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( 30 décembre, 2008 )

Bernie HAMILTON-Décédé

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Bernie HAMILTON
Biographie de Bernie HAMILTON :
Acteur et Artiste (Américain)
Né le 12 juin 1928
Décédé le 30 décembre 2008 (à l’âge de 80 ans)

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Bernie Hamilton est un acteur américain né le 12 juin 1928 à Los Angeles, Californie (États-Unis) et mort le 30 décembre 2008[1]. Il accède à la notoriété à partir de 1964 grâce au rôle de Frank Richards dans le film « One potato, two potato », dont le sujet sensible pour l’époque est un mariage interracial. Il reste cependant connu pour le rôle du Capitaine Dobey, dans la série Starsky et Hutch, le premier chef de police interprété par un noir. Il est le frère cadet du batteur de jazz Chico Hamilton (né à Los Angeles le 21 septembre 1921).

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Filmographie
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Cinéma

* 1950 : The Jackie Robinson Story : Ernie, Panther Player
* 1951 : La Nouvelle aurore (Bright Victory) : Soldier
* 1951 : Mysterious Island : Neb
* 1951 : The Harlem Globetrotters : Higgins
* 1954 : Jungle Man-Eaters : Zuwaba
* 1954 : Carmen Jones : Reporter
* 1955 : Kismet : Pearl Merchant
* 1956 : Intrigue au Congo (Congo Crossing) : Pompala
* 1956 : The Girl He Left Behind : Corporal West
* 1959 : Cry Tough : Policeman
* 1960 : La Jeune fille (The Young One) : Traver
* 1960 : Let No Man Write My Epitaph : Goodbye George
* 1961 : Les Bas-fonds new-yorkais (Underworld U.S.A.) : Investigator
* 1961 : Le Diable à 4 heures (The Devil at 4 O’Clock) : Charlie
* 1962 : Lutte sans merci (13 West Street) : Negro
* 1963 : Captain Sindbad : Quinius
* 1964 : One Potato, Two Potato : Frank Richards
* 1965 : Synanon : Pete
* 1968 : The Swimmer : Halloran’s Chauffeur
* 1969 : L’Homme perdu (The Lost Man) : Reggie Page
* 1970 : Walk the Walk
* 1970 : Nam’s Angels : Capt. Jackson
* 1971 : The Organization : Detective Lieutenant Jessop SFPD Narcotics Division
* 1972 : Hammer : Davis
* 1973 : Scream Blacula Scream : Ragman
* 1975 : Bucktown : Harley

Télévision

* 1960 : Alfred Hitchcock présente (Alfred Hitchcock presents) (Série TV) : Dawson the butter
* 1961 : La Quatrième Dimension (The Twilight Zone) (Série TV) : Coley
* 1966 et 1969 : Le Virginien (The Virginian) (Série TV) : Caporal Harvey
* 1967 : Stranger on the run (Téléfilm) : Dickory
* 1967 : Me and Benjy (Téléfilm) : Joe
* 1967-1968 : Tarzan (Série TV) : Chaka
* 1967 : L’homme de fer (Ironside) (Série TV) : Lieutenant Adams
* 1967 : Sullivan’s Empire (Téléfilm) : Amando
* 1969-1970 : The Name of the Game (Série TV) : Jason
* 1970 : Me and Benjie (Téléfilm)
* 1970 : A Clear and Present Danger (Téléfilm) : House
* 1973 : Police Story (Série TV) : Bo Tate
* 1973 : All in The Family (Série TV) : Walter
* 1973 : Sanford and Son (Série TV) : Officier Jones
* 1975 : L’homme qui valait trois milliards (The Six Million Dollar Man) (Série TV) :
Lieutenant Dobbs
* 1975 : That’s My Mama (Série TV) : Jake
* 1975-1979 : Starsky et Hutch (Starsky and Hutch) (Série TV) : Capitaine Harold Dobey
* 1980 : Battlestar Galactica (Série TV) : Chef de la police
* 1985 : La Croisière s’amuse (The Love Boat) (Série TV)
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( 25 décembre, 2008 )

Eartha KITT-Décédée

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 Eartha KITT-Décédée

Eartha KITT – 25-12-2008
La chanteuse de jazz et actrice américaine Eartha Kitt est décédée le jour de Noël, à l’âge de 81 ans.
Également artiste de cabaret, celle qui avait quitté les champs de coton de sa Caroline du Sud natale pour faire carrière dans le show-business, est décédée des suites d’une longue bataille contre le cancer du côlon.
Elle est décédée au Columbia Presbyterian Hospital, à New York.
Véritable icône de sensualité et d’élégance, Kitt était considérée comme l’une des chanteuses américaine les plus versatiles, remportant au passage deux prix Emmys au cours de sa carrière. Elle a également été nominée aux prix Grammys.

Elle restera sans doute célèbre pour sa voix si particulière, qui prenait des airs de ronronnements félins langoureux et sensuels. Elle tenait d’ailleurs le rôle de la Femme-Chat dans la série télé des années 60, ‘Batman’, en plus d’avoir été la muse du cinéaste Orson Welles pendant plusieurs années.
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Eartha Mae Kitt (17 Janvier 1927 – le 25 décembre 2008 ) a été américain comédienne, chanteuse et cabaret star. Elle est peut-être mieux connue pour son style distinctif de chant et son 1953 a touché chant de Noël « Santa Baby ». Orson Welles appelée une fois lui « la femme plus excitante dans le monde ».  Elle a pris sur le rôle de Catwoman pour la troisième saison de la série télévisée de Batman du années 1960, remplacement de Julie Newmar, qui n’était pas disponible pour la saison dernière.
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Biographie 
Premières années
Kitt est né dans une plantation de coton dans la ville du Nord, Caroline du Sud, une petite ville dans le comté de Orangeburg près de Columbia en Caroline du Sud. Mère de Kitt était d’ascendance Cherokee et afro-américaine et son père d’origine allemande ou néerlandais. Kitt a été conçu par le viol. 

Kitt a été soulevée par Anna Mae Riley, une femme afro-américaine qu’elle croyait être sa mère. Anna Mae est allé pour vivre avec un homme noir lorsque Eartha était 8. Il a refusé d’accepter de Kitt en raison de son teint pâle relativement.  Kitt a vécu avec une autre famille jusqu’à la mort de Riley. Elle a été envoyée ensuite vivre à New York avec Mamie Kitt, qui elle a appris a été sa mère biologique. elle avait pas connaissance de son père, sauf que son nom était Kitt et qu’il était soi-disant un fils du propriétaire de la ferme où elle était né.  Journal nécrologiques affirmer que son père blanc était « un agriculteur de coton pauvres. »  

Carrière
Kitt a commencé sa carrière en tant que membre de la Compagnie de Katherine Dunham en 1943 et demeure un membre de la troupe jusqu’en 1948. Un chanteur doué d’une voix distinctive, son succès comprennent les « Let’s Do It », « Saveurs de Champagne », « c’est si bon », « Just an Old Fashioned Girl », « Monotone », « Je cherche un homme », « Love for sale », « Je serait plutôt être mortes comme une sorcier », « Uska Dara », « Mink, Schmink », « sous les ponts de Paris » et son succès plus reconnaissable, « Santa Baby », qui a été publié en 1953. Le style unique de Kitt a été amélioré, elle devient couramment la langue française au cours de ses années en Europe. Ses interprétations anglophones semblent toujours être enrichie par une douce sensation française. Elle était certaine habileté dans d’autres langues, comme elle parle quatre langues et chante dans sept, dont elle fait preuve sans effort dans un grand nombre des enregistrements live de ses spectacles de cabaret.

Pics de carrière et la perturbation

En 1950, Orson Welles a donné Kitt son premier rôle mettant en vedette, Helen of Troy dans sa mise en scène de Docteur Faustus. Quelques années plus tard, elle a été coulée dans la revue New Faces de 1952 présentant des monotonous et Bal, Petit Bal, deux chansons avec laquelle elle continue d’être identifiés. En 1954, 20th Century Fox a filmé une version de la revue intitulée simplement de Nouveaux visages, dans lequel elle effectuées « Monotonous », « Uska Dara » et « c’est si bon ». Bien souvent, il est allégué que Welles et Kitt avaient une affaire au cours de son 1957 exécuter dans Ce Alley, Kitt catégoriquement cette lors d’une entrevue de juin 2001 avec George Wayne de Vanity Fair. « J’ai jamais eu des relations sexuelles avec Orson Welles, » Kitt dit Vanity Fair, « C’était une situation de travail et rien d’autre ».  Ses autres films dans les années 1950 inclus La marque de la Buse (1957), les Blues de St. Louis (1958) et Anna Lucasta (1959).

Le reste des années 1950 et le début des années 1960, Kitt serait enregistrer, travailler dans le cinéma, la télévision et boîtes de nuit et revenir à l’étape de Broadway dans « Mme Patterson » au cours de la saison 1954-55, « Ce Alley » en 1957 et la courte durée de vie « De Jolly Progress » en 1959. En 1964, Kitt a contribué à ouvrir le Cercle Star Theater à San Carlos, en Californie. Dans les années 1960, la série télévisée Batman comportait également lui comme Catwoman après que Julie Newmar a quitté le rôle.

En 1968, au cours de l’administration du Président Lyndon b. Johnson, Kitt rencontré un revers professionnels important après que elle a fait des déclarations anti-guerre au cours d’un déjeuner de la maison blanche.  Kitt a été invité à un déjeuner de la maison blanche et a demandé par Lady Bird Johnson sur la guerre du Vietnam. Elle a répondu : « vous envoyez le meilleur de ce pays à être abattu et mutilés. Pas étonnant les enfants se rebellent et prennent le pot. » La remarque aurait causé Mme Johnson éclater en sanglots et conduit à un déraillement de carrière de Mme Kitt. La réaction du public à des déclarations de Kitt est extrême, pro et con. Ostracisée publiquement aux États-Unis, elle a consacré ses énergies aux représentations en Europe et en Asie. 

Broadway
Pendant ce temps, des références culturelles lui ont augmenté, y compris hors des États-Unis, comme le célèbre croquis de Monty Python « Le cyclisme tour », où un amnésique croit qu’il est premier Clodagh Rodgers, puis Trotski et enfin Kitt (tout en procédant à une foule enthousiaste à Moscou). Elle est retournée à New York dans un virage triomphant dans le spectacle de Broadway Timbuktu! (une version de vivaces Kismet définie en Afrique) en 1978. Dans la comédie musicale, une chanson donne une « recette » mahoun, une préparation de cannabis, dont sa restitution battements étouffant de la ritournelle « constamment en remuant avec une cuillère de bois longue » présentait un caractère distinctive. 

Années plus tard


En 1978, Kitt a fait le doublage dans une publicité télévisée pour l’album Aja par le groupe de rock Steely Dan. Elle a écrit trois autobiographies — enfant de jeudi (1956), seul avec me (1976) et je suis toujours ici : confessions d’un chaton de sexe (1989).

En 1984, elle est retournée aux cartes de musique avec une chanson de disco, « Where Is My Man », le premier enregistrement or certifié de sa carrière. « Where Is My Man » a atteint le Top 40 sur le UK Singles Chart, où il a atteint un sommet au # 36 ;  La chanson a également fait le Top 10 du U.S. Billboard graphique de la danse, où il atteint # 7. L’unique a été suivi par l’album I Love hommes sur l’étiquette de la cabane de l’enregistrement. Kitt trouvé de nouveaux publics dans les boîtes de nuit entre le Royaume-Uni et les États-Unis, y compris une toute nouvelle génération de fans hommes gais, et elle a répondu en donnant souvent des représentations de prestations à l’appui de VIH/sida. Son suivi de 1989 a frappé « Cha-Cha Heels » (featuring Bronski Beat), qui devait initialement être enregistrées par divine, a reçu une réponse positive de UK discothèques et atteint # 32 dans les graphiques dans ce pays.

En 1992, Kitt a un rôle de soutien comme Lady Eloise dans le film Boomerang mettant en vedette Eddie Murphy. La fin des années 1990, elle apparaît comme la Wicked Witch de l’Ouest en Amérique du Nord compagnie tournée nationale de The Wizard of Oz. En novembre 1996, elle apparaît sur un épisode de Celebrity Jeopardy. En 2000, encore une fois de retour à Broadway en la courte durée de Kitt exécuter de Michael John LaChiusa Le groupe Wild face Mandy Patinkin et Toni Collette. Depuis fin 2000, elle joue comme la fée marraine de la tournée nationale de U.S. de Cendrillon aux côtés de Deborah Gibson et, ensuite, Jamie-Lynn DiScala. En 2003, elle a remplacé Tchita Rivera dans neuf. Elle reprend son rôle de la fée marraine à un engagement spécial de Cendrillon, qui a eu lieu du Lincoln Center pendant les fêtes de 2004.

Un de ses rôles plus inhabituels était Kah le python dans une adaptation de la BBC Radio 1994 de La livre de la jungle. Kitt a prêté sa voix distinctive du rôle du Yzma dans Disney L’empereur le New Groove, pour lequel elle remporte son premier Prix Annie et retourné au rôle dans la suite de droite-à-vidéo New Groove du Kronk et la série dérivée De The Emperor New School, pour lequel elle remporte deux Emmy Awards et plus deux Prix Annie (tous deux en 2007-2008) agissant de voix en une production télévisuelle animés. Elle a une voix-off comme la voix de la Reine Vexus sur la série animée Ma vie comme un Robot Teenage.

Dans ses dernières années Kitt fait annuelles apparitions dans la scène du cabaret New York Manhattan à des endroits comme la salle de bal et le Café Carlyle.

Elle a également une étoile invité dans Les Simpson épisode « Once Upon a Time in Springfield », où elle a été décrit comme l’un des mariages passés de Krusty.

D’octobre à début décembre, 2006, Kitt a joué dans la musique Off-Broadway Mimi le canard. Elle apparaît également dans le film indépendant 2007 And Then Came Love face Vanessa Williams.

Kitt a été le porte-parole pour les Cosmétiques MAC’ collection de signaux de fumée en août 2007. Elle réenregistré « Smoke Gets In Your Eyes » pour l’occasion, a été présentée sur le site Web de l’AMC et la chanson a été jouée dans tous les emplacements de MAC transportant la collection pour le mois.

[Modifier] Vie personnelle
Après romans avec le magnat des cosmétiques Charles Revson et héritier bancaire John Barry Ryan III, elle a été mariée à John William McDonald, un associé d’une société de placement immobilier, du 6 juin 1960, à 1965. Ils ont eurent un enfant, une fille (né le 26 novembre 1961), Kitt épousa Charles Lawrence Shapiro.  Kitt avait deux petits-enfants, Jason et Rachel Shapiro. Un longue date Connecticut résident, Kitt vivait dans une grange convertie sur une ferme tentaculaire dans la section Merryall de New Milford pendant de nombreuses années et a participé activement à des organismes de charité des et les causes tout au long du Comté de Litchfield. Par la suite se déplaçant à la crête de livre, New York, puis en 2002, [ 18 ] Kitt déménage à la ville du sud du Comté de Fairfield (Connecticut) de Weston pour être près de famille sa fille de.

Kitt est devenu un vocal défenseur des droits de l’homosexuels et publiquement pris en charge mariage homosexuel, qu’elle croit pour être un droit civil. Elle a été citée en disant : « je la soutiens [mariage gay] parce que nous demandons pour la même chose. Si j’ai un partenaire et il arrive quelque chose pour moi, je veux que des partenariats pour bénéficier des avantages de ce que nous avons récolté ensemble. C’est une chose de droits civils, n’est-il pas? » 

Kitt est décédé d’un cancer du côlon.  le jour de Noël 2008 à son Weston (Connecticut), à la maison.  

Récompenses et nominations
Prix
1960 Hollywood Walk of Fame — 6656 Hollywood Boulevard. 
2001 Annie Award de la meilleure voix par intérim par un interprète féminine dans un film article — New Groove l’empereur
2007 Annie Award de la meilleure voix par intérim dans une production de télévision animation — nouvelle école l’empereur de la
2007 Daytime Emmy Award for Outstanding intervenant à un programme d’animation — nouvelle école l’empereur de la
2008 Annie Award de la meilleure voix par intérim dans une production de télévision animation — nouvelle école l’empereur de la
2008 Daytime Emmy Award pour performer exceptionnelle à un programme d’animation — nouvelle école l’empereur de la
2010 Daytime Emmy Award pour performer exceptionnelle à un programme d’animation — les animaux de compagnie Wonder
Candidatures
1966 Emmy Award pour la remarquable performance unique par une actrice dans un rôle de premier plan dans un drame — je espionner
1978 Tony Award de la meilleure actrice dans une comédie musicale — Timbuktu!
1996 Image Award pour l’actrice de soutien exceptionnelle dans une série de comédie — vie simple
2000 Tony Award pour le meilleur article actrice dans une comédie musicale — le parti sauvage
2000 Drame Desk Award de la remarquable actrice article dans une comédie musicale — le parti sauvage 
Filmographie
Caractéristiques :

Casbah (1948)
Nouveaux visages (1954)
La marque de la Buse (1957)
Blues de St. Louis (1958)
Anna Lucasta (1959)
Saint de le île du diable (1961)
La case de l’oncle Tom cabine (1965)
Correctionnel (1965)
Jusqu’à la ceinture de chasteté (1971)
Vendredi Foster (1975)
Tous par moi-même : l’histoire de Kitt Eartha (1982) (documentaire)
Les Warriors Serpent (1985)
La rose Chiquitas (1987)
Dragonard (1987)
Maître de la colline de Dragonard (1989)
Erik le Viking (1989)
Vivant Doll (1990)
Ernest Scared Stupid (1991)
Boomerang (1992)
Instinct mortel (1993)
Dézippés (1995) (documentaire)
Harriet l’espion (1996)
Gains Gotten malade (1997)
I Woke Up Early the Day qu’i died (1998)
Livre de la jungle : histoire de Mowgli (1998) (direct-à-vidéo)
New Groove l’empereur (2000) (voix) (Yzma)
La fabrication et le sens de la nous sont famille (2002) (documentaire)
Le Sweatbox (2002) (documentaire)
Anything But Love (2002)
Trous (2003)
Prédication de la chorale (2005)
New Groove du Kronk (2005) (voix) (direct-à-vidéo) (Yzma)
Et puis sont entrées Love (2007)
Short sujets :

Tous les propos de personnes (1967) (narrateur) 
Travail de télévision
Je espionner – « Angel » (1965)
Mission : impossible (1967) (Tina Mara, saison 1, épisode 27)
Batman (membre de cast récurrents de 1967 – 1968)
Le Show Eartha Kitt (1969)
Épouse du lieutenant Schuster (1972)
Le protecteurs – épisode – A copain de Posies (1973)
Pour tuer un flic (1978)
Une nuit sur la ville. (1983)
La nourrice (1996)
La fête de la Toussaint (2001) (télésuite)
Santa Baby! (2001) (voix)
Trous (2003) (Madame Zeroni)
Vie simples (2004) dans son auto
Ma vie comme un Robot Teenage : Vexus (récurrentes de 2003 – 2009)
Nouvelle école l’empereur : Yzma (2006 – 2008)
Les Simpsons (saison 21, Once Upon a Time in Springfield) (2010) [ 22 ]
Heureusement toujours après : Fairy Tales for Every Child : la Reine des neiges (voix) 
Discographie
Article principal : discographie Eartha Kitt
« C’est Si Bon » (1954)
« Santa Baby » (1954)
« Sous les ponts de Paris »(1955) (UK # 7)
« Juste un vieux Fashioned Girl » (1958)
« Vale Che Per Me » (1968)
« Where Is My Man » (1983) (Suède # 5. US danse # 7. Pays-Bas n° 20. UK # 36)
« J’aime les hommes » (1984) (UK # 50)
« Je ne garde » (1986)
« C’est ma vie » (1986) (UK # 73)
« Arabian Song » (1987)
« Cha Cha Heels » (featuring Bronski Beat) (1989) (UK # 32)
« Si j’aime Ya Then je besoin ya » (1994) (UK # 43)
« Santa Baby » (2007) (UK # 84) 
Stade de travail
Vacances bleues (Le 21 mai – le 26 mai 1945) (Broadway)
Song Carib (27 Septembre – 27 octobre 1945) (Broadway)
Bal Negre (Le 7 novembre – le 22 décembre 1946) (Tour de Broadway et européenne)
Pistes de temps (1950)
Docteur Faustus (1951) (Tour de Paris et de l’Europe)
Nouveaux visages de 1952 (Le 16 mai 1952 – le 28 mars 1953) (Broadway)
Mme Patterson (Le 1er décembre, 1954 – le 26 février 1955) (Broadway)
Shinbone Alley (Le 13 avril – le 25 mai 1957) (Broadway)
Cours de Jolly (Le 5 décembre – 12 décembre 1959) (Broadway)
La Chouette et le Pussycat (1965 – 1966) (tournée nationale)
La candidature de haute (1970) (Londres)
Bunny (1972) (Londres)
Un jubilé musical (1976) (tournée nationale)
Timbuktu! (Le 1 mars – le 10 septembre 1978) (Broadway et une tournée nationale de 1979 – 1980)
Nouveaux visages de 1952 (Reprise) (1982) (Off-Off-Broadway)
Blues dans la nuit. (1985) (tournée nationale)
Folies (1987) (Londres) (en remplacement de Dolores Gray)
Eartha Kitt en concert (1989) (Londres)
Oui (1994) (Voir une femme) (Edimbourg)
Sam Song (1995) (Concert bénéfice) (Église unitarienne de défunts)
Lady Day au Emerson Bar and Grill (1996) (Chicago)
Le magicien d’oz (1998) (tournée nationale)
Le groupe de Wild (Le 13 avril – le 11 juin 2000) (Broadway)
Cendrillon (2001) (Madison Square Garden)
Neuf (remplacement de Tchita Rivera du 5 octobre – le 14 décembre 2003) (Broadway)
Mimi le canard (2006) (Présentée)
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( 22 décembre, 2008 )

Lansana Conté-Décédé

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 Lansana Conté-Décédé

Lansana Conté, né vers 1934[n 1] à Moussayah Loumbaya dans la région de Kindia  
Décédé le 22 décembre 2008 à Conakry, est un homme politique guinéen, président de la République de Guinée de 1984 à sa mort en 2008.

D’origine soussou, il intègre l’armée française en 1955, et participe à la guerre d’Algérie. Promu lieutenant, il défend le régime dictatorial d’Ahmed Sékou Touré. Dix ans plus tard, il est élu député du Parti démocratique de Guinée (PDG, parti unique).

Parvenu au grade de colonel, il participe au coup d’État de 1984, une semaine après la mort du « père de l’indépendance de la Guinée », Sékou Touré. La junte, dénomée Comité militaire de redressement national (CMRN), porte Lansana Conté à la tête du pays.

Libéral et nationaliste, il privatise les entreprises publiques, réduit le nombre de fonctionnaires, et dote la Guinée d’une nouvelle Constitution qui autorise le multipartisme. Devenu général, il est officiellement élu président de la République en 1993, et largement reconduit en 1998 et 2003, grâce à une modification constitutionnelle. Malgré les restrictions des libertés et les menaces, l’opposition critique ouvertement ces scrutins, qu’elle estime truqués, et qu’elle boycotte par la suite.

À la fin de sa présidence, alors que la situation économique et sociale continue de se dégrader, Lansana Conté doit affronter plusieurs révoltes, réprimées dans le sang, ce qui le contraint à négocier avec les syndicats. Victime de plusieurs tentatives de renversement et d’assassinat, il décède des suites d’une « longue maladie », après 24 ans de pouvoir sans partage. Sa mort est suivie d’un coup d’État qui renverse la IIe République qu’il avait instaurée.
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Origines, formation et carrière militaire
Fils d’agriculteur, Lansana Conté est issu de l’ethnie des Soussous. Il entre à l’école des enfants de troupe de Bingerville (Côte d’Ivoire) en 1950, puis à celle de Saint-Louis (Sénégal) ; il effectue ensuite ses classes au peloton de Kayes (Mali).

En 1955, il entre dans l’armée française, et est affecté en Algérie pendant la guerre d’indépendance, en 1957. Après son service militaire, il retourne en Guinée, qui est devenue indépendante de la France le 2 octobre 1958 : il intègre alors la nouvelle armée avec le grade de sergent. Transféré au 2e bataillon d’artillerie, il est promu lieutenant en 1965. Le 22 novembre 1970, lorsqu’un groupe d’exilés guinéens envahit le pays à partir de la Guinée portugaise, dans le but de renverser le gouvernement du président Ahmed Sékou Touré, il participe à des opérations visant à défendre la capitale. Après que les forces pro-gouvernementales parviennent à stopper l’invasion, Lansana Conté est promu, le 27 février 1971, au grade de capitaine pour « service rendu à la nation », et jouit de la réputation de militaire courageux[9]. En 1973, il est nommé commandant de la région militaire de Boké (nord-ouest de la Guinée) afin d’aider le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), mouvement de guérilla indépendantiste, dans le pays voisin, la Guinée portugaise.

Chef d’état-major adjoint de l’armée de terre à partir de 1975, puis chef de la délégation guinéenne au cours des négociations censées régler un différend frontalier avec la Guinée-Bissau en 1977, il est élu à l’Assemblée nationale en 1980, sur la liste unique du Parti démocratique de Guinée (PDG). Deux ans plus tard, élu membre du comité central du PDG, il est promu colonel.

Prise de pouvoir 
Le 26 mars 1984, Ahmed Sékou Touré, le « père de l’indépendance », meurt à Cleveland lors d’une opération cardiaque et l’unique parti de l’époque, le Parti démocratique de Guinée (PDG), sombre dans de violentes querelles de succession.

C’est dans un contexte de déclin et d’incertitudes qu’une semaine plus tard, le 3 avril 1984, un coup d’État militaire dirigé par le colonel Conté renverse le président intérimaire, Louis Lansana Beavogui. La junte, dénomée Comité militaire de redressement national (CMRN)[n 2], porte alors son leader au pouvoir[6], qui est proclamé président de la République deux jours plus tard, alors que vient d’être instituée la IIe République.

Le nouveau chef de l’État dénonce le régime de Sékou Touré s’engage à établir un régime démocratique, à sortir la Guinée de son isolement international et à exploiter les ressources naturelles. Il se pose en défenseur des droits de l’homme en libérant 250 prisonniers politiques, encourageant ainsi le retour d’environ 200 000 Guinéens de l’exil.

C’est ainsi que quelques mois plus tard, Lansana Conté est nommé secrétaire général du Parlement international pour la sécurité et la paix, une organisation intergouvernementale basée en Italie.

Une présidence dictatoriale
D’avril 1984 à décembre 1993 : des débuts encourageants 
Le 22 décembre 1985, dans son discours-programme, il opte pour un libéralisme économique, après 26 ans d’économie centralisée. Il lance de nombreuses réformes : le rétablissement de l’initiative privée, la privatisation de nombreuses entreprises publiques, la dévaluation de la monnaie et le rétablissement du franc guinéen, ainsi que la réduction des dépenses du gouvernement et l’encouragement des investissements étrangers.

Le 3 avril 1990, à l’occasion du sixième anniversaire de l’avènement de la IIe République, Lansana Conté est promu au grade de général de corps d’armée. Dans le même temps, alors qu’une vague démocratique touche l’Afrique, il fait adopter une nouvelle Constitution par référendum le 23 décembre 1990. En 1992, dans le cadre des préparatifs de l’élection présidentielle de l’année suivante, les partis politiques sont officiellement légalisés et douze lois organiques réglementent le statut d’institutions telles que la Cour suprême.

Les mesures annoncées par le nouveau président ne tardent pas à se faire sentir : la croissance économique s’élève à 4,5 % par an et le taux d’inflation ne dépasse pas 5 % du PIB.

Le CMRN est dissout le 16 janvier 1991, et est remplacé par le Comité de transition pour le redressement national (CTRN), un organe composé à partie égale de civils et de militaires.

De décembre 1993 à décembre 2003 : la radicalisation du régime
Lors de l’élection présidentielle de 1993, Lansana Conté, candidat du Parti de l’unité et du progrès (PUP), est opposé à huit candidats, dont Alpha Condé (RPG). Le président sortant l’emporte dès le premier tour de scrutin avec 51,7 % des suffrages[12]. Cette élection est vivement contestée par les partis d’opposition suite à la décision de la Cour suprême d’annuler les résultats de deux préfectures où Condé avait obtenu plus de 90 % des voix[13] ; dès lors, le régime en place prend un visage plus radical.

Réélu avec 56,1 % des suffrages en 1998[12], Lansana Conté renoue peu à peu avec les pratiques autoritaires de Sékou Touré, en faisant notamment arrêter de nombreux opposants. En novembre 2001, il soumet à la population un référendum prévoyant une modification constitutionnelle afin qu’il puisse briguer un troisième mandat à la tête du pays. Le référendum, qui réduit la décentralisation et prolonge le mandat présidentiel de deux ans, est adopté par 98,4 % des voix, et est dénoncé par les observateurs internationaux.

Le 30 juin 2002, alors que les principaux partis d’opposition boycottent les élections législatives, le parti présidentiel remporte à nouveau la majorité à l’Assemblée nationale, obtenant 61,5 % des suffrages et 85 des 114 sièges à pourvoir.

De décembre 2003 à sa mort : une fin de présidence difficile [modifier]
En décembre 2003, il est réélu avec 95,63 % des suffrages face à un seul adversaire, les autres opposants préférant ne pas participer à un scrutin qu’ils estiment joué d’avance.

Au milieu de l’année 2006, alors que le prix du riz et du carburant est au plus haut, les nombreuses grèves générales et leurs sanglantes répressions, affaiblissent le président guinéen.

En août, Human Rights Watch rend public un rapport de trente pages qui condamne les violations des droits humains en Guinée, en mettant en évidence le vide politique résultant de la maladie du président en cours, et exprimant sa préoccupation quant à l’avenir. Mais en octobre 2006, le général Conté annonce qu’il compte demeurer président jusqu’à la fin de son troisième mandat en 2010, tout en précisant qu’il aime son pays et qu’il le protège contre ses ennemis. Il déclare également qu’il est à la recherche d’un successeur « comme [lui], qui a de l’envergure, patriote, pour diriger la Guinée ».

Malgré une nouvelle grève générale commencée le 10 janvier 2007, Lansana Conté s’accroche au pouvoir. Une semaine après, il annonce le limogeage de Fodé Bangoura, ministre d’État aux Affaires présidentielles et numéro deux du régime. Quelques jours plus tard, alors que plusieurs centaines de milliers de citoyens continuent à manifester et que 59 personnes sont mortes de la répression des forces de l’ordre, le général Conté accepte de nommer un Premier ministre de consensus. Il cède aux demandes des centrales syndicales à l’origine de la grève le 26 janvier, et annonce qu’il transférera toutes ses prérogatives de chef du gouvernement au futur Premier ministre, dont il ne révèle pas le nom immédiatement. Le 9 février, il choisit finalement de nommer Eugène Camara, un de ses proches. Mécontents de ce choix, les syndicats et la société civile s’embrasent. Le président cède à la pression, et le 26 février, il nomme Lansana Kouyaté au poste de Premier ministre. Le bilan humain de ce soulèvement est terrible : au moins 186 personnes sont tuées et 1 200 blessées.

Le 5 avril 2007, Conté cède le poste de ministre de la Défense nationale qu’il détenait depuis plusieurs semaines au général Arafan Ousmane Camara. Toutefois, le 5 décembre de la même année, un décret de restructuration des ministères accroît un peu plus les pouvoirs du secrétaire général de la présidence de la République, au détriment du Premier ministre.

En mai et juin 2008, des soldats menacent la stabilité du pays en réclamant le paiement des arriérés de leur solde, fragilisant encore un peu plus le régime en place. Cette fois-ci, le bilan s’élève à au moins trois morts et à des dizaines de blessés.

Tentatives de renversement
Le 4 juillet 1985, l’ancien Premier ministre Diarra Traoré, un colonel qui a pris part au coup d’État de 1984, tente de s’emparer du pouvoir alors que le président Conté assiste au sommet de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à Lomé, au Togo. Mais le peuple et les troupes fidèles à Conté lui témoignent leur soutien par l’écrasement spontané de la rébellion. Au total, 18 personnes perdent la vie et une centaine de militaires, y compris Traoré, sont par la suite exécutés pour leur implication dans l’insurrection.

Une mutinerie militaire éclate les 2 et 3 février 1996 pour non-paiement des salaires. Caché dans les sous-sols du Palais des nations, le président échappe de peu à la mort, alors que l’on bombarde son bureau. Son apparition en public met cependant un terme à la révolte qui a causé plusieurs dizaines de morts.

Le 19 janvier 2005, il est victime d’une nouvelle tentative d’assassinat[18], alors que son cortège revient de l’aéroport de Conakry. Le président, qui n’a pas été blessé, déclare que « Dieu n’avait pas encore décidé que c’était temps qu’[il] meure ».

État de santé et décès
Des rumeurs récurrentes le disant mourant circulent dès 2002. Effectivement, au mois de décembre de cette même année, des médecins marocains lui diagnostiquent une leucémie et une forme aiguë de diabète, et lui annoncent qu’il lui reste moins de six mois à vivre. À l’occasion de l’élection présidentielle de 2003, il reconnaît avoir des douleurs aux pieds, et est contraint de voter à bord de sa voiture en raison de sa difficulté à marcher.

Début 2006, son état de santé s’aggrave brusquement ; il se rend alors à plusieurs reprises à l’étranger pour se faire hospitaliser, et est victime de comas diabétiques à répétition. Lors d’une allocution au cours de l’année 2007, il confirme ses problèmes de santé : « Je suis en train de diminuer », déclare-t-il. Ayant confessé que la maladie le fatiguait depuis longtemps, il paraît de plus en plus amaigri.

Conté, gros fumeur, souffre également de problèmes cardiaques, est régulièrement absent des réunions internationales, ne quitte plus le territoire national lors des dernières années de sa vie[n 3], et ne peut même pas assister aux cérémonies du 50e anniversaire de l’indépendance de la Guinée, le 2 octobre 2008.

Le président malade, que l’on dit très mal entouré, ne vit plus dans la capitale mais dans un petit village où il cultive des champs de riz. Durant cette période, ce sont ses proches conseillers, régulièrement renouvelés, qui assurent véritablement le pouvoir.

Le 23 décembre 2008, Aboubacar Somparé, président de l’Assemblée nationale, annonce à la télévision que le président de la République est décédé la veille à 18h45 (heure GTM), « après une longue maladie »[4], sans préciser la cause exacte de sa mort. Selon lui, Lansana Conté a caché ses souffrances physiques pendant des années, afin de donner le bonheur à la Guinée. Un deuil de 40 jours est alors décrété par le Premier ministre.

Quelques heures après sa mort, un groupe d’officiers se présentant sous le nom de Conseil national pour la démocratie et le développement (CNDD) annonce à la radio, par le biais de son porte-parole Moussa Dadis Camara, la dissolution du gouvernement et de la Constitution du pays, laissant présumer un coup d’État[2]. En effet, le 24 décembre 2008, Moussa Dadis Camara s’autoproclame président de la République.

Les funérailles de Lansana Conté, qualifiées de « grandioses » par la presse, se déroulent le 26 décembre 2008 à Conakry, et rassemblent plus de 30 000 personnes, ainsi que plusieurs chefs d’État africains

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( 22 décembre, 2008 )

Lansana CONTE- Mort

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 Lansana CONTE- Mort

Lansana CONTE – 22-12-2008
CONAKRY (AFP) – Le président de Guinée, le général Lansana Conté, est mort lundi soir à l’âge de 74 ans, après un long règne de 24 ans marqué par de sanglantes répressions et une gestion calamiteuse d’un pays classé parmi les plus pauvres du monde malgré un sous-sol très riche. Aussitôt après l’annonce du décès, dans la nuit de lundi à mardi, le Premier ministre Ahmed Tidiane Souaré a lancé, via la télévision d’Etat, un appel « au calme et à la retenue » aux « braves populations guinéennes », demandant le concours de l’armée pour assurer cette tranquillité.

Aucun incident n’avait été signalé plus de deux heures après l’annonce du décès.
Militaire de carrière, Lansana Conté était arrivé au pouvoir le 3 avril 1984, à la faveur d’un coup d’Etat, une semaine après la mort du premier président de la Guinée indépendante, Ahmed Sékou Touré.
Depuis, il avait toujours pris appui sur les dirigeants de l’armée pour avoir la haute main, avec son clan, sur la vie politique et économique de ce pays ouest-africain. Et il s’accrochait au pouvoir, malgré ses maladies (une forme aiguë de diabète, une leucémie…) et une contestation de plus en plus vive.
Son décès a été annoncé dans la nuit de lundi à mardi par le président de l’Assemblée nationale, Aboubacar Somparé, aux côtés du chef d’état-major, le général Diarra Camara et du Premier ministre. Auparavant, tous les hauts responsables du régime s’étaient réunis au Palais du peuple (siège de l’Assemblée nationale), pour évoquer « la succession du président ».
« Nous avons le regret d’annoncer au peuple de Guinée le décès du général Lansana Conté, des suites d’une longue maladie, à 18H45″ (locales et GMT), a déclaré M. Somparé, demandant officiellement au président de la Cour suprême de constater la vacance du pouvoir et de faire appliquer la Constitution. La gestion des affaires du pays doit alors revenir temporairement au président de l’Assemblée nationale, chargé d’organiser une élection présidentielle dans les 60 jours.
Le chef du gouvernement, décrétant « un deuil national de 40 jours », a déclaré: « Les drapeaux seront mis en berne et le programme des obsèques nationales sera communiqués ultérieurement ».
« En cette douloureuse circonstance, j’invite les braves populations guinéennes – qui ont toujours fait preuve de dignité, chaque fois que nous affrontons ensemble de dures épreuves à travers notre histoire – au calme et à la retenue », a poursuivi M. Souaré, en poste depuis mai. Réputé proche du clan présidentiel, M. Souaré a ensuite appelé les forces de défense et de sécurité à « assurer la sécurité aux frontières et le calme à l’intérieur du territoire national ».
Début 2007, de grandes manifestations populaires hostiles au régime et aux « prédateurs de l’économie nationale » avaient été violemment réprimées: au moins 186 personnes avaient été tuées et 1.200 blessées.
Les discours de condoléances des hauts dignitaires, évoquant le « regretté président », ne devraient pas beaucoup émouvoir les neuf millions d’habitants de la Guinée, dont 53% vivent au dessous du seuil de pauvreté.
Les organisations non gouvernementales ont maintes fois dénoncé la « gestion calamiteuse » de la Guinée, minée par la corruption et classée parmi les pays les plus pauvres du monde malgré les richesses de son sous-sol (bauxite, fer, or, diamants…). Le mois dernier, plusieurs manifestations avaient eu lieu dans la capitale comme en province, notamment pour protester contre la cherté du carburant ou les coupures d’électricité.
Selon l’organisation Human Rights Watch, la répression de ces manifestations avait abouti à la mort de « quatre » personnes « au moins », les forces armées ayant parfois tiré à balles réelles.

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Lansana Conté (30 Novembre  1934 – 22 décembre 2008 ) a été le Président de la Guinée, du 3 avril 1984 jusqu’à sa mort. Il était un musulman et un membre du groupe ethnique Susu

Début de la vie
Né à Moussaya Loumbaya (Dubréka), membre du peuple Susu,  il estime sa date de naissance à 1934, bien qu’il savait jamais exactement.  Conté a fait ses études dans une école coranique locale et a fréquenté l’école primaire de Dubréka. Il a ensuite l’étude des écoles préparatoires militaires à Bingerville, Côte d’Ivoire et Saint-Louis, Sénégal. 

Service militaire et le gouvernement
En 1955, il s’est enrôlé dans l’ armée française et a été affiché en Algérie pendant la guerre d’indépendance en 1957. Après son service dans l’armée française, Conté renvoyé vers la Guinée, qui est devenu indépendant de la France le 2 octobre 1958 et a été intégrée dans la nouvelle armée avec le grade de sergent. En 1962, il a fréquenté l’école de l’agent Camp Alpha à Conakry. Peu après, il a été transféré vers le Centre de formation d’artillerie 2e bataillon à Kindia. Le 1 juillet 1963, il a été promu sous-lieutenant. Celle-ci a été suivie deux ans plus tard un autre promotion de sous-lieutenant lieutenant. Le 22 novembre 1970, militaire portugais avec dissidents guinéennes ont envahi le pays de Guinée portugaise (maintenant Guinée-Bissau) dans le but évident de renverser le gouvernement du Président Ahmed Sékou Touré et de détruire les guérilleros PAIGC. Conté a participé à des opérations pour défendre la capitale et les forces gouvernementales supprimée dès l’invasion. Pour son service à la nation, il est promu au grade de capitaine le 27 février 1971. En 1973, il est nommé commandant de la zone opérationnelle de Boké (dans le nord-ouest de Guinée) afin d’aider le mouvement indépendantiste guérilla, le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) en Guinée voisine de portugais. Le 10 mai 1975, il a été nommé assistant chef d’état-major de l’armée.

En 1977, il était chef de la délégation guinéenne au cours des négociations pour résoudre un conflit de frontière avec la Guinée-Bissau, qui a été élu à l’Assemblée nationale en 1980. Plus tard cette année, il a participé à la décision Du Parti démocratique de Guinée (PDG) officiel pèlerinage à la Mecque. 
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 Présidence 
coup d’État et de gouvernement militaire 1984
Le Président Ahmed Sékou Touré, chef de l’Etat du Guinée, depuis l’indépendance, est décédé le 26 mars 1984. Premier ministre Louis Lansana Beavogui a agi comme Président par intérim. Le 3 avril, Conté a dirigé un coup d’État militaire qui a renversé le gouvernement.

Il a dénoncé les violations des droits de l’homme du régime Touré et libéré 250 prisonniers politiques. Il a également encouragé le retour d’environ 200 000 Guinéens exil.

La constitution du pays a été immédiatement suspendue après la prise de contrôle, avec l’Assemblée nationale, et l’activité politique a été interdit. Un Comité militaire de 25 membres pour le redressement national (CMRN) a été créé et dirigé par Conté, qui, le 5 avril, a été proclamée Président de la République.

Le 4 juillet 1985, les soldats loyaux au Conté, qui assistait à un sommet de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à Lomé, Togo, contrarié un coup d’Etat. Conté, membre de la soussous (ou Sousou), a saisi cette occasion pour éliminer les soldats rivales de l’ethnie Malinké, dont l’ancien premier ministre Diarra Traoré. 

Le 3 avril 1990, Conté a été promue au rang de l’armée du général.

Le Président Conté a été également le Secrétaire général du Parlement International pour la sécurité et de paix, une organisation intergouvernementale basée en Italie. [citation nécessaire] 

Économique et de la transition politique
De réformes économiques du conté, y compris la dévaluation de la monnaie et de la réduction des dépenses du gouvernement se sont réunis avec l’approbation du Fonds monétaire international (FMI), et réalignement avec des pays occidentaux encourage les investissements étrangers.

Il a lancé la transition de la Guinée au civil, multipartite règle le début des années 1990. Une nouvelle constitution a été approuvée lors d’un référendum tenu le 23 décembre 1990 et le CMRN a été dissoute le 16 janvier 1991. Il a été remplacé par le Comité de transition pour le redressement national (CTRN), un organe composé de civils et militaires. Partis politiques ont été légalisés en 1992 en prévision des élections à venir. 

Régime civil
La première élection présidentielle multipartite tenue depuis l’indépendance a été menée le 19 décembre 1993. Conté, candidat du nouvellement formé parti de l’unité et le progrès (PUP), a remporté à 51,7 % des voix. Alpha Condé du rassemblement du peuple guinéen (RPG) a terminé deuxième avec 19,6 % des voix.  L’opposition présumés de fraude électorale, surtout après que la Cour suprême actualisés comme non valide les résultats dans deux préfectures où Condé du RPG avait reçu une large majorité des voix.

En dépit a déclaré attachement du Conté à la démocratie, son régime est resté autoritaire. Cependant, il avait beaucoup moins d’énergie que Touré, et en grande partie son règne a été beaucoup plus doux.

Gouvernement de Conté a étroitement a survécu à une tentative de coup d’état de 2 février 1996 qui découlait d’une armée mutinerie au paiement des salaires. Plusieurs dizaines de civils ont été tués et la résidence présidentielle a subi des dommages importants.

La Guinée deuxième multi parti élections présidentielles, qui s’est tenue le 14 décembre 1998, Conté a remporté un nouveau mandat de cinq ans avec 56,1 % des voix.  Les sondages, même si une amélioration par rapport aux élections de 1993 troublée, étaient considérés comme erronée par les partis d’opposition et les observateurs. Un référendum de novembre 2001 qui a levé les limites du mandat présidentiel et se prolonger le mandat au Bureau de cinq à sept ans était accompagnée de 98,4 % des électeurs.  Les résultats, cependant, ont été rejetées par les partis d’opposition qui prétendait que le résultat était gréé.

Il a poursuivi pour remporter un troisième élection présidentielle tenue le 21 décembre 2003 avec 95,6 % des voix  après tout, mais un des candidats opposées ont boycotté la course, exprimant leur conviction que Conté ne laisserait jamais une élection équitable. Conté avait été en refusant de santé, souffrant de problèmes de diabète et le coeur, et sa capacité à servir et à survivre à un autre terme complet au Bureau a été mis en doute par beaucoup. Il a prêté serment le 19 janvier 2004, et dans une télévision à cette occasion, il a promis à lutter contre la corruption. 

Le 19 janvier 2005, coups de feu ont été auraient tirés à son cortège de voitures sur son chemin en Conakry dans ce qui était apparemment une tentative d’assassinat. Un garde du corps a été aurait été blessé. Conté, qui était indemne, est allé sur l’état de radio et de télévision qui nuit à dire qu’il avait survécu parce que Dieu n’a pas encore décidé de son temps à mourir. Il a également mentionné « menaces de ceux qui ne souhaitent pas voir le développement de la Guinée ou ceux qui obéissent aux ordres donnés pour eux de l’étranger » et a promis qu’il serait « pas être manipulé ». Sur le lendemain matin, il a fait une apparition en public à prier.

Lors d’une visite en France avec sa famille en 2005, le premier ministre François Lonsény Fall a démissionné et demandé l’asile. Il s’est plaint de la corruption et les interférences croissante de Conté. Successeur de l’automne, Cellou Dalein Diallo, ont résisté jusqu’en avril 2006. Conté a échoué de nommer un nouveau premier ministre jusqu’à la fin de janvier 2007.

En avril 2006, il a été effectué au Maroc pour un traitement médical. La plupart des gens devraient il ne reviendrait pas, mais il l’a fait. Puis en mai 2006 émeutes à Conakry au-dessus du prix du riz et du carburant conduit à une vingtaine de morts que les forces de sécurité sauvagement répriment le soulèvement populaire. En août 2006 il encore avion en Suisse pour un traitement médical. Pour l’instant aucun foules ne rencontré à son retour en Guinée. Entre-temps, Henriette Conté, première femme de Bush, a été accusée de bafouer la primauté du droit et en profitant d’une incapacité physique et mentale de Bush à abuser de son pouvoir.

En août 2006, Human Rights Watch a produit un rapport de 30 pages condamnant les violations des droits de l’homme en Guinée, en soulignant le vide du pouvoir résultant de la maladie continue de Bush et son inquiétude face à l’avenir.

Dans un entretien avec des journalistes déclarés par Guinéenews en octobre 2006, Lansana Conté a dit qu’il se proposait de rester président jusqu’en 2010, qui était à la fin de son mandat de sept ans. Conté a également déclaré qu’il recherchait un remplacement qui « aime le pays et elle protégera contre ses ennemis.

En novembre 2006, Transparency International mis à jour son index annuel de la corruption. Guinée sous Lansana Conté a ensuite été deuxième égale comme le pays le plus corrompu dans le monde (fierté de place pour corruption à Haïti). Il s’agit d’un sujet de préoccupation pour les entreprises étrangères qui ont l’intention d’investir en Guinée (par exemple pour exploiter ses réserves de bauxite vaste) comme ils sont incapables de fonctionner en Guinée sans énormes pots-de-vin à des fonctionnaires hautement placés, mais si vous êtes surpris ce faisant ils peuvent faire face à des poursuites judiciaires dans leur pays d’origine.

En janvier 2007, une grève nationale générale s’est tenue à protester de leadership continu du Conté du pays.  La grève a continué pendant plus de deux semaines, au cours de laquelle des centaines de milliers de manifestants ont défilé dans les rues. Au cours des deux premières semaines, répression sauvage par rouge-caps (gardes présidentiels) et autres forces gauche manifestants au moins vingt morts. À la fin de la grève le 27 janvier, il a été signalé que les manifestants au moins 90 étaient mort des affrontements violents avec la police  et au moins 300 avait été blessé, selon un groupe local droits de l’homme.

Fin de la grève suite à un accord entre Conté et les syndicats, selon un nouveau premier ministre seraient nommé à la tête du gouvernement. Conté a également décidé de baisser le prix du riz et du carburant.  Le 9 février, Conté nommé Eugène Camara, ministre d’État aux affaires présidentielles depuis janvier, comme premier ministre.  A été rejetée par l’opposition, et la violence généralisée éclaté après la nomination.  La grève a repris le 12 février, et Conté déclarée loi martiale le même jour.  Le 25 février Conté convenu d’un accord à la fin de la grève, et le 26 février, il a nommé un nouveau premier ministre, Lansana Kouyaté, parmi une liste de personnes choisies par les syndicats et les représentants de la société civile ; personnes est retournée au travail le 27 février.  Kouyaté est assermentée le 1er mars lors d’une cérémonie au cours de laquelle le Conté n’était pas présente.

Dans une interview à l’Agence France-Presse et TV5 le 14 juin 2007, Conté a affirmé qu’il était encore en charge du pays (« Je suis le patron, d’autres sont mes subordonnés »), a rejeté la possibilité d’une transition et a déclaré que sa nomination d’un premier ministre n’est pas due à la pression et qu’il était satisfait de la performance du Kouyaté. 

Le 5 décembre 2007, un décret restructuration des ministères accru les pouvoirs du Secrétaire général de la présidence au détriment de ceux du premier ministre, et le 3 janvier 2008 Conté a rejeté et remplacé Justin Morel Junior, le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement, sans consulter Kouyaté. Le 4 janvier, Kouyaté exigeait que Morel être rétablie à son poste et syndicats a annoncé son intention de commencer de nouvelle « grève générale illimitée » le 10 janvier, exigeant qu’accord du Conté avec les syndicats soient appliquées correctement et que Morel être rétablie.  Le 9 janvier, les syndicats retirent leur appel à une grève. 

Dans un geste de surprise, le 20 mai 2008, Conté rejeté Kouyaté et lui remplacé par Ahmed Tidiane Souaré.  Kouyaté a été considérée comme une déception dans son rôle de premier ministre et son impopularité signifiait que son licenciement a été pas accueillie avec les troubles majeurs du type de celles qui ont conduit à sa nomination, un an plus tôt.  Par le biais de ce licenciement et la nomination de Souaré, qui était considéré comme proche de Conté,  a été considérée comme Conté ont renforcé sa position. 

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 Mort
À l’aube du 23 décembre 2008, Aboubacar Somparé, le Président de l’Assemblée nationale, a annoncé à la télévision que Conté était mort à 6 h 45, heure locale, le 22 décembre « après une longue maladie »,  sans spécifier la cause du décès.  Selon Somparé, Conté « caché ses souffrances physiques » années « afin de »donner bonheur en Guinée.  Conté avait quitté le pays pour un traitement médical à maintes reprises au cours des années précédant sa mort,  et spéculations sur son état de santé depuis longtemps répandue. Contrairement à son habitude, Conté ne semble pas à la télévision marque Tabaski plus tôt en décembre 2008 et cette spéculation renouvelée piquée, ainsi que des préoccupations au sujet de la possibilité de violence en cas de sa mort. Vers la même époque, un journal a publié une photo suggérant que Conté était en mauvaise condition physique et avoir des difficultés debout jusqu’à. Rédacteur en chef de ce journal a été arrêté et le journal a été nécessaire d’imprimer une photo dans laquelle Conté a examiné en bonne santé. 

Selon la constitution, le Président de l’Assemblée nationale devait assumer la présidence de la République en cas de vacance, et une nouvelle élection présidentielle devait avoir lieu dans les 60 jours.  Somparé a demandé que le Président de la Cour suprême, Lamine Sidimé, déclarer une vacance de la présidence et s’appliquent à la constitution.  Premier ministre Souaré et Diarra Camara, le chef de l’armée, se tenait à côté Somparé lors de son annonce.  Déclarant 40 jours de deuil national pour Conté,  Souaré a exhorté « calme et retenue ». Il a dit à l’armée pour sécuriser les frontières et maintenir calme dans le pays « en hommage à la mémoire du dirigeant fin illustre ». 

Six heures après que Somparé a annoncé la mort de Conté, une déclaration a été lue à la télévision, annonçant un coup d’Etat.  Cette déclaration, lu par le capitaine Moussa Dadis Camara  au nom d’un groupe appelé le Conseil National pour la démocratie et le développement (CNDD),  a déclaré que « le gouvernement et les institutions de la République ont été dissoutes ». L’instruction a également annoncé la suspension de la constitution « activité ainsi que politique et syndicale ». 

Les funérailles du conté a eu lieu à Conakry, le 26 décembre. Son corps a été mis sur l’affichage dans le Parlement avant d’être conduit au stade national, où plus de 20 000 personnes étaient présents. Les dirigeants des pays voisins étaient présents pour les funérailles. Lors des funérailles, général Mamadou Ba Toto du CNDD a déclaré que « nous prions Dieu pour nous donner le courage de poursuivre les travaux [de Conté] de tolérance et de paix pour le bien-être de la Guinée ». Par la suite, son corps a été enterré le village de Lansanaya, en face de son manoir.  Il a été pris hors de son cercueil et placé dans le sol, puis recouverts de poignées de saleté jetés par les personnes. L’enterrement a été marquée par des troubles, comme des milliers de personnes ont tenté de rejoindre la tombe et les forces de sécurité forment un cordon autour de lui.

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( 13 décembre, 2008 )

Horst TAPPERT-Décédé

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Horst TAPPERT-Décédé

Horst TAPPERT

Biographie de Horst TAPPERT :
Acteur et Artiste (Allemand)
Né le 26 mai 1923
Décédé le 13 décembre 2008 (à l’âge de -88 an)

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Horst Tappert, né le 26 mai 1923 à Elberfeld (maintenant Wuppertal) et mort le 13 décembre 2008 à Munich[1], est un acteur allemand. Il s’est fait connaitre à l’étranger grâce à son rôle de Stephan Derrick dans la série Inspecteur Derrick. Outre cette série, Tappert a joué dans une longue liste de films et téléfilms depuis la fin des années 1950.

Horst Tappert est né en 1923, son père était fonctionnaire. Après l’école élémentaire, il commence un apprentissage d’employé de commerce. Avec le début de la guerre, il est incorporé comme soldat dans la Wehrmacht. Il est fait prisonnier de guerre.

Après la Seconde Guerre mondiale, il tient la comptabilité du théâtre de l’Altmark à Stendal et pendant un certain temps, travaille comme ouvrier spécialisé. Sa passion pour le théâtre grandit et en 1946, il suit des cours auprès de Paul Rose. Ses premières expériences de la scène ont lieu à Köthen et au théâtre de Württemberg-Hohenzollern. Il poursuit sa carrière à Göttingen (1949-50), à Kassel (1950-51), à Bonn (1951-53) puis à Munich (1956-67). Dès 1967, Tappert devient acteur indépendant.

À la fin des années 1950, il fait ses premières apparitions au cinéma et à la télévision. Après le film Die Trapp-Familie in Amerika (1958) et Der Engel, der seine Harfe versetzte (1959), Tappert approche déjà les rôles policiers avec celui d’un détective dans la série télévisée Zu viele Köche (1961). Suite à son interprétation d’un vicaire dans Das Halstuch (1962), il participe la même année au tournage d’un film sur le Père Brown, Er kann’s nicht lassen, où il joue un rôle de bandit aux côtés d’Heinz Rühmann. En 1966, la télévision fait appel à lui pour une trilogie policière, Die Gentlemen bitten zur Kasse, dans laquelle il interprète le chef d’une bande de malfaiteurs. Les rôles de brigands lui conviennent et il apparaît dans Die Rechnung – eiskalt serviert mettant en scène le personnage de fiction Jerry Cotton.

En 1968, Tappert joue dans des films inspirés de nouvelles d’Edgar Wallace, d’abord dans Der Hund von Blackwood Castle puis dans le rôle de l’inspecteur Perkins à deux reprises (Der Gorilla von Soho et Der Mann mit dem Glasauge (1969)). Pour la ZDF, Tappert travaille en 1968 dans l’une des premières séries policières, Das Kriminalmuseum. Deux ans plus tard, il est l’inspecteur du film Inspektor Perrak greift ein. En 1971, il joue dans le téléfilm Yester – der Name stimmt doch? qui est directement inspiré d’une série à succès de 1967, Graf Yoster gibt sich die Ehre.

En 1972, Tappert reprend un personnage de gangster qu’il avait déjà interprété dans Die Gentlemen bitten zur Kasse à l’occasion d’un téléfilm en deux parties Hoopers letzte Jagd. Même si le rôle reste le même, un braqueur pourchassé par un gentleman, le nom du personnage a changé (Michael Richardson au lieu de Michael Donegan).

Helmut Ringelmann, un producteur qui planche sur une nouvelle série policière pour la ZDF, se souvient de Tappert. Herbert Reinecker qui écrit les scénarios de Der Kommissar, dans laquelle Tappert tourne déjà entre 1970 et 1973, rédige la suite de cette série à succès. La nouvelle série s’appelle Derrick et doit montrer un nouveau genre de détective « psychologique ». Le premier
épisode (Waldweg) est enregistré en 1973. Tappert joue le rôle de l’inspecteur Derrick d’un commissariat de Munich, accompagné de son assistant Harry Klein (interprété par Fritz Wepper, lui même venant de l’équipe de Der Kommissar). Très vite, la série rencontre un succès qui dépasse les frontières allemandes. Elle est achetée par 108 pays et traduite en 12 langues. La série compte au total 281 épisodes et se termine en 1998 après 25 ans de succès, par un épisode qui consacre la promotion de Derrick à l’Europol.

Le succès international de la série Derrick a valu à Horst Tappert une notoriété singulière. Le pape Jean-Paul II qui était l’un de ses « fans », l’a rencontré en 1999[2]. La police de la ville de Munich lui décerna le titre de « commissaire d’honneur »[3]. La Norvège ira même jusqu’à offrir un terrain à Tappert où il construira l’une de ses maisons [4].

Tappert s’installe ensuite à Gräfelfing près de Munich avec sa femme, Ursula (née Pistor), qu’il avait épousé en 1957. Horst Tappert a eu trois enfants (Karin, Ralph et Gary). Pendant son temps libre, Tappert fait de la pêche et de la chasse.

Le 13 décembre 2008, il décède dans une clinique de Munich. Il avait 85 ans [5].

Filmographie
Caricature de Horst Tappert dans son rôle d’Inspecteur Derrick

* 1958 : Die Trapp-Familie in Amerika
* 1958 : Helden (Arms and the Man), avec O. W. Fischer, Liselotte Pulver, Ellen Schwiers
* 1958 : Wir Wunderkinder, avec Hansjörg Felmy, Robert Graf, Johanna von Koczian
* 1959 : Der Engel, der seine Harfe versetzte, avec Nana Osten, Henry Vahl, Ullrich Haupt
* 1959 : Jacqueline, avec Johanna von Koczian, Walter Reyer, Götz George, Hans Söhnker
* 1959 : Das schöne Abenteuer, avec Liselotte Pulver, Robert Graf, Bruni Löbel
* 1960 : Ruf ohne Echo (téléfilm)
* 1961 : Zu viele Köche
* 1961 : Küß mich Kätchen, avec Peter Carsten, Harald Leipnitz, Christiane Maybach
* 1961 : Ein schöner Tag (téléfilm), avec Joachim Teege, Hugo Lindinger, Trude Hesterberg
* 1962 : Das Halstuch (téléfilm), avec Heinz Drache, Albert Lieven, Erica Beer, Eckart Dux
* 1962 : Er kann’s nicht lassen, avec Heinz Rühmann, Rudolf Forster, Grit Böttcher, Lina
Carstens
* 1963 : Das tödliche Patent (téléfilm), avec Wolfgang Preiss, Gisela Trowe, Siegfried Lowitz
* 1963 : Zwei Whiskey und ein Sofa, avec Maria Schell, Karl Michael Vogler, Robert Graf
* 1964 : Sechs Personen suchen einen Autor (téléfilm), avec Helmut Förnbacher, Robert Freitag
* 1964 : Der Aussichtsturm (téléfilm), avecClaudia Sorbas, Konrad Georg, Monika John
* 1964 : Leonce und Lena (téléfilm), avec Dieter Kirchlechner, Gertrud Kückelmann
* 1965 : Eine reine Haut (téléfilm), avec Herbert Fleischmann
* 1966 : Das ganz große Ding (téléfilm), avec Carl-Heinz Schroth, Brigitte Grothum
* 1966 : Ein Tag in Paris (téléfilm), avec Paula Denk, Ingeborg Solbrig, Peter Fröhlich
* 1966 : Der Kinderdieb (téléfilm), avec Isolde Bräuner, Lucie Mannheim, Walter Jokisch
* 1966 : Der Mann aus Melbourne (téléfilm), avec Herbert Stass, Alf Marholm, Roma Bahn
* 1966 : Der Schwarze Freitag (téléfilm), avec Curd Jürgens, Dieter Borsche
* 1966 : Jerry Cotton: Die Rechnung eiskalt serviert, avec George Nader, Heinz Weiss
* 1966 : Die Gentlemen bitten zur Kasse (téléfilm en trois parties), avec Hans Cossy, Günther
Neutze
* 1967 : Liebe für Liebe (téléfilm), avec Wolfgang Büttner, Helmut Griem, Klaus Löwitsch
* 1968 : Der Hund von Blackwood Castle, avec Heinz Drache, Karin Baal, Hans Söhnker
* 1968 : Heißer Sand auf Sylt, avec Charlotte Kerr, Renate von Holt, Axel Burg
* 1968 : Der Gorilla von Soho, avec Uschi Glas, Uwe Friedrichsen, Hubert von Meyerinck
* 1968 : Das Kriminalmuseum – Die Reifenspur (téléfilm)
* 1969 : Der Mann mit dem Glasauge, avec Karin Hübner, Fritz Wepper, Hubert von Meyerinck
* 1969 : Sieben Tage Frist, avec Joachim Fuchsberger, Konrad Georg, Karin Hübner, Petra
Schürmann
* 1970 : Sie tötete in Ekstase, avec Soledad Miranda, Fred Williams
* 1970 : Inspektor Perrak greift ein, avec Erika Pluhar, Judy Winter, Werner Peters
* 1970 : Und Jimmy ging zum Regenbogen, avec Alain Noury, Konrad Georg, Horst Frank
* 1971 : Bleib sauber, Liebling (The Love Keys), avec Reinhold Brandes, Helmut Braschm,
Hans-Werner Bussinger
* 1971 : Der Teufel kam aus Akasava, avec Fred Williams, Soledad Miranda, Siegfried Schürenberg
* 1971 : Der Kapitän (The Captain) , avec Heinz Rühmann, Johanna Matz, Ernst Stankovski, Horst
Janson
* 1972 : Der Todesrächer von Soho, avec Wolfgang Kieling, Barbara Rütting
* 1972 : Hoopers letzte Jagd (téléfilm), avec Max Mairich, Liselotte Pulver, Florian Halm
* 1973 : Eine Frau bleibt eine Frau (téléfilm), avec Lilli Palmer
* 1973-1998 : Derrick (série télévisée)
* 1974 Auch ich war nur ein mittelmäßiger Schüler, avec Jutta Speidel, Georg Thomalla, Rudolf
Platte
* 1987 : Cinématon n° 911 de Gérard Courant
* 2000 : Der Kardinal – Der Preis der Liebe – (téléfilm), avec Christine Reinhart, Enzo De Caro
* 2001 : In 80 Jahren um die Welt (téléfilm)
* 2003 : Herz ohne Krone – (téléfilm), avec Eleonora Brigliadori, Franco Nero, Jacques Breuer
* 2004 : Derrick – Die Pflicht ruft (Derrick – Le devoir n’attend pas !) – (avec les voix de
Tappert et Wepper)

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