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( 21 novembre, 2010 )

VOLTAIRE -DECEDE

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VOLTAIRE -DECEDE

VOLTAIRE

Artiste, écrivain et Philosophe (Francais)
Né le 21 novembre 1694
Décédé le 30 mai 1778 (à l’âge de 83 ans)

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Au XVIII° siècle, à une époque où la culture française dominait en Europe, Voltaire dominait la culture française. Son œuvre comprend un vaste ensemble d’écrits dans tous les genres littéraires, dont 56 pièces de théâtre,des dialogues, des ouvrages historiques, des romans et des contes, des vers et de la poésie épique, des essais, des articles scientifiques et culturels, des pamphlets, de la critique littéraire et plus de 20 000 lettres. Voltaire était né le 21 novembre 1694 et vécut jusqu’à l’âge de 83 ans. Il choisit la carrière des Lettres contre la volonté de son père, qui disait qu’il ne pourrait pas vivre de sa plume. Quoi qu’il en soit, à l’époque où il avait une quarantaine d’années, Voltaire était à la fois un écrivain renommé et un homme riche.

Voltaire est connu pour ses écrits philosophiques, pour sa grande ironie et pour sa lutte contre l’injustice, l’intolérance, la cruauté et la guerre. En France , dans les années 17.. » , il était l’écrivain menant le combat pour des réformes politiques et sociales dont on parlait le plus. Comme ses écrits critiquaient le roi et l’Eglise, il vécut la plus grande partie de sa vie dans la crainte constante d’être emprisonné. C’est pourquoi il passa relativement peu d’années à Paris: y séjouner était pour lui soit interdit, soit trop dangereux.

Voltaire était fils de notaire. De 9 à 17 ans, il suivit les cours du collège jésuite Louis-Le-grand . Quand il l’eut quitté, son père lui trouva une place dans un cabinet d’avocats, mais Voltaire désirait se consacrer à la littérature. Il passait la majeure partie de son temps dans les salons et devint l’animateur de la société parisienne.

En 1717, Voltaire fut arrêté et envoyé à la Bastille pour offenses envers le régent, Philippe II d’Orléans. Il fut libéré onze mois plus tard quand il fut établi qu’il avait été accusé faussement. Pendant son emprisonnement, il écrivit sa première pièce, « Œdipe », qui lui acquit beaucoup d’estime quand elle fut jouée à sa sortie de prison. Voltaire continua à écrire pour le théâtre et croyait qu’il pourrait gagner à la fois gloire et richesse dans la carrière qu’il avait choisie.

En 1726, au théâtre, Voltaire fit une remarque habile au Chevalier de Rohan, un jeune noble, qui comprit que Voltaire le méprisait. Pour se venger, Rohan fit rosser Voltaire par ses gens, tandis qu’il regardait la bastonnade de son carrosse. Bien qu’il n’ait pas été très athlétique, Voltaire prit des leçons d’escrime et voulait provoquer Rohan en duel. Pour éviter une affaire, la puissante famille de Rohan fit publier une lettre de cachet et Voltaire fut arrêté et jeté à la Bastille. Il fut relâché contre la promesse qu’il quitterait le pays et irait en Angleterre.

L’épisode avec le chevalier de Rohan laissa sur Voltaire une empreinte indélébile et à partir de ce moment-là il devint un défenseur de la réforme de la justice et de la société. Pendant son séjour en Angleterre, il rencontra les intellectuels les plus importants du pays. Il fut impressionné par la plus grande liberté d’opinion qu’il y avait en Angleterre et fut profondément influencé par Isaac Newton et John Locke. Quand il fut autorisé à rentrer en France, Voltaire assura sa situation financière puis poursuivit sa carrière littéraire en ayant pour but d’établir la vérité, de la publier dans ses œuvres et d’agir pour la réforme de la société.

Par ses écrits, Voltaire essaya d’amener une réforme des structures sociales et judiciaires de l’époque. Au XVIII° siècle, en France, la totalité du pouvoir était entre les mains du roi et de l’Eglise. L’Eglise enseignait que l’autorité pour déterminer ce qui était bon et ce qui était mauvais était entièrement dévolue au roi par Dieu. Le roi était complètement au-dessus des lois; son bon plaisir était la loi. L’Eglise inculquait à la l’opinion générale le respect de la monarchie de droit divin et, en retour , le roi protégeait l’autorité de l’église catholique en France. Ainsi, c’était un système de contrôle des consciences, et tant que le peuple croyait au droit divin des rois , les rois et l’ Eglise , et ceux qui avaient une fonction à leur service ( les nobles et le haut-clergé) maintenaient leurs privilèges par rapport au reste de la population.

Au XVIII° siècle, il y avait 350 coutumes différentes en matière de loi dans les différentes provinces françaises. Il était difficile pour un sujet de savoir quelle était la loi dans tel lieu et dans tel cas. Les charges judiciaires étaient vénales et il n’était pas nécessaire d’avoir une expérience antérieure. Les juges prononçaient les sentences d’après les lois existantes au nom du roi, qui leur avait délégué le pouvoir qu’il détenait de droit divin. Une personne arrêtée pouvait être maintenue en prison pendant des mois avant qu’un procès ne soit tenu. Il n’y avait pas de jury, la torture pouvait être appliquée pour obtenir les aveux et, si la culpabilité était établie, les biens de la personne étaient confisqués par le roi. Les lois pénales étaient confuses. De nouvelles lois contredisaient les anciennes, et il y avait souvent matière à discussion. Presque chaque décision prise par un juge pouvait être attaquée et contestée d’après une autre loi. De cette façon, le pouvoir des juges était illimité.

Quand on voulait faire procéder à une arrestation sans que la loi ait été violée, on pouvait, si l’on avait de l’influence, obtenir une garantie secrète, appelée lettre de cachet qui était contresignée par le secrétaire d’Etat et fermée par le sceau royal. La personne nommée dans la lettre de cachet devait se rendre dans une certaine prison ou s’exiler, soit à l’étranger, soit dans telle ville de France. La victime restait en prison ou en exil pour une période indéterminée. Elle ne pouvait pas se défendre puisqu’il n’y avait pas eu d’accusation, ni de procès.

Il n’était pas facile d’être un écrivain favorable à la réforme de la société au XVIII° siècle en France. Tous les écrits étaient examinés par les censeurs officiels avant de pouvoir être publiés. En 1741 il y avait soixante-seize censeurs officiels. Avant que le livre n’obtienne « la permission et le privilège du roi », le censeur devait attester que le livre ne contenait rien de contraire à la religion, à l’ordre public ou aux bonnes mœurs. Un livre publié sans la permission du gouvernement pouvait être brûlé par l’exécuteur public, l’imprimeur et l’auteur arrêtés et mis en prison. Beaucoup d’œuvres de Voltaire furent brûlées par l’exécuteur public.

En 1757, un homme du nom de Damiens tenta d’assassiner Louis XV. En réponse à cet attentat sur le roi, un nouvel édit stipula que quiconque serait convaincu d’avoir écrit ou imprimé des oeuvres tendant à attaquer le pouvoir ou la religion, ou à troubler l’ordre et la tranquillité du royaume serait mis à mort. En 1764 un autre décret interdit la publication d’écrits sur les finances de l’Etat. Livres, pamphlets et même préfaces de pièces de théâtre étaient soumis à un examen détaillé et contrôlés. Des sentences qui allaient du pilori à neuf ans de galères furent prononcées pour la vente ou l’achat de publications critiquant l’ordre établi. Pendant presque toute sa vie Voltaire jugea nécessaire d’avoir prêts les moyens de fuir s’il apprenait que la police le recherchait.

A cause de lois de censure, Voltaire écrivit fréquemment de manière anonyme et la vente de la plupart de ses livres était interdite. De toute façon , en raison de son talent d’écrivain et de son esprit étincelant , un texte de Voltaire qui était interdit était très demandé.

Voltaire et les autres écrivains français qui voulaient échapper à la censure faisaient imprimer leurs œuvres à Amsterdam, La Haye ou Genève puis les faisaient entrer clandestinement en France. Voltaire nia être l’auteur de beaucoup de ses écrits et parfois même rédigea la critique ou la dénonciation de ses propres livres. Il utilisait aussi d’autres moyens pour masquer ses idées sur la nécessité de réformer la société. Ses pièces et ses contes ( contenant des exemples d’injustice similaires à ce qui se passait en France) étaient souvent situés dans le passé ou dans des pays étrangers ou imaginaires. Une autre technique consistait à publier sans faire de conclusion et à laisser le lecteur ou la lectrice faire son propre jugement. Voltaire était souvent appelé le Génie de la Moquerie. Il utilisait la logique et l’humour pour démontrer que l’opinion opposée à la sienne était ridicule ,- et dans cette technique, Voltaire était passé maître.

Les droits d’auteur n’existaient pas à cette époque et il était normal pour les éditeurs d’imprimer tout ce qui tombait entre leurs mains et de ne pas partager leurs bénéfices avec l’écrivain. C’est pourquoi Voltaire retira très peu de profit de ses écrits. Il comprit très tôt qu’il était nécessaire d’avoir des moyens de subsistance indépendants s’il voulait encourager la réforme de la société par ses livres.

Voltaire était millionnaire vers la quarantaine. Quand il avait une vingtaine d’années, il cultiva l’amitié de riches banquiers, en particulier des frères Paris. C’est par eux qu’il apprit à investir , à spéculer etc… les frères Paris avaient un contrat pour fournir à l’armée française nourriture et munitions et ils l’ invitèrent à participer avec eux à cette entreprise extrêmement profitable. Quand il était en Angleterre, il remarqua qu’on pouvait gagner beaucoup d’argent dans le commerce extérieur et il investit dans des bateaux qui naviguaient autour du monde. Il investit aussi dans les œuvres d’art , prêta à des particuliers et prit des intérêts sur les prêts.

Le secrétaire de Voltaire, Longchamp, rapporte que les revenus de Voltaire en 1749 étaient de 80 000 francs, ce qui correspond approximativement à 600 000 $ ( 592 200 Euros) actuellement. Voltaire garda des placements qui rapportaient 45 000 francs dans plusieurs pays étrangers. Cela était fait pour assurer ses moyens de subsistance au cas où il aurait à quitter la France rapidement.

Voltaire dans son œuvre dénonce la guerre, l’intolérance religieuse et l’injustice politique et sociale. Ses écrits ont eu une grande influence sur la Révolution française de 1789 et sur la Révolution américaine de 1776. Il faut lire les livres de Voltaire pour comprendre pourquoi il fut considéré comme le plus grand écrivain de son temps en Europe et pourquoi il est encore écouté aujourd’hui.

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( 16 novembre, 2010 )

Georges Marchais-Décédé

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 Georges Marchais-Décédé

Georges Marchais de René Louis (7 Juin 1920, La Hoguette dans le Calvados

 - 16 novembre 1997, Paris) était à la tête du Parti communiste français (PCF) de 1972 à 1994, et un candidat aux élections présidentielles françaises de 1981 – dans laquelle il a réussi à recueillir seulement 15.34 % des voix, qui a été considéré à l’époque un sérieux revers pour le parti.
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Début de la vie
Né dans une famille catholique, il devient un mécanicien, juste avant le début du WWII, avec la Société Nationale d’étude et de construction de Moteurs d’Aviation. Après chute de la France, il semble avoir inscrits dans L’Allemagne nazie pour travailler dans l’avion Messerschmitt usine, qu’il quittait pour l’Allemagne avant la création du système de la STO, par lequel les travailleurs français ont été contraints de travailler dans les usines allemandes. 

En 1946, il devenue Secrétaire du syndicat Issy-les-Moulineaux des métallurgistes et avancé dans la Confédération générale du travail dans sa commune de 1951, devient secrétaire de Union Fédération la Seine métallurgique Workers’ de 1953 à 1956. 

Carrière politique
Le groupe, il entra en 1947. En 1956, il a été nommé membre du Comité Central étendue et en 1959 un membre à part entière et du Politburo.  Depuis 1961, il a été secrétaire responsable de l’organisation et a participé au renforcement de la direction de Maurice Thorez, qui a été secrètement contestée par certains membres du Politburo (Laurent Casanova et Marcel Servin). En réaction à des émeutes de mai 1968, Marchais a démontré son mépris pour Daniel Cohn-Bendit en l’appelant un allemand anarchiste.  En 1970, il a été promu junior Secrétaire général. Il a cosigné le Programme commun avec le Parti socialiste (PS) et le Mouvement des radicaux de gauche (MRG) en juin 1972.  De 1973 à 1997, il a été adjoint du Val de Marne département, dans la banlieue sud de Paris.

En décembre 1972, il devient secrétaire général, après la retraite de Waldeck Rochet. Au début de son mandat, le PCF a environ 20 % aux élections. Mais au milieu des années 1970, il a perdu sa place de « premier parti de gauche » Parti socialiste de François Mitterrand de. Au début, il appuie les réformes dans son parti, qui a participé à Eurocommunisme avec le Parti communiste italien de Enrico Berlinguer et le Parti communiste espagnol de Santiago Carillo et renoncé à l’idée d’une dictature du prolétariat (22e Congrès, 1976). Tout d’abord, il est confronté avec les reproches de dirigeants soviétiques. Puis, face à la croissance électoral du PS au détriment de son parti, il impose un réalignement de l’ Union soviétique à la fin des années 1970.  Les partis de gauche n’a pas réussi à mettre à jour leur Programme commun et perd les élections législatives de 1978, même si elles ont été conduit dans les sondages. À l’extérieur et à l’intérieur du parti, il a été accusé d’être responsable de cette défaite. Un an plus tard, il appuie l’invasion soviétique de l’ Afghanistan (1979),  jugés les gouvernements communistes « assez positif » et a critiqué la « dérive de droite » du parti socialiste. Lors de l’ élection présidentielle de 1981, il arrive quatrième au premier tour, avec 15 % des voix, par la suite souscrivant Mitterrand, qui a remporté la deuxième. Il a négocié l’entrée du quatre PCF politicien dans le cabinet du premier ministre Pierre Mauroy

En 1984, après que le président Mitterrand renoncé à Programme commun de la gauche et à la sanction électorale lors de l’ élection du Parlement européen (seulement 11 % des votes) ministres du PCF a démissionné de l’armoire. Un déclin électoral s’ensuit et Marchais face interne dissidence de chiffres comme Pierre Juquin, Claude Poperen et Charles Fiterman. En effet, certains membres du parti, notamment parmi les choisit local, accusant lui mener une stratégie suicidaire. Il a laissé André Lajoinie, leader du groupe communiste à l’ Assemblée nationale, représentée le parti à l’ élection présidentielle de 1988. Il a été réservé sur la perestroïka. Contrairement aux Communistes italiens, il a refusé de modifier le nom du parti français après l’effondrement du bloc soviétique.

En 1994, lors du 28e Congrès du PCF, il céda sa place comme Secrétaire général Robert Hue, bien qu’il a maintenu son rôle titular comme membre du Bureau de la politique – maintenant significativement renommé le Bureau National. La même année, il est devenu président du PCF Comité pour la défense des libertés et droits de l’homme en France et dans le monde (« Comité pour la défense des libertés de l’homme et les droits en France et dans le monde »). Il a critiqué la rénovation du parti dans le cadre de son successeur. Il est mort en 1997

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( 1 novembre, 2010 )

Pierre-Luc SÉGUILLON-Décédé

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 Pierre-Luc SÉGUILLON-Décédé

Pierre-Luc SÉGUILLON
Biographie de Pierre-Luc SÉGUILLON : 

Journaliste (Francais)
Né le 13 septembre 1940
Décédé le 01 novembre 2010 (à l’âge de 70 ans)

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Pierre-Luc Séguillon, parfois surnommé par ses initiales PLS, est un journaliste français de radio et de télévision, né le 13 septembre 1940 à Nancy et mort le 1er novembre 2010 à Paris.

Titulaire d’une licence d’arabe (Institut français de Damas – Faculté des lettres de Lyon) et d’une licence de philosophie et de théologie (Collège supérieur de théologie d’Eveux), Pierre-Luc Séguillon est diplômé de l’Institut des lettres orientales (université Saint-Joseph de Beyrouth).

De 1970 à 1983, il est reporter, rédacteur en chef adjoint, puis rédacteur en chef de l’hebdomadaire Témoignage chrétien. Militant socialiste, il a siégé au collectif de politique étrangère du Parti Socialiste entre 1980 et 1983.[réf. souhaitée] En 1983, il est le directeur de la revue L’Enjeu.

En 1983, il rejoint TF1 pour diriger le service politique[3]. En 1984, il anime l’émission hebdomadaire Midi presse. De 1985 à 1987. souhai, il co-anime avec Anne Sinclair l’émission Questions à domicile.

En 1987, il rejoint La Cinq pour y devenir éditorialiste et chef du service politique. Jusqu’à la disparition de la chaîne en 1992, il anime plusieurs émissions dont la mensuelle La preuve par Cinq (1987-1988) et l’hebdomadaire Aparté (1989-1992[réf. souhaitée]). Parallèlement, de 1990 à 1998, il anime l’émission hebdomadaire Regarde le monde sur Canal J. De 1993 à 1994[réf. souhaitée], il est éditorialiste politique quotidien sur la radio BFM et animateur de l’émission culturelle hebdomadaire Sortie de Secours sur Paris Première.

En 1994, il participe à la création de LCI, la chaîne d’information en continu du groupe TF1. Jusqu’en 2008, il est éditorialiste politique, animateur de débats et d’entretiens politiques. À partir de septembre 1996, il participe à l’émission d’interview politique dominicale Le Grand Jury avec RTL[5]. Parallèlement, de 1996 à 2002, il préside le conseil de surveillance de l’hebdomadaire Témoignage chrétien. De 2003 à 2006[réf. souhaitée], il anime l’émission mensuelle J’ai aimé un cheval sur Équidia. À partir de 2004[réf. souhaitée], il assure une chronique politique mensuelle dans la revue L’essentiel des Relations internationales. À partir de 2008[réf. souhaitée], il anime l’émission littéraire mensuelle L’Esprit des Lettres sur la chaîne de télévision catholique KTO.

Fin décembre 2008, il quitte LCI, précisant que la chaîne a décidé de ne pas renouveler son contrat[6]. En 2009, il devient éditorialiste politique sur i>Télé.

En avril 2004, il est fait chevalier de la Légion d’honneur.

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