( 24 mars, 2010 )

Omar SECK-Décédé

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Omar SECK – 24-03-2010

Omar SECK – 24-03-2010
Dakar — L’artiste-comédien sénégalais Omar Seck (1946-2010), qui s’est forgé la stature d’une figure emblématique du théâtre sénégalais, est aussi un acteur qui s’est fait une belle réputation en se mettant dans la peau de différents personnages.

A chaque fois que Seck a habité le personnage qu’il incarne, c’est à la satisfaction des réalisateurs soucieux de bénéficier de son talent et de sa maîtrise professionnelle acquise sur les planches du Théâtre national Daniel Sorano.

Décédé mercredi à l’âge de 64 ans, l’artiste a été inhumé jeudi après-midi au cimetière musulman de Yoff en présence d’une foule nombreuse. Il a, pendant plus de 40 ans, marqué de son empreinte le théâtre sénégalais, à la fois par son talent, sa prestance sur scène, sa voix et une forte personnalité.

De « Jom » du Sénégalais Ababacar Samb Makharam, en 1981, à « L’Absence » du Guinéen Mama Keïta et « Ramata » du Congolais Léandre-Alain Baker en 2009, il est apparu dans une dizaine de films traitant de faits sociaux, culturels et politiques. Omar Seck c’est Gora le gendarme qui parvient, avec tact et fermeté, dans « Guelwaar » de Sembène Ousmane (1992) à ramener le calme dans un village où couvait la menace d’un affrontement interreligieux.

Il est policier dans « Le Jardin de papa » du Congolais Zeka Laplaine (2002) et « Deweneti » de la Sénégalaise Dyana Gaye (2006), chômeur doublé d’un activiste syndical dans « Un amour d’enfant » de Ben Diogaye Bèye (2004)…

Ben Diogaye Bèye a fait jouer Omar Seck dans un second film, « Dakar, rue publique » (2009), un film dans lequel le réalisateur exprime sa révolte face aux changements intervenus à Dakar, notamment sur le plan architectural.

Omar Seck a aussi joué dans « Dakar-Clando » d’Ousmane William Mbaye (1990), « TGV » de Moussa Touré (1997), « Battu » de Cheik Oumar Sissoko (2000).

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Agence de Presse Sénégalaise (Dakar)

Sénégal: Omar Seck, une figure marquante du théâtre sénégalais +++Par Aboubacar Demba Cissokho (APS)+++

L’artiste-comédien sénégalais Omar Seck, décédé mercredi à l’âge de 64 ans à Dakar, a, pendant plus de 40 ans, marqué de son empreinte le théâtre sénégalais, à la fois par son talent, sa prestance sur scène, sa voix et une forte personnalité.

Né à Dakar le 20 janvier 1946, Omar Seck effectue ses études primaires à l’école Malick Sy et ses études secondaires au lycée Van Vollenhoven (actuel Lamine Guèye). Il trouve sa vocation en 1962 lorsqu’un, grâce à un ami, il commence à suivre des cours d’art dramatique. Tous les soirs, de 18 heures à 19 heures, il est encadré par trois professeurs dont le Sénégalais Abdoulaye Dieng Mbadane.

Après cette formation qui a duré trois ans, il sort major de sa promotion, remportant le prix du théâtre, le prix d’interprétation et le premier prix de diction. Ces premières distinctions lui permettent de bénéficier d’une bourse qui devait le mener à Nancy (un an) et à Paris (trois ans).

Mais il ne fait pas le voyage pour la France. C’était en 1966, année du premier Festival mondial des Arts nègres. Maurice Sonar Senghor, alors directeur du Théâtre national Daniel Sorano, le convainc d’intégrer la troupe dramatique.

Ses aînés, Sarr Abdoulaye Farba, Doura Mané et Edge Diop, qui venaient de passer trois ans de stage en France, le prennent sous leur aile et l’encadrent. La troupe comptait aussi dans ses rangs Moustapha Touré, Soulèye Mbaye, Guillaume Corréa, entre autres pensionnaires.

Omar Seck intègre alors le groupe en compagnie de Djibril Diop Mambety qui, avant de mener une brillante carrière de cinéaste, a animé les planches du Théâtre national Daniel Sorano. Seck participe ainsi à la mise en scène de classiques, à la création de grandes pièces de théâtre et à des tournées internationales.

Benjamin de la troupe, sous la direction du comédien et metteur en scène français, Raymond Hermantier, Omar Seck interprète son premier rôle en 1968, dans la pièce « L’Exil d’Alboury » du dramaturge de Cheik Alioune Ndao.

Omar Seck et ses compagnons effectuent des tournées en Afrique, en Europe, accompagnent le président Léopold Sédar Senghor dans différentes visites à travers le monde. Ils participent à de nombreux festivals, glanent des distinctions et contribuent au rayonnement culturel du Sénégal.

Avec « L’Exil d’Alboury », la troupe obtient la médaille d’or du théâtre au premier Festival culturel panafricain d’Alger en 1969. Omar Seck excellait aussi dans la mise en scène de pièces d’auteurs africains, que dans des classiques étrangers comme « La Tête d’Or » de Paul Claudel.

Son talent et sa maîtrise de son art sont reconnus par les professionnels, critiques et autres organisateurs de rencontres théâtrales. A Namur (Belgique), où il a joué avec des Allemands, des Français, des Africains, au Festival international du Cameroun (Couronne d’ébène), il gagne des prix.

Des décorations aussi. Il est Chevalier de l’Ordre national du Mérite et Officier de l’Ordre national du Lion. En 1997, le Grand Prix du président de la République pour le théâtre sonne comme le couronnement d’une carrière accomplie.

En juillet 2009, lors du deuxième Festival culturel panafricain d’Alger, il disait à l’APS ce qu’il devait au théâtre : « Je dois tout au cet art qui m’a apporté beaucoup de choses, en contribuant à élever mon esprit et en me permettant de faire le tour du monde. En plus, c’est un art très riche. »

Ces dernières années, en artiste expérimenté, il était devenu un observateur avisé de la scène sénégalaise, n’hésitant pas à donner son avis sur la pratique des plus jeunes. En guise de conseil, il leur demandait d’accorder une place importante à la formation, estimant que le théâtre « ce n’est pas n’importe quoi ».

Après sa retraite, en 2005, il a continué à travailler avec le Théâtre national Daniel Sorano auquel il était lié par un contrat.

Omar Seck n’était pas seulement un homme de théâtre. Il a aussi joué au cinéma. Ainsi il a admirablement joué dans « Guéléwar » de Sembène Ousmane, « Un amour d’enfant » de Ben Diogaye Bèye, entre autres films.

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( 23 mars, 2010 )

Marva WRIGHT-décédée

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 Marva WRIGHT-décédée

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Marva WRIGHT – 23-03-210
Marva Wright, la reine du gospel et du blues de La Nouvelle-Orléans, est décédée mardi à l’âge de 62 ans, a expliqué son ancien agent Adam Shipley, des suites d’un accident vasculaire-cérébral survenu en juin 2009.

Sa fille, Gerry McKey, avait alors expliqué que sa mère était aussi atteinte de diabète et d’hypertension artérielle.

Elle était connue pour avoir chanté du jazz traditionnel et repris des classiques de gospel mais aussi encore plus pour son blues parfois grivois et toujours sensuel. Parmi ses titres les plus en vogue: « Hearthbreakin’ Woman » et « Mama, he treats your Daughter mean ». Elle jouait dans le groupe BMWs.

Elle avait commencé sa carrière professionnelle à l’âge de 40 ans, selon son site Internet. AP

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Marva Wright (Le 20 mars 1948 – 23 mars 2010)  a été un de blues américain chanteur.

Biographie

Né à Nouvelle-Orléans, en Louisiane, Wright premiers efforts chant public ont été entendus dans l’église, avec sa mère la fin Mattie Gilbert, un joueur de piano et l’Évangile, chanteur, comme son accompagnateur. Suivi des honneurs haut de la page dans un concours de chant parrainée par l’école. Mahalia Jackson, la prestigieuse Évangile chanteur, était un ami au début de la famille. 

Wright ne pas tourner professionnel jusqu’en 1987, quand elle était presque quarante ans. Même alors, elle n’a commencé à chanter comme un moyen de soutenir sa famille avec un deuxième emploi. Au début de 1989 durant un ensemble vivant à Tipitina à la Nouvelle Orléans, Wright a son premier enregistrement, Mama, il Treats votre fille moyenne. Elle fait ses débuts à la télévision nationale, en 1991, alors que sa ville natale était le paramètre pour un spécial qui portait sur le Super Bowl, où elle a rencontré le CBS news emmènera Ed Bradley, qui à cette époque, il pensait seulement, elle chante Gospel, ce n’est pas jusqu’à ce que la même année où il redécouvre son au jazz de la Nouvelle-Orléans et l’Heritage Festival et depuis ce jour sur avait été présentant son chaque année. Heartbreakin’ femme, première version pleine longue de Wright, semblait plus tard cette année. Wright 1993 album Né avec le blues a été libéré à l’origine en France, puis trois ans plus tard l’empreinte de la major-étiquette vierge il choisi pour le reste du monde. Ses efforts de 2007, Après les digues Broke, adressée à la dévastation de L’ouragan Katrina – qui a détruit sa maison et de tous ses biens – par la réaffectation des chansons comme de Willie Nelson « Crazy, » Sam Cooke « A Change Is Gonna Come » et de Bruce Hornsby « The Way It Is. »  En août 2008, elle a dansé avec les zones humides en Louisiane All-Stars à la fois la Convention nationale démocratique à Denver (Colorado) ainsi que la Convention nationale républicaine dans le Minnesota.

Marva est bien connue partout en Europe, où elle a beaucoup de fans et de fréquentes visites à l’étranger, faisant des festivals dans des endroits comme la France, en Italie, Allemagne, Australie, au nom de quelques.

Elle chante aussi sauvegarde pour des artistes comme Allen Toussaint, Glen Campbell, et Joe Cocker et la longue liste des autres Wright effectuée avec comprend Cyril Neville, Harry Connick Jr., Bobby McFerrin, Aaron Neville, Fats Domino, Lou Rawls et Marcia Ball. 

En mai et en juin 2009, Wright a subi une paire de traits de qui elle jamais complètement rétablie et le 23 mars 2010, elle mourut quelques jours après son 62e anniversaire à domicile de sa fille aînée de la Nouvelle-Orléans.

Discographie
Heartbreakin’ femme (1991)
Né avec le blues. (1993)
Marva (1994)
Mon chant de Noël (1994)
Je Haven’t trouvé toujours pas je suis passé pour (1995)
Marvalous (1995)
Mama Bluesiana (1997)
Laisser les talk (2000)
Reine glitter (2002)
Reine du Blues de la Nouvelle-Orléans (2004) (compilation)
Très femme : l’âme de la Nouvelle-Orléans (2006) (redélivrance de Born With The Blues)
Après les levées Broke (2007) 

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( 17 mars, 2010 )

Wayne COLLETT-Mort

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Wayne COLLETT – 17-03-2010

L’Américain Wayne Collett, médaillé d’argent du 400 m des jeux Olympiques 1972 de Munich, est décédé à l’âge de 60 ans mercredi à Los Angeles, indiquent les médias américains. Il avait été battu par son compatriote Vince Matthews en finale olympique et tous les deux avaient été exclus de l’équipe américaine pour leur attitude nonchalante lors de l’hymne national. Aux sélections américaines pour ces mêmes JO, Wayne Collett avait couru le tour de piste en 44 sec 1/10 à Eugene (Oregon/nord-ouest), temps qui constituait à l’époque le 400 m le plus rapide au niveau de la mer.

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Wayne Curtis Collett (20 Octobre 1949 – 17 mars 2010) était un athlète olympique américain africains qui ont concouru principalement dans les 400 mètres.

Il a participé aux Jeux Olympiques de 1972 tenu Munich, en Allemagne, en les 400 mètres, où il a remporté la médaille d’argent aux États-Unis. Lors de la cérémonie de la médaille Collett gagnant Vincent Matthews parlé les uns aux autres, battre leurs pieds, frotté leur menton et affairaient alors que l’hymne national de U.S. joué, menant à croire qu’il a été une protestation Black Power, comme celui de Tommie Smith et John Carlos en 1968. Quitter la scène après la cérémonie, Collett a donné une salve de Black Power.

L’ Associated Press a noté que le comportement occasionnel de Matthews et Collett pendant la lecture de l’hymne comme « irrespectueux, » et décrit la conduite comme suit :

: « Collett, à pieds nus, sauté de la couche de n° 2 sur le stand n° 1 à côté de son coéquipier. Ils se sont latéralement pour le drapeau, twirling leurs médailles, avec Matthews tracer son menton. Leurs épaules chutent, ni se tenait debout ni regarde à l’indicateur. … Comme les sifflements et les sifflets ont continué, Collett soulevée un poing serré à la foule avant d’entrer dans le portail de la salle d’habillage. »

Dans une interview après la cérémonie de médaille avec l’ American Broadcasting Company, Collett a dit que l’hymne national signifiait rien à lui.  Il a expliqué qu’il avait se sentait pas en mesure d’honorer l’hymne en raison de la lutte auxquels font face les américains à l’époque: « Je ne pouvais pas debout il et chanter les mots parce que je ne crois pas qu’ils sont Trues. Je souhaite qu’ils étaient. Je crois que nous avons la possibilité d’avoir un pays magnifique, mais je ne crois pas que nous faisons. » La paire de futures compétitions olympiques ont été interdits par le CIO. Cela et blessure John Smith signifiait que les États-Unis n’avait suffisamment d’hommes pour remplir une équipe de relais 4 x 400 m et ont été forcés de se retirer du concours.

Il est diplômé de l’UCLA en 1971 et plus tard a obtenu un diplôme MBA et le droit de là. Il a pratiqué le droit et a travaillé dans l’immobilier et des hypothèques. 

Il est mort après qu’une longue lutte atteints d’un cancer à Saint-Vincent-Medical Center à Los Angeles le 17 mars 2010, âgées de 60 ans

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