasion de la journée « Total Respect » organisée par l’association Ni Putes Ni Soumises, à Gruissan 
En 2006, le chanteur français Pascal Obispo lui a dédié une chanson Rosa, dans son album Les Fleurs du bien.
En 2006, le sculpteur sénégalais Ndary Lô a réalisé pour la Biennale Dak’Art une installation intitulée Hommage à Rosa Parks.
En 2010 , le rappeur Soprano du groupe Psy 4 de la rime parle d’elle dans la chanson Hiro dans l’album La colombe
Distinctions

La médaille d’or du Congrès pour Rosa Parks porte la légende « Mother of the Modern Day Civil Rights Movement »En 1979, le NAACP la décore de la Spingarn medal, sa plus haute distinction, et elle reçoit l’année suivante le Martin Luther King Sr. Award. Elle est nommée au Michigan’s Women Hall of Fame en 1983 pour son action en faveur des droits civiques. En 1990, le Centre Kennedy de Washington, lors de son soixante-dix-septième anniversaire lui décerne un prix. Elle reçoit le Prix de la Paix Rosa Parks en 1994 à Stockholm, en Suède, puis la Médaille présidentielle de la liberté, la plus haute distinction décernée par l’exécutif américain en 1996, des mains de Bill Clinton.

En 1997, le Published Act no.28 décrète le premier lundi – après le 4 février – comme jour férié dans l’État du Michigan (c’est la première fois qu’une personne vivante connaîtrait un jour en son honneur).

En 1998, elle devient la première récipiendaire du Freedom Conductor Award décerné par le National Underground Railroad Freedom Center. L’année suivante, elle reçoit la Médaille d’or du Congrès (Congressional Gold Medal), la plus haute distinction décernée par l’organe législatif américain, puis le Detroit-Windsor International Freedom Festival Freedom Award. En septembre 1999, elle reçoit les honneurs de l’Alabama Academy of Honor, une organisation qui récompense les citoyens méritants de l’Alabama.

En 1999, le magazine Time nomme Rosa Parks une des vingt plus importantes figures du XXe siècle. En 2000, son État natal lui remet l’Alabama Academy of Honor ainsi que la première Governor’s Medal of Honor for Extraordinary Courage. En décembre de la même année, la Troy State University de Montgomery donne son nom à un musée et une bibliothèque. Une rue et une école portent aussi son nom à Détroit. Elle reçoit également des récompenses de doctor honoris causa de deux douzaines d’universités de par le monde et est faite membre honoraire de la sororité Alpha Kappa Alpha.

En 1992, elle publie un livre pour enfants, Rosa Parks: My Story, une chronologie expliquant sa vie jusqu’au jour où elle refuse de céder son siège. Ce livre est suivi par ses mémoires Quiet Strength. La Bibliothèque – musée Rosa Parks (Rosa Parks Library and Museum) à Montgomery, est inaugurée en novembre 2001. L’objet le plus populaire du musée est une sculpture de Rosa Parks assise sur le banc d’un bus. Le documentaire Mighty Times: The Legacy of Rosa Parks est nommé en 2002 à l’Oscar du meilleur documentaire. Cette année-là, elle collabore à un téléfilm racontant sa vie, son rôle étant joué par Angela Bassett.

En 2001, au mois de mai « The Rosa Parks Story » est tourné à Montgomery en Alabama. Il est diffusé le 24 février 2002 sur le réseau de télévision CBS.

En septembre 2006, un « Lycée Rosa Parks » a ouvert ses portes à Neuville-sur-Saône (Rhône), en France.

En 2006, le chanteur français Pascal Obispo rendait hommage à Rosa Parks au travers de sa chanson Rosa. Lors de sa tournée 2007, Rosa est un très grand moment plein d’émotions pendant le concert. Le clip plein de sens illustrant cette chanson était projeté pendant le concert.

La commune de Villabé, près de Corbeil-Essonnes, en France, nomme son collège « Collège Rosa Parks » lors de la rentrée 2006.

Le 10 mai 2007, la mairie d’Aubervilliers, en France, inaugure la place Rosa-Parks, sur l’esplanade du marché du centre-ville, suivi peu après de l’inauguration d’une rue Rosa Parks à La Courneuve.

A Yaoundé, capitale du Cameroun, l’avenue dans laquelle se trouve l’ambassade des États-Unis porte le nom de Rosa Parks.

Un terminus de la ligne 7 du réseau de bus à Rennes (sur la commune de Chantepie) portant le nom de Rosa Parks a été créé le lundi 31 Aout 2009.

Un collège, qui sera ouvert pour la rentrée 2010, à Marseille portera le nom de Rosa Parks. Une résidence se nomme « Rosa Parks » située au 1 square des Jonchères à Angers depuis mars 2010 ainsi qu’une rue.

Citations de Rosa Parks
À propos du Martin Luther King Day, jour férié fêtant le jour anniversaire de la naissance du leader noir, Rosa Parks s’inquiéta de l’affadissement de son image et du risque que l’on ne se souvienne de lui, que comme un rêveur (dreamer). Elle déclara : Dans mon souvenir, il était plus qu’un rêveur. Il était un activiste dans l’action, autant qu’un orateur contre l’oppression.

Nous devons redoubler d’efforts pour essayer d’inspirer notre jeunesse et les inciter à vouloir étudier notre héritage ainsi qu’à savoir ce que cela signifie être noir dans l’Amérique d’aujourd’hui. Citation de 1988.

Jusqu’à présent, je crois que nous sommes sur la planète Terre pour vivre, nous épanouir et faire notre possible pour rendre ce monde meilleur afin que tout le monde puisse jouir de la liberté.
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( 23 octobre, 2010 )

David THOMPSON-Décédé

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David THOMPSON-Décédé

David THOMPSON – 23-10-2010
Le Premier ministre de La Barbade, David Thompson, est décédé samedi à son domicile de Bridgetown à la suite d’un cancer au pancréas, ont annoncé les autorités. Son adjoint et ministre de la Justice, Freundel Stuart, a été désigné par le gouverneur général de l’île caraïbe, Sir Cklifford Husbands, pour diriger le gouvernement. Thompson, chef de file du Parti démocrate travailliste au pouvoir et Premier ministre depuis janvier 2008, avait effectué plusieurs séjours aux Etats-Unis pour se faire soigner…
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( 22 octobre, 2010 )

Larry JAMES-Décédé

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 Larry JAMES

Biographie de Larry JAMES :

One Hit Wonder Athlète et Sportif (Américain)
Né le 06 novembre 1947
Décédé le 06 novembre 2008 (à l’âge de 60 ans)

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George Lawrence « Larry » James, né le 6 novembre 1947 et mort d’un cancer le 6 novembre 2008, était un athlète américain et champion olympique.

Double médaillé des Jeux olympiques d’été de 1968 de Mexico , Larry James a aussi établi plusieurs records du monde durant sa carrière. James a remporté l’argent à Mexico avec un temps de 43 s 97, améliorant le record existant mais étant encore battu par son compatriote Lee Evans (43 s 86). Il remporta également l’or avec le relais 4 x 400 m qui améliora le record du monde en 2 min 56 s 16. Ce record dura jusqu’en 1992. Lors de ces Jeux de Mexico, il protesta avec les deux autres athlètes présents sur le podium du 400 m contre la ségrégation persistance dans la société américaine, en levant son poing en l’air (symbole de lutte du Black Power).

James a aussi établi le record du 400 m en 44 s 1 en se plaçant deuxième derrière Evans lors des trials en 1968. Mais le temps d’Evans qui courait avec des pointes non homologuées n’avait pas été reconnu par l’IAAF.

Palmarès

* Jeux olympiques de 1968 à Mexico (Mexique Mexique)
o Argent Médaille d’argent sur 400 m
o Or Médaille d’or au relais 4 x 400 mètres
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( 21 octobre, 2010 )

Djata ILEBOU-Décédé

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Djata ILEBOU – 21-10-2010
La chanteuse Djata Ilébou est décédée ce jour 21 octobre 2010 vers 1H30 du matin. De retour d’un concert à Ziniaré, Djata Ilébou et sa consœur Béky et plusieurs autres personnes avaient fait un accident entre Ziniaré et Ouaga. La chanteuse Béky s’en était sortie avec des fractures, Djata dans le coma alors que le chauffeur décédait sur place. Evacuée à l’hôpital Yalgado Ouédraogo de Ouagadougou, Djata n’a pas finalement survécu à ce violent accident survenu à bord d’un véhicule qui aurait essayé de faire un dépassement et aurait eu un choc fatal avec une autre voiture arrivant en face. Celle qui avait pris le nom d’artiste de « Djata » s’appelait de son vrai nom Badjata, Mélissa ILEBOU ; son prénom Badjata signifiant « on parlera de toi demain ». .. 

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Le monde entier entendra toujours sa voix, cette voix qui interpelle pour la cause des orphelins mais nul ne la reverra. Djata Ilébou s’en est allée dans la nuit du mercredi 20 au jeudi 21 octobre 2010, aux environs de minuit, à l’hôpital Yalgado Ouédraogo. Elle a lutté puis finalement succombé au coma dans lequel elle était plongée depuis le dimanche 17 octobre 2010, date à laquelle l’artiste, en compagnie d’autres artistes, avait été victime d’un accident de la circulation. En effet, ce 17 octobre, sur la route de Ziniaré, Djata, sans le savoir, avait rendez-vous avec ce destin tragique qui l’arracherait à jamais de nos yeux. La voiture à bord de laquelle elle se trouvait a essayé un dépassement alors qu’arrivait en face, un autre véhicule de marque Mercedès.

Celui-ci, en essayant de les éviter, a terminé sa course dans le décor ainsi que le véhicule des artistes. Bilan : un mort sur-le-champ (le chauffeur), Djata Ilébou dans le coma et évacuée à Ouagadougou et Béky gravement blessée. Les artistes-musiciens s’étaient rendus à Ziniaré pour une prestation dans le cadre du semi-marathon Ouaga-Ziniaré organisé pour soutenir le candidat Blaise Compaoré. Les autres artistes s’apprêtaient alors à faire parler leur coeur en initiant une cotisation pour la soutenir afin qu’elle se relève de son coma mais, hélas !
 
Hélas, c’est le moins que l’on puisse dire face à cette perte. Elle qui s’était érigée en défenseur des orphelins ; elle qui avait fait de la cause de ces derniers son cheval de bataille ; elle qui avait décidé de porter haut sa voix contre la mortalité maternelle et infantile. Née le 27 juin 1976, Djata laisse derrière elle trois enfants inconsolables. Elle avait à son actif deux albums et des maxi. Formée par la troupe de Moussognouma Kouyaté, Djata, cette autodidacte, a travaillé dans plusieurs créations chorégraphiques telles que L’opéra du Sahel, Carmen Falinga d’Irène Tassembédo, la compagnie Salia ni Seydou. Elle a également travaillé avec Amnesty International. C’était une femme sans complexe, sans état d’âme, qui abordait facilement tous ceux qu’elle approchait. Djata avait toujours le sourire aux lèvres. « Djata, tu es partie, mais nous ne t’oublierons jamais car ta voix restera à jamais gravée dans nos coeurs et ton oeuvre se perpétuera sans nul doute.
Que le Seigneur te reçoive dans sa lumière, auprès de lui. Puisses-tu reposer en paix. »

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DISPARITION DE DJATA ILEBOU

Larmes et émotions du monde de la culture

Les soeurs Doga, artistes-musiciennes

« C’est vraiment triste » La dernière fois que nous avons vu Djata, c’était au CENASA il y a deux semaines de cela. C’est avec une grande tristesse que nous avons appris son accident et depuis lors, nous avons décidé de prier et de jeûner pour qu’elle retrouve la santé. Et (larmes) c’est dans le regret que nous avons appris son décès ce matin. C’est vraiment un coup dur pour nous les artistes. C’est vraiment triste.
Kady Zerbo, comédienne de cinéma
« Elle ne devrait vraiment pas mourir de cette manière »
Djata était vraiment une soeur à moi qui me prodiguait des conseils chaque fois qu’on se rencontrait. Je l’ai même vue tout récemment. Quand j’ai appris son décès, je n’en revenais pas mais malheureusement c’est une réalité. Elle ne devrait vraiment pas mourir de cette manière. Nous ne pouvons que dire paix à son âme et que la terre lui soit légère.
Boureima Barry, entrepreneur culturel
« On avait commencé ensemble à écrire un livre sur elle »
Je retiens que Djata est une artiste qui s’est beaucoup donnée dans la musique, qui a toujours montré son côté jovial. La dernière fois que nous nous sommes vus, c’était le vendredi, parce qu’elle et moi, on avait un projet. Elle s’était approchée de moi, pour me dire qu’elle souhaiterait avoir un projet d’un livre qui retracerait sa biographie. Elle m’a également confié que lorsqu’elle est au dehors au milieu des gens, elle sème la joie, mais lorsqu’elle rentre pour se coucher, elle est dans les soucis parce qu’avait-elle dit, elle aurait souhaité comme toute femme avoir un foyer. Donc on était au début de ce projet, on avait même pu faire 2 ou 3 pages. Le lundi (le lendemain de son accident), on avait un rendez-vous pour continuer mais malheureusement le triste événement est arrivé. On avait même en projet, au-delà du livre, de faire un documentaire sur la vie de Djata.

Baz Bil, artiste-musicien

« Djata a marqué l’histoire de la musique burkinabè »
Djata, c’est une artiste exemplaire, une artiste qui s’est battue et s’est donné à fond pour la musique burkinabè. Je l’ai connue depuis 1998 et j’ai apprécié vraiment sa façon de faire la musique. Le moins que l’on puisse dire c’est que Djata a marqué l’histoire de la musique burkinabè. La dernière fois que je l’ai vue, c’était le jeudi, juste avant son accident, pendant une réunion. Je crois que c’est l’oeuvre de Dieu et nous ne pouvons que prier pour que son âme repose en paix et présenter nos condoléances à sa famMalcom, communicateur et animateur

« Djata est une étoile qui s’est éteinte »

Djata était vraiment proche de moi et elle était comme ma soeur. Je l’aimais beaucoup parce qu’elle était toute joyeuse et se battait beaucoup pour la promotion de la musique au Burkina. Elle savait apporter aux autres le grain de sel qui manquait à leur journée, elle savait donner aux autres la couleur qui manquait à leur matinée. Je crois que pour moi, Djata est une étoile mais malheureusement une étoile qui s’est éteinte et qui a laissé derrière elle beaucoup de tristesse et beaucoup d’orphelins. Je l’ai vue il y a à peine 4 jours avant son accident quand je partais à Ouahigouya
Propos recueillis par Evariste Télesphore NIKIEMA et retranscrits par Yannick SANKARA

Christine SAWADOGO

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( 16 octobre, 2010 )

Mamadou FALL DABO-Décédé

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 Mamadou FALL DABO-Décédé

Mamadou FALL DABO – 16-10-2010
L’artiste-plasticien sénégalais Mamadou Fall Dabo, décédé samedi à l’âge de 59 ans, a eu « un parcours remarquable » qui lui a valu l’estime et la reconnaissance du milieu, a déclaré dimanche à l’APS le directeur des Arts, Abdoulaye Racine Senghor.

« C’est un très grand artiste qui, depuis plus de trente ans, exerce cet art avec beaucoup de maîtrise et de talent. Il a eu un parcours remarquable et une reconnaissance internationale très tôt », a réagi M. Senghor à la mort de Mamadou Fall Dabo, ce pensionnaire du Village des Arts. Après sa formation de quatre ans en peinture à l’Ecole nationale des Beaux-arts (1977), Fall Dabo participe à de nombreuses expositions au Sénégal, dans d’autres pays africains, en Amérique, en Asie et en Europe. Avant de faire ce tour du monde pour présenter son travail, il a effectué une résidence d’artiste de deux mois au Montpellier Cultural Arts Center, parrainé par le Maryland National Capital Park and Planning Commission…
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ARTS PLASTIQUES : Décès du peintre Mamadou Fall Dabo

L’artiste-plasticien sénégalais Mamadou Fall Dabo, décédé samedi à l’âge de 59 ans, a eu « un parcours remarquable » qui lui a valu l’estime et la reconnaissance du milieu, a déclaré dimanche à l’APS le directeur des Arts, Abdoulaye Racine Senghor.

« C’est un très grand artiste qui, depuis plus de trente ans, exerce cet art avec beaucoup de maîtrise et de talent. Il a eu un parcours remarquable et une reconnaissance internationale très tôt », a réagi M. Senghor à la mort de Mamadou Fall Dabo, ce pensionnaire du Village des Arts. Après sa formation de quatre ans en peinture à l’Ecole nationale des Beaux-arts (1977), Fall Dabo participe à de nombreuses expositions au Sénégal, dans d’autres pays africains, en Amérique, en Asie et en Europe. Avant de faire ce tour du monde pour présenter son travail, il a effectué une résidence d’artiste de deux mois au Montpellier Cultural Arts Center, parrainé par le Maryland National Capital Park and Planning Commission. Mamadou Fall Dabo a participé depuis le début des années 1980 à de nombreuses expositions collectives, et organisé des expositions individuelles.

En 1996, il est l’une des vedettes de la Biennale de l’art africain contemporain de Dakar (Dak’Art) où il obtient le Prix de la Révélation. L’année suivante, il participe à une exposition collective au Smithsonian Institution de Washington DC (Etats-Unis).

Du 1e au 24 février 1999, Mamadou Fall Dabo fait partie, avec de nombreux autres artistes de plusieurs disciplines (peinture, sculpture, littérature, musique…), de l’atelier de création Internet intitulé « Dakar Web ».

Pour Abdoulaye Racine Senghor, « il s’est imposé dans le milieu comme quelqu’un qui représentait très valablement les artistes ». Rappelant que l’artiste a exposé au Musée dynamique, le directeur des Arts a souligné que cela constituait à l’époque (fin des années 1970) « une marque de reconnaissance ». « Depuis, il a eu un parcours remarquable. Sa disparition est une grosse perte pour la peinture sénégalaise », a-t-il dit.

A. Racine Senghor a relevé que la mort de Mamadou Fall Dabo intervient à moins de deux mois de la tenue de la troisième édition du Festival mondial des Arts nègres (10-31 décembre), « un événement auquel il aurait certainement apporté une contribution particulièrement remarquable ». « Mais la dimension de ses œuvres est telle que le festival sera, pour le milieu des artistes, une occasion de lui rendre hommage », a-t-il indiqué.

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( 10 octobre, 2010 )

Solomon BURKE-Décédé

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 Solomon BURKE – 10-10-2010
Surnommé « The king of rock n’ soul », Solomon Burke est mort dimanche à Amsterdam. L’auteur de la chanson «Everybody needs somebody», rendue célèbre par le film «The Blues Brothers» (John Landis, 1980), est «décédé» à l’âge de 70 ans, a confirmé Antoinette Spaans, une porte-parole de l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol. Elle a indiqué ne pas être en mesure de préciser si le chanteur était décédé dans l’avion ou à son arrivée à l’aéroport. Solomon Burke devait donner un concert mardi soir au Paradiso à Amsterdam, avec le groupe néerlandais De Dijk avec lequel il avait enregistré un album. Né le 21 mars 1940 à Philadelphie, cette vedette du rythm’n blues et de la soul empruntait largement au gospel et se teintait parfois de country. Ses prestations scéniques rappelaient celles de James Brown, le «roi de la Soul»…
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 Nou Ka Sonjé-Solomon Burke

Solomon Burke (né le 21 mars 1940  à Philadelphie, Pennsylvanie) est un chanteur de gospel, de rhythm and blues, de soul et de country américain. Surnommé « The King of Rock n’ Soul », il est, avec Sam Cooke ou Ray Charles, un des pionniers de la musique soul. Sa chanson la plus célèbre, Everybody Needs Somebody To Love, fut reprise par The Rolling Stones ou The Blues Brothers.

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Solomon Burke est né à Philadelphie, Pennsylvanie, le 21 mars 1940. Certaines sources affirment qu’il est né en 1936, d’autres disent 1938, mais dans un 2002 interview Burke hebdomadaire de Philadelphie a dit lui-même qu’il est en effet né en 1940.  il a commencé sa vie adulte comme un prédicateur de Philadelphie et bientôt passés à une émission de radio gospel d’hébergement. Dans les années 1960, il a signé avec Atlantic Records et a commencé à aller vers une musique plus laïque. Son premier hit était « Juste hors de portée (de mes deux bras ouverts) », une couverture d’une chanson de pays. Mais bien accueillies par les pairs et critiques et atteindre quelques pop modérée et plusieurs grands coups de R&B, Burke jamais pourrait tout à fait percer dans le grand public comme Sam Cooke ou Otis Redding, qui couverts « Vers le bas dans la vallée de Burke » pour Otis bleu de 1965. Sa chanson connu est « Cry à
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Me », qui était deux fois premier coup dans les années 60 et à nouveau dans les années 1980-utilisés dans la scène de danse et de séduction dans le film Dirty Dancing. Il atteint une nouvelle fois hors de la bande sonore du film que populaire.
En 1964, il a écrit et enregistré « Tous besoins Somebody d’amour », offre plus importante de Burke pour une âme durable standard. Autres versions bien connues presque immédiatement couvert par Rolling Stones la même année, un par Wilson Pickett et l’autre, une décennie et demie plus tard, incluent dans le film de 1980 par The Blues Brothers.
Burke a bénéficié d’une relation spéciale avec l’Eglise tout au long de sa vie et en 2000, lui et sa famille ont été invités à effectuer lors du Jubilé de la famille au Vatican. Depuis, il a été invité au Vatican par le pape Jean-Paul II et le pape Benoît XVI pour la fête de Noël du Vatican.
Burke a été également un undertaker et avait une entreprise mortuary à Los Angeles.  il a été formé comme un mortician au début de sa vie et avait travaillé à son oncle funéraires parlor .

Il a été intronisé au Rock and Roll Hall of Fame en 2001.
Sa carrière a été dans une certaine mesure en 2002, avec la sortie de don ‘ T Give Up sur moi sur Fat Possum Records et produit par Joe Henry, [4] où il a chanté des chansons écrites spécialement pour l’album par divers artistes de haut-rang, Bob Dylan, Brian Wilson, Van Morrison, Elvis Costello et Tom Waits. Don ‘ t Give Up On m’a remporté le prix Grammy pour le meilleur album de Blues contemporain à la 45e Grammy Awards en 2003.
En 1987, il est apparu dans le film The Big Easy comme papa mention et il est en vedette dans le film de 2004 Lightning dans une bouteille, chantant « Activer sur votre feu Love » et « Bas dans la vallée ». En 2004, Salomon semble également sur l’album de Junkie XL, radio JXL: A Broadcast de l’ordinateur Hell cabine, exécution « Catch jusqu’à mon Step ». Également en 2004, il a été mis en vedette sur la chanson « je Pray de Noël » de l’album de Blind Boys Of Alabama Go Tell It sur la montagne, qui a gagné un Grammy pour le meilleur Album Gospel traditionnel. En 2004, Burke également enregistré un duo avec la chanteuse de soul italien Zucchero. Les deux artistes effectuées hit « Diavolo de Zucchero en moi» (Devil in Me), sur les duos album Zu & Co. Burke a également invité à un show de Londres en mai 2004 dans lequel Zucchero présenté l’album. Cette performance est incluse sur DVD Zu & Co. de Zucchero – Live au Royal Albert Hall.
Il a été mentionné dans le roman de Nick Hornby 1995 haute fidélité. Une couverture de gospel-assaisonné de la chanson de Van Morrison, « Fast Train » réalisé par Burke a été sélectionnée pour les trois de saison 2004 montage dans la série HBO très applaudie, le fil de clôture.

En 2005, il est apparu comme un invité spécial avec Jools Holland lors de sa tournée d’automne du Royaume-Uni, y compris deux spectacles de rachat obligatoire au Royal Albert Hall de Londres.
En septembre 2006, Burke renvoyé à ses racines du pays avec la sortie d’un album de piste-14 pays intitulé Nashville, produite par Buddy Miller. Elle comprenait invité chant Emmylou Harris, Dolly Parton, Patty Griffin, Gillian Welch et Patty Loveless. L’album a à # 55 sur le graphique Billboard Top Albums de pays.
Salomon a été rejoint par un hôte d’étoiles haut pays et soutenu par les amis Miller et sa bande au théâtre Belcourt à Nashville, Tennessee, le 25 septembre 2006, pour un concert exceptionnel célébrer la libération de Nashville. Le concert a été filmé par HDNet et a été publié sur DVD en Europe le 17 septembre 2007.
Le 28 septembre 2006, Burke a été parmi les plusieurs rock, soul et légendes de pays qui a chanté avec Jerry Lee Lewis au concert live « Last Man permanent » au Studio Sony Music à New York. Les deux duos étaient « Qui le suivant Fool sera » et « Aujourd’hui je route Lovin ‘ You Again ».
En février 2007, Burke effectuée sur The Tonight Show avec Jay Leno et, plus tard, Late Night avec Conan O’Brien. Les performances Tonight Show était accompagné de membres de la bande Tonight Show et chef d’orchestre Kevin Eubanks sur la guitare de plomb. La nuit dernière, il s’est produit avec Buddy Miller « qui a How I Got To Memphis », album de Burke Nashville.
De février 2009, Burke était le père de 21 enfants (14 filles et fils de 7), les petits-enfants de 90 [5] et 19 grand – petits-enfants. [4] le 15 juillet 2008, Burke confirmé à son public au Festival de Jazz Juan Les Pins en France qu’il aurait bientôt 90 petits-enfants. Plusieurs de ses enfants et les petits-enfants ont carrière réussie dans les diverses facettes de l’industrie de la musique, même si aucun n’est aussi célèbre que leur patriarche. L’un de ses petits-fils, roman, publiera son premier album studio en octobre 2008. [citation nécessaire] sa fille, Candy Burke, était une chanteuse de soutien pour la première fois à une performance de Burke dans le concert de juillet 2008, Juan Les Pins où elle a effectué un associé de « I Will Survive » aux applaudissements rapturous de la foule.
L’un des premiers artistes à Atlantic Records, en 2007, Burke honoré Ahmet Ertegün, co-fondateur de Atlantic Records et le rock and Roll Hall of Fame. Burke co-hébergé la célébration de mars 2007 du travail de la vie du Ertegün au Lincoln Center à New York, a participé à la maîtrise de l’American documentaire Atlantic Records : The House That Ahmet intégré, et en décembre 2007, Burke réalisé à l’after-party privé pour le concert de retrouvailles de Led Zeppelin à The O2 dans Greenwich, Londres, ainsi qu’avec Ben e. King, Percy Sledge et Sam Moore.

En janvier 2008, Salomon revint au Studio d’enregistrement à enregistrer avec le producteur/batteur Steve Jordan. L’album intitulé comme un feu a des chansons écrites spécialement pour Burke par Ben Harper, Eric Clapton, Jesse Harris, Keb ‘Mo’, Meegan Voss et Steve Jordan et a été publié le 10 juin 2008. Cet album a été nominé pour un Grammy pour le meilleur album de Blues contemporain de 2008.
Burke rejoint Panic dispersés sur scène pour aucun de nous y libre au Theater Orpheum à Los Angeles, 20 juin 2008.
Il effectuées au Festival de musique Bonnaroo le 15 juin 2008 et le Festival de Bluegrass Telluride sur 22 juin 2008 et pour la première fois dans sa carrière au Festival de Glastonbury d’Angleterre, le 29 juin 2008. Cela faisait partie de sa européenne 2008 été tournée et concerts inclus au Portugal, Angleterre, Danemark, Allemagne, Belgique, Autriche, France, Suisse, Norvège, Slovaquie et Suède.
En janvier 2009, Burke joint légendaire producteur Willie Mitchell au Studio Royal de Mitchell à Memphis pour travailler ensemble sur un nouvel enregistrement – un album intitulé « Nothing l’impossible » qui a été publié le 6 avril 2010. C’était la première fois Burke et Mitchell avaient travaillé ensemble dans leur carrière. Burke également mettre sur son chapeau étiquette enregistrement lors de son étiquette, le systèmes de divertissement une signature Clarence Fontaine et Sam Butler et leur plus récent projet : Stepping Up et Stepping Out. Il est premier projet du Clarence Fontaine depuis stepping loin Boys aveugles d’Alabama.
Le 24 juillet 2009, Burke joué au stade de la Open-air dans le parc de Charlton pour le Festival de musique WOMAD, tenue à Wiltshire, en Angleterre.
Le roi du rock ‘ ne Soul a célébré son 70e anniversaire en mars 2010 et est prévue pour une tournée au Japon pour la première fois en mai 2010, avant son « année de la Dream Love Tour » dans toute l’Europe en juillet et août 2010, y compris les dates en Espagne, Italie, Angleterre, Allemagne, Norvège, Belgique, Serbie, la Bulgarie et Suisse.

Discography

Original albums

  • Solomon Burke – 1962 (Apollo)

  • Solomon Burke’s Greatest Hits – 1962 (Atlantic)

  • If You Need Me – 1963 (Atlantic)

  • Rock ‘n’ Soul – 1964 (Atlantic)

  • The Rest of Solomon Burke – 1965 (Atlantic)

  • King Solomon – 1967 (Atlantic)

  • I Wish I Knew – 1968 (Atlantic)

  • Proud Mary – 1969 (Bell)

  • The Electronic Magnetism – 1971 (MGM)

  • Cool Breeze [soundtrack] – 1972 (MGM)

  • We’re Almost Home – 1972 (MGM)

  • History Of Solomon Burke – 1972 (Pride/MGM)

  • I Have A Dream – 1974 (ABC/Dunhill)

  • Music To Make Love By – 1975 (Chess)

  • Back To My Roots – 1976 (Chess)

  • Sidewalks, Fences And Walls – 1979 (Infinity)

  • Lord, I Need Need A Miracle Right Now – 1979 (Savoy)

  • Into My Life You Came – 1982 (Savoy)

  • Take Me, Shake Me – 1983 (Savoy)

  • This Is His Song – 1984 (Savoy)

  • Soul Alive! – 1984 (Rounder)

  • A Change is Gonna Come – 1986 (Rounder)

  • Love Trap – 1987 (MCI/Isis-Voice)

  • Homeland – 1991 (Bizarre/Straight)

  • Soul Of the Blues – 1993 (Black Top)

  • Live At The House Of The Blues – 1994 (Black Top)

  • The Definition Of Soul – 1997 (Point Blank)

  • Not By Water But Fire This Time – 1999 (GTR)

  • Christmas All Over The World – 1999 (GTR)

  • The Commitment – 2001 (GTR)

  • Don’t Give Up on Me – 2002 (Fat Possum/ANTI-)

  • Make Do With What You Got – 2005 (Shout! Factory)

  • Nashville – 2006 (Shout! Factory)

  • Like A Fire – 2008 (Shout! Factory)

  • Nothing’s Impossible – 2010 (E1)

Essential compilations

  • This Is It: Apollo Soul Origins – 2008 (Shout 46)

  • No Man Walks Alone 1955-1957 – 2008 (Saga)

  • Home In Your Heart: The Best Of Solomon Burke – 1992 (Rhino/Atlantic)

  • Proud Mary: The Bell Sessions – 2000 (Sundazed)

  • That’s Heavy Baby: The Best Of The MGM Years 1971-1973 – 2005 (Raven)

  • Looking For A Sign: The Complete ABC & Pride Recordings 1972-74 – 2009 (Shambala)

  • The Chess Collection – 2006 (Chess/Universal)

  • The Collection – 2004 (Spectrum)

Other contributions

  • Lifted: Songs of the Spirit – 2002 – « None of Us Are Free »

  • Joyful Noise – Derek Trucks Band – 2002 – « Home In Your Heart » and « Like Anyone Else »

  • Jack O The Green – Jools Holland – 2005 – « Message To My Son » with Eric Clapton

  • Brussel – De Dijk – 2008 – « Het Moet En Het Zal/Enough Is Enough »
    Anglais

Biography

Solomon Burke was born in Philadelphia, Pennsylvania on March 21, 1940. Some sources claim that he was born in 1936, others say 1938, but in a 2002 interview with Philadelphia Weekly Burke stated himself that he was indeed born in 1940.[1] He began his adult life as a preacher in Philadelphia, and soon moved on to hosting a gospel radio show. In the 1960s, he signed with Atlantic Records and began moving towards more secular music. His first hit was « Just Out Of Reach (Of My Two Open Arms) », a cover of a country song. Though well-received by both peers and critics, and attaining a few moderate pop and several major R&B hits, Burke never could quite break through into the mainstream as did Sam Cooke or Otis Redding, who covered Burke’s « Down in the Valley » for 1965′s Otis Blue. His best known song is « Cry to Me »,which was a hit twice first in the 60′s and again in the 1980s- used in the dance and seduction scene in the film Dirty Dancing. It hit again off of that popular film’s soundtrack.

In 1964 he wrote and recorded « Everybody Needs Somebody to Love », Burke’s most prominent bid for an enduring soul standard. Almost immediately covered by The Rolling Stones the same year, other well-known versions include one by Wilson Pickett and another, a decade and a half later, in the 1980 film by The Blues Brothers.

Bu ke has enjoyed a special relationship with the Catholic Church throughout his life and in 2000, he and his family were invited to perform at the Jubilee of the Family at the Vatican. Since then, he has been invited back to the Vatican by both Pope John Paul II and Pope Benedict XVI for Vatican’s Christmas celebration.

Burke was also an undertaker and had a mortuary business in Los Angeles. He was trained as a mortician early in his life and had worked in his uncle’s funeral parlor.

He was inducted into the Rock and Roll Hall of Fame in 2001.

His career was to some degree revived in 2002, with the release of Don’t Give Up On Me on Fat Possum Records and produced by Joe Henry,[4] where he sang songs written specifically for the album by various top-rank artists, including Bob Dylan, Brian Wilson, Van Morrison, Elvis Costello and Tom Waits. Don’t Give Up On Me won the Grammy for Best Contemporary Blues Album at the 45th Grammy Awards in 2003.

In 1987, he appeared in the movie The Big Easy as Daddy Mention and he is featured in the 2004 movie Lightning in a Bottle, singing « Turn on Your Love Light » and « Down in the Valley ». Also in 2004, Solomon appeared on Junkie XL’s album, Radio JXL: A Broadcast From the Computer Hell Cabin, performing « Catch Up To My Step ». Also in 2004 he was featured on the song « I Pray On Christmas » from the Blind Boys Of Alabama album Go Tell It On The Mountain, which won a Grammy for Best Traditional Gospel Album. In 2004, Burke also recorded a duet with Italian soul singer Zucchero. The two artists performed Zucchero’s hit « Diavolo in me » (Devil in Me), on the duets album Zu & Co. Burke was also a guest at a London show in May 2004 in which Zucchero presented the album. This performance is included on Zucchero’s DVD Zu & Co. – Live at the Royal Albert Hall.

He was mentioned throughout the 1995 Nick Hornby novel High Fidelity. A gospel-flavored cover of the Van Morrison song, « Fast Train » done by Burke was selected for the 2004 Season Three closing montage in the highly acclaimed HBO series, The Wire.

In 2005, he appeared as a special guest with Jools Holland on his autumn tour of the United Kingdom, including two sell-out shows at London’s Royal Albert Hall.

In September 2006, Burke returned to his country roots with the release of a 14-track country album titled Nashville, produced by Buddy Miller. It included guest vocals from Emmylou Harris, Dolly Parton, Patty Griffin, Gillian Welch and Patty Loveless. The album peaked at #55 on the Billboard Top Country Albums chart.

Solomon was joined by a host of top country stars and backed by Buddy Miller and his Band at the Belcourt Theatre in Nashville, Tennessee on September 25, 2006 for a one-off concert to celebrate the release of Nashville. The concert was filmed by HDNet and was released on DVD in Europe on September 17, 2007.

On September 28, 2006, Burke was among the several rock, soul, and country legends that sang along with Jerry Lee Lewis at the live concert « Last Man Standing » at the Sony Music Studio in New York. The two duets were « Who Will the Next Fool Be » and « Today I Started Lovin’ You Again ».

In February 2007, Burke performed on The Tonight Show with Jay Leno and later on Late Night with Conan O’Brien. The Tonight Show performance was accompanied by The Tonight Show Band members and bandleader Kevin Eubanks on lead guitar. On Late Night he performed with Buddy Miller « That’s How I Got To Memphis », from Burke’s album Nashville.

As of February, 2009, Burke was the father of 21 children (14 daughters and 7 sons),[5] 90 grandchildren and 19 great-grandchildren.[4] On 15 July 2008, Burke confirmed to his audience at the Juan Les Pins Jazz Festival in France that he would soon have 90 grandchildren. Several of his children and grandchildren have had successful careers in various facets of the music industry, though none are as renowned as their patriarch. One of his grandsons, Novel, will release his first studio album in October 2008.[citation needed] His daughter, Candy Burke, was a backing singer for the first time at a Burke performance in the July 2008 Juan Les Pins concert where she performed a rendition of « I Will Survive » to rapturous applause from the crowd.

As one of the early artists at Atlantic Records, in 2007 Burke honored Ahmet Ertegün, the co-founder of Atlantic Records and the Rock and Roll Hall of Fame. Burke co-hosted the March 2007 celebration of Ertegun’s life’s work at Lincoln Center in New York, participated in the American Master’s documentary Atlantic Records: The House That Ahmet Built, and in December 2007, Burke performed at the private after-party for the Led Zeppelin reunion concert at The O2 in Greenwich, London, along with Ben E. King, Percy Sledge and Sam Moore.

In January 2008, Solomon went back to the recording studio to record with the producer/drummer Steve Jordan. The album titled Like A Fire has songs written specifically for Burke by Ben Harper, Eric Clapton, Jesse Harris, Keb’ Mo’, Meegan Voss and Steve Jordan and was released on June 10, 2008. This album was nominated for a Grammy for Best Contemporary Blues Album of 2008.[6]

Burke joined Widespread Panic on stage for None of Us Are Free at the Orpheum Theater in Los Angeles on June 20, 2008.

He performed at the Bonnaroo Music Festival on June 15, 2008, and the Telluride Bluegrass Festival on June 22, 2008, and for the first time in his career at England’s Glastonbury Festival on June 29, 2008. This was part of his European 2008 Summer Tour, and included concerts in Portugal, England, Denmark, Germany, Belgium, Austria, France, Switzerland, Norway, Slovakia and Sweden.

In January 2009, Burke joined legendary record producer Willie Mitchell at Mitchell’s Royal Studio in Memphis to work together on a new recording – an album titled « Nothing’s Impossible » which was released on April 6th, 2010. It was the first time Burke and Mitchell had worked together in their careers. Burke also put on his record label hat when his label, The One Entertainment Systems signed Clarence Fountain and Sam Butler and their most recent project: Stepping Up And Stepping Out. It is Clarence Fountain’s first project since stepping away from The Blind Boys of Alabama.

On 24 July 2009, Burke played at the Open-air stage in Charlton Park for the WOMAD Music Festival, held in Wiltshire, England.

The King of Rock ‘N’ Soul celebrated his 70th birthday in March 2010 and is scheduled to tour Japan for the first time in May 2010, before his « Year of the Dream Love Tour » across Europe in July and August 2010, including dates in Spain, Italy, England, Germany, Norway, Belgium, Serbia, Bulgaria and Switzerland.

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( 1 octobre, 2010 )

Jésus DE NAZARETH

jesusofnazareth.jpg 

Jésus DE NAZARETH
Biographie de Jésus DE NAZARETH :
Prophète et Religieux (Cisjordanien)
Né le 25 décembre l’an 0 (approximativement)
Décédé en 33 (approximativement)

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Jésus dit Jésus de Nazareth (8–4 av.-J.C. — 30–33 apr.-J.C.) et appelé également Jésus-Christ par les chrétiens (grec : Iesous Christos), (Jésus vient de l’hébreu signifiant Dieu est salut, et Christ est la traduction grecque du terme hébreu « Messie » (machiakh), celui qui est oint) est le personnage central du christianisme ; il est considéré par les chrétiens comme le Messie et le Fils de Dieu (vrai Dieu et vrai homme, en une seule personne). Les catholiques, les protestants et les orthodoxes le célèbrent religieusement, et même l’adorent en tant que Dieu (deuxième personne de la Trinité) ; d’autres courants chrétiens le célèbrent religieusement en développant des croyances plus variées. Les musulmans le considérent comme le dernier grand prophète avant Mahomet.

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Sa vie
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Les disciples Matthieu, Marc, Luc et Jean ont chacun relaté la vie de Jésus dans quatre Évangiles, qui font partie du Nouveau Testament.

D’après leur témoignage, Jésus naît à Bethléem en Judée. Un recensement ayant été ordonné par un édit de César Auguste, Marie, mère de Jésus, et son époux Joseph, furent contraints de quitter Nazareth en Galilée, pour rejoindre leur village d’origine. La naissance de Jésus à Bethléem accomplirait parfaitement la prophétie de Michée ; certains pensent que cette affirmation serait surtout symbolique, car Bethléem, en hébreu la maison du pain, est réputée « ville de David » où le Messie doit naître. (Voir plus bas pour Nazareth.)

Selon les évangiles de Matthieu et de Luc, Jésus serait né pendant le règne d’Hérode Ier le Grand, alors que Quirinius était gouverneur de Syrie (le seul recensement connu de cette époque eût lieu en l’an 7 av.-J.C.), et serait mort crucifié à Jérusalem en l’an 30 ou 33, sous le mandat du procurateur Ponce Pilate. Il aurait été charpentier (Mc 6 3).

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Les Évangiles canoniques rapportent :
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la naissance virginale, dans les Évangiles de Matthieu Mt 1:18-25 et Luc Lc 1:26-35. Ces passages sont jugés plus tardifs que le reste du texte par une partie des spécialistes (mais sans preuve philologique). Les évangiles établissent également une correspondance entre le récit de la nativité et plusieurs prophéties de l’Ancien Testament ;
la fuite de Joseph, de sa femme et de son enfant en Égypte, avant le massacre des Innocents ; leur retour à Nazareth après la mort d’Hérode (en 4 av. J.-C.) (Mt 2:13-23) ;
la transfiguration avec l’apparition de Moïse et d’Élie (Mt 17 1-8 ; Lc 9 28-36 Mc 9 2-8). L’apparition des personnages de Moïse et de Élie est considérée par certains comme hautement symbolique. Moïse est le fondateur de religion et Élie est à l’époque le prophète le plus aimé du judaïsme. Élie est également réputé n’avoir pas connu la mort, être monté aux cieux de son vivant et devoir revenir en même temps que le Messie. Ce fut également, toujours selon l’Ancien Testament, le sort d’Enoch.
la Passion, c’est-à-dire ses souffrances et sa mort sur la croix (instrument de supplice) ;
la Résurrection constatée au matin de Pâques ;
l’Ascension (c’est-à-dire l’enlèvement de son corps au ciel).

Les quatre évangélistes font le lien avec quelques passages des prophètes des siècles antérieurs (notamment dans le livre d’Isaïe et les Psaumes) comme annonce de la passion et de la résurrection de Jésus, et de son rôle de Messie.

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Les Actes des Apôtres rapportent :
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La Pentecôte, 50 jours après Pâques, à la suite de laquelle les apôtres commencent la diffusion intensive de son message ;
Les débuts de l’Église et de son expansion.
Beaucoup de miracles sont aussi attribués à Jésus, essentiellement des guérisons d’aveugles, de sourds, de lépreux et de paralytiques. En outre, plusieurs résurrections lui sont attribuées : celle de l’esclave d’un centurion romain, celle du fils unique d’une veuve de la ville de Naïn, celle de la fille d’un nommé Jaïrus, et celle de Lazare, son ami, frère de Marthe et Marie.

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Éléments historiques
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Une reconstruction historique d’un crâne aussi âgé et provenant du lieu où a vécu Jésus, par Richard NeaveLe premier historien qui évoque Jésus vers 94 est le juif Flavius Josèphe, né en 39 ap. J.-C. Il n’en a donc pas été le témoin direct. Si la plupart des historiens s’accordent sur leur authenticité, les écrits sont contestés, car le premier « original » connu de l’historien date du IXe siècle ap. J.-C., fruit de multiples réitérations de moines copistes dont la transparence peut être mise en doute. Il convient cependant de signaler que c’est le cas pour la quasi totalité des auteurs anciens. Par ailleurs, l’historien évoque plusieurs Jésus différents, un nom parfaitement banal de l’époque.

Vers 116, dans ses Annales, l’historien romain Cornélius Tacite écrit : « [le nom de chrétiens] leur vient de Christ, qui, sous Tibère, fut livré au supplice par le procurateur Ponce Pilate. … »

Dans sa Vie des Douze Césars, vers 120, Suétone écrit : « [Claude] chassa de la ville les Juifs qui se soulevaient sans cesse à l’instigation d’un certain Chrestus » Cette opération se passe en 50, environ 20 ans après la mort de Jésus. De plus, Christus et Chrestos sont deux mots différents, l’un signifiant « l’oint » (désignant une personne consacrée), l’autre se traduisant par « le bon » et faisant parfois office de nom propre. La confusion peut cependant ne pas étonner de la part d’un auteur « païen ». Il est à noter que Suétone mentionne ici les Juifs alors qu’il mentionne les chrétiens sous le règne de Néron 

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Considérations sur l’historicité de Jésus
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L’existence historique de Jésus a commencé a être contestée au XIXe siècle, depuis Renan, à la suite d’une étude amorcée par Hermann Samuel Reimarus en 1774. En effet, il n’existe aucune authentification historique contemporaine de Jésus.

Historiquement, les références du Nouveau Testament ne prouvent rien. A contrario, l’absence d’évocations de Jésus pendant le Ier siècle en dehors des Évangiles ne prouve nullement qu’il n’existait pas. La Palestine était une colonie mineure et il n’est pas surprenant que son influence eut été insuffisante au début (en ce temps, les exécutés n’avaient pas droit aux feux des projecteurs comme de nos jours ; même la rébellion de Spartacus n’eut pas beaucoup d’échos). Bien d’autres messies ont fini dans les oubliettes de l’Histoire. Pourquoi s’il n’a pas existé, aurait-on jugé utile de l’inventer ? Pourquoi tant d’individus ont-ils cru en lui au point de lui dédier une religion ?

Si le besoin d’un « Dieu mourant » s’était fait sentir, il en existait suffisamment (Osiris, Adonis, Dionysos, Attis, etc.) pour qu’il soit inutile d’en inventer un de plus. La façon dont Jésus est dépeint laisse penser qu’il fut un personnage réel. Aucun auteur de son époque ne se serait donné la peine d’inventer un messie fictif en restant aussi vague et contradictoire sur sa vie et ses enseignements et en imaginant des disciples aussi imparfaits (comme Pierre qui renie trois fois son Maître par lâcheté).

Les contradictions et les bizarreries abondent dans les Évangiles, comme dans la plupart des biographies de personnages historiques. On a vu dans l’absence d’éléments biographiques de Paul la preuve de l’imposture de Jésus. Mais personne n’a jamais suggéré que Paul soit une invention. Or il connaissait des personnes qui avaient rencontré Jésus. Par ailleurs, on peut noter les premiers adversaires du christianisme (tants juifs que romains) n’ont jamais contesté l’existence de son fondateur.

Rares sont encore ceux qui doutent de l’existence de Jésus. Il s’agit surtout d’amateurs, sans aucune fonction universitaire, et qui s’efforcent de convaincre le grand public à défaut des spécialistes ; c’est le cas de Paul-Eric Blanrue, consultant, scénariste et dialoguiste, et occasionnellement exégète ; on cite d’autres noms comme un certain Patrick Dupuy dont on n’arrive pas à savoir ce qu’il a écrit. Autre amateur était le docteur Couchoud qui, outre la médecine et la littérature japonaise, avait comme passe-temps de démontrer que Jésus n’avait jamais existé. Charles Guignebert, professeur à la Sorbonne, s’amusait souvent à se moquer de lui et cet antichrétien notoire ne le faisait certes pas parce que sa religion aurait été offensée : son grand tort, disait-il, c’est qu’il n’avait jamais réussi à convaincre un spécialiste reconnu dont l’adhésion pourrait avoir un sens, et il ajoutait froidement : « L’enthousiasme des incompétents ne compense pas cet échec. » Bien des chercheurs sont tout de même troublés par les ressemblances évidentes du dogme chrétien avec des cultes païens de l’époque.

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Son message
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Selon certains théologiens, le fond du message des évangiles réside dans :

les Béatitudes (selon Matthieu et selon Luc).
les deux commandements : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu » et « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », qui constituent un tout indissociable. Autrement exprimé dans : « En effet, celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit, ne peut pas aimer Dieu qu’il ne voit pas » (Jean VI:20). À noter que ces commandements sont présents dans l’Ancien Testament (Lévitique 19-18: « Tu aimeras ton prochain comme toi-même »). La loi mosaïque reste un socle indiscutable du discours de Jésus rapporté par les évangiles.
l’injonction d’aimer son prochain, fût-il son ennemi.

Le «mystère pascal»: selon les chrétiens, la mort et la résurrection de Jésus.Il prêche l’imminence du Royaume et la nécessité d’une vraie repentance : « Repentez-vous car le royaume des cieux est proche ». (Matthieu IV:17)
L’essentiel du message se trouve certainement dans l’Évangile de Luc au chapitre 4 et aux versets 18 à 21 – un message de paix pour une humanité qui souffre non pas seulement physiquement mais surtout spirituellement à cause de sa décision d’exclure Dieu de sa vie, Jésus vient renouer ce lien au travers de ce message extraordinairement rempli d’amour pour chacun.
Autre formulation dans l’Évangile selon Jean 3, 16 : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. »

Plus qu’un simple « message », Jésus représente pour les chrétiens la venue de Dieu dans l’humanité, avec l’Incarnation du Verbe, le rachat de l’humanité par la croix, et la victoire sur la mort, par la Résurrection, signifiant le salut.

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Perspectives religieuses
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Christianisme
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Christ Pantocrator, détail de mosaïque du XIIIe siècle, Sainte-Sophie, IstambulDans la Bible, nous pouvons lire comment les êtres humains ont perdu leur relation avec Dieu (Genèse 1-3), et comment Dieu cherche à retrouver un contact avec eux. Chrétiens et Juifs croient que Dieu agit sur la Terre, par les prophètes, les songes, ou la nature (le buisson ardent de Moïse par exemple) – autrement dit, que Dieu est immanent, aussi bien que transcendant.

Cependant, selon le Nouveau Testament, en Jésus, Dieu a pris la forme d’un être humain, a vécu parmi les hommes pour montrer qui est Dieu et quels sont son amour, ses commandements, son invitation à l’humanité. Voici l’élément distinctif de la vision chrétienne sur Jésus et, par conséquent, sur Dieu.

La vie de Jésus et des premiers chrétiens est racontée dans le Nouveau Testament. Les témoignages de la vie de Jésus se trouvent principalement dans les évangiles, mais il y a aussi des références dans les écrits de Paul -par exemple, la première épître aux Corinthiens. Jésus de Nazareth est souvent appelé « Jésus-Christ ». Le mot « Christ » (grec – équivalent de « Messie » en hébreu) veut dire « Oint de Dieu ». Les Israélites croyaient que Dieu enverrait quelqu’un pour les libérer et instaurer le « Royaume de Dieu », une transformation qui ferait que Dieu deviendrait le seul Roi de la Terre, que les péchés seraient pardonnés, le Temple restauré, que les Romains seraient renvoyés d’Israël. Ils ont appelé cette personne le Messie.

Selon le Nouveau Testament, Jésus était ce Messie, mais ce n’était pas le Messie que les gens autour de lui attendaient. Il était très critique envers les autorités religieuses, ignorait les règles de la Loi quand l’amour le demandait, et passait beaucoup de temps avec les pauvres, les démunis et les rejetés de la société. Il a parlé d’une relation avec Dieu, non par l’intermédiaire des autorités, mais directement. Finalement, les autorités religieuses en ont eu assez, et ont persuadé les Romains de le crucifier. Il est mort sur cette croix et puis enterré.

Selon les Évangiles, Jésus est « ressuscité » le troisième jour après sa mort. Ce n’est pas une question de « revenir à la vie », comme dans certaines mythologies, mais pour les Israélites, un jour viendrait, à la fin du temps, quand tous les justes passeraient de l’autre côté de la mort, vers une vie épanouie, transformée et sans fin sur Terre. La suite de l’histoire commence quand quelques femmes visitent le tombeau et le trouvent vide. Ensuite c’est le chaos généralisé. Beaucoup de gens voient Jésus dans les jours qui suivent. Il est pareil, mais aussi différent. Il mange, mais apparaît également au milieu d’une pièce fermée. Il semble bien qu’il soit « ressuscité ».

Les prophètes avaient annoncé quelqu’un qui mourrait pour les péchés du monde, la résurrection signifie alors que le pardon est possible, et que plus qu’un prophète supplémentaire, Jésus est Dieu lui-même. Pour les premiers Chrétiens – ceux qui ont cru en Jésus – sa mort et sa résurrection permettent ainsi une relation restaurée avec Dieu, non par des intermédiaires religieux, mais directement par Jésus.

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Islam
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Le Coran nomme Jésus Îssâ.
L’islam considère Jésus comme un prophète majeur contrairement aux chrétiens qui considèrent Jésus comme l’incarnation d’une personne divine. Il n’est ni Dieu, ni fils de Dieu (Coran V; 17). Il est loué à de multiples reprises dans le Coran. Le Coran précise qu’il est né de Marie (Coran II; 87), qu’il est le Messie, que Marie est mère et vierge (Coran III; 45-47 ou XXI; 91) et qu’elle est sœur d’Aaron (XIX, 28), à comprendre comme « de la descendance » d’Aaron. Jésus présenterait la particularité d’avoir parlé dès sa naissance, au berceau. Jésus ne serait pas mort sur la croix, mais une autre personne a été crucifiée à sa place (« ce n’était qu’un faux semblant ») (Coran IV; 157), Dieu ayant élevé Jésus vers Lui. Cette croyance est probablement inspirée du docétisme. Il a confirmé les enseignements de la Torah et il aurait annoncé la venue de Mahomet (Coran LXI; 6) sous le nom de Ahmad. Il serait monté vivant auprès de Dieu, c’est lui qui reviendra pour annoncer le jugement dernier. Il ne reviendra pas en tant que prophète, mais en tant que guide et juge de la communauté des croyants, musulmans ou non. Il reviendra peu avant la venue du Mahdi selon la croyance chiite.

L’historien traditionaliste Tabarî (839-923) raconte à propos de la crucifixion l’épisode suivant (sans se soucier des textes selon lesquels la mise en croix de Jésus, supplice romain, a été effectuée par les Romains) :

Les juifs traînèrent Îsâ à un endroit où ils avaient préparé une croix pour le crucifier, et un grand nombre de juifs se rassemblèrent autour de lui. Ils avaient un chef nommé Yesûʿa, qui était également parmi eux. Quand ils voulurent attacher Îsâ à la croix, Dieu l’enleva à leurs regards et donna la forme et l’aspect de Îsâ à Yesûʿa, leur chef. […] Quand ils regardèrent, ils virent Josué entièrement ressemblant à Îsâ, et ils le saisirent. Il dit : Je suis Josué. Ils répondirent : Tu mens; tu es Îsâ, tu t’es dérobé à nos regards par la magie ; maintenant la magie est passée et tu es devenu visible. Il protesta en vain qu’il était Josué ; ils le tuèrent et l’attachèrent à la croix.
Quant à Îsâ, Dieu l’éleva, au ciel comme il est dit dans le Coran : « Ils ne l’ont pas tué et ils ne l’ont pas crucifié, mais ce n’était qu’un faux semblant. » (Coran IV; 156).
Tabarî (La Chronique, De Salomon à la chute des Sassanides)
Dans le Coran, le mot le plus fréquemment utilisé pour désigner les chrétiens est nasârâ.

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Littérature apocryphe
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Un nombre certain de textes anciens ou plus récents, qui n’ont pas été retenus dans le canon néotestamentaire, mais qui nous sont connus depuis plusieurs siècles déjà, révèlent une vision parfois très différente qu’avaient certains courants des premiers siècles de notre ère (ou, anciennement comme récemment, des contre-conceptions) vis-à-vis de Jésus par rapport au Jésus traditionnellement connu par les évangiles canoniques.

La littérature apocryphe varie grandement en styles et dans les conceptions de Jésus : détails sur son enfance et ses parents (protévangile de Jacques), une descente aux enfers (actes de Pilate), un Jésus maître de sagesse ou initiateur ésotérique (évangile de Thomas), ou encore simple prophète (évangile de Barnabé) plutôt qu’envoyé de Dieu, etc.

La critique textuelle nous donne aujourd’hui l’affirmation d’une fiabilité documentaire et/ou une ancienneté souvent bien supérieures pour les évangiles canoniques, et parallèlement, des datations tardives (p.ex., l’évangile de Barnabé est datée du Moyen Âge) pour nombre d’écrits apocryphes. Sur le plan du contenu, la comparaison entre les évangiles canoniques et les apocryphes, et des apocryphes entre eux, pousse la majorité des savants à conclure à des motivations sectaires développées par les uns et par les autres, soit contre les hérésies (du côté du christianisme officiel – tels les Oracles sybillins), soit contre le christianisme dominant (du côté des courants divergeants, souvents concurrents entre eux). Il faut ajouter que l’érudition a, pour bon nombre des écrits de la littérature apocryphe, conclu à des pseudépigraphes (parfois très tardifs), inspirés de littératures anciennes mais souvent inauthentiques (comme l’évangile de Barnabé, l’Évangile de Thomas, ou – mais cela est disputé – l’évangile de Marie).

(en) Ressource anglophone de textes apocryphes (liés à l’Ancien et au Nouveau Testaments)

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Témoins de Jéhovah
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Pour les Témoins de Jéhovah, Jésus est le Fils de Dieu, la première de ses œuvres, mais non Dieu lui-même. Il est son Fils le premier engendré par le Père. Ils suivent ainsi la doctrine arianiste développée dès le premier siècle.

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Son nom
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Jésus est une translittération grecque d’un diminutif araméen de Yehoshuah ou Yeshoua (hébreu : yešū), traduit également par Josué (hébreu: yehōšu`a). Le sens du mot est Dieu sauve, Dieu est salut, salut, santé, aisance financière.

Le nom Jésus est souvent utilisé pour désigner Jésus de Nazareth également nommé Jésus-Christ.

Il est attesté comme prénom pour Barabbas1, le chef de guerre libéré par Ponce Pilate dans le texte de l’Évangile selon Matthieu XXVII:16-17 et comme prénom pour Ben Sirach, l’auteur du Siracide, livre de sagesse de la Bible. Le nom AbIeschwa est aussi attesté et signifie mon père est aisé. (Source BDB-THAYER)

Dans ses textes, Flavius Josèphe cite plusieurs individus nommés Jésus, parmi lesquels on note :

« Jésus, fils de Sapphas, un des grands-prêtres », gouverneur d’Idumée et également « premier magistrat de Tibériade » (Guerre des Juifs, Livre II, XX.4 et XXI.3 et livre III)
Jésus, un des grands-prêtres (Guerre des Juifs, Livre VI, II.2) peut-être le même que le prêtre « Jésus, fils de Thebouthi » (Guerre des Juifs, Livre VI, VIII.3)
« Jésus, fils d’Ananias » qui prononce des présages contre Jérusalem (Guerre des Juifs, Livre VI, V.3)
un « Jésus, fils de Josédec, le grand-prêtre » contemporain de Darius (Antiquités juives, livre XI, III.1)
Jésus, fils du grand prêtre Onias, qui hellenisa son nom en Jason, contemporain d’Antiochos Épiphane (Antiquités juives, livre XII, V.10)
1. La traduction œcuménique de la Bible indique « De nombreux manuscrits omettent le mot Jésus devant Barrabas. »

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Nazareth
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Pour de nombreux historiens, Jésus, connu sous le nom de « Jésus le nazaréen », serait né autour de l’année 6 av. J.-C. à Nazareth, que les évangiles citent souvent sous la forme hellénisée nazara. Le « nazarénien » (Nazarenos, en grec) est donc l’homme du village de Nazareth. Dans les évangiles, Jésus est aussi désigné comme « nazoréen ». Ce terme est rappoché de l’hébreu nazîr, abstinent, ermite qui désigne un homme lié à Dieu par une promesse particulière. Une dérivation de neser, descendant, rejeton est moins convaincante.

Nazaréens semble la désignation sous laquelle sont connus les premiers chrétiens ; Le pouvoir romain ne les considérait alors que comme une dissidence juive susceptible de troubler l’ordre public. Un passage des Actes des Apôtres rapporte qu’un certain Tertulle accuse l’apôtre Paul en ces termes (Actes XXIV; 5) :

Nous avons trouvé cet homme, qui est une peste, qui excite des divisions parmi tous les Juifs du monde, qui est chef de la secte des nazaréens.
Le terme aurait été utilisé par l’empereur Julien l’apostat sur son lit de mort : « Tu as gagné, Nazaréen! » (Julien avait essayé de restaurer, après Constantin, le culte des anciens dieux romains).

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