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( 20 novembre, 2008 )

SOEUR EMMANUELLE-Décédée

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            SOEUR EMMANUELLE
                  1908 – 2008

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SOEUR EMMANUELLE
Biographie de SOEUR EMMANUELLE :
Religieuse (Française)
Née le 16 novembre 1908
Décédée le 20 octobre 2008 (à l’âge de 99 ans)
Sœur Emmanuelle, née Marie Madeleine Cinquin, souvent surnommée la « petite sœur des chiffonniers » ou « petite sœur des pauvres », est une religieuse et écrivain née le 16 novembre 1908 à Bruxelles (Belgique) et morte le 20 octobre 2008 à Callian (Var, France). Elle est connue pour ses œuvres caritatives en Égypte auprès des enfants et des plus démunis et est un symbole, dans l’opinion française, de la cause des déshérités[1]. Née de parents belges et français, elle posséde ces deux nationalités. En 1991, le président Moubarak lui a remis la nationalité égyptienne en remerciement de son œuvre au Caire.

A son entrée chez les religieuses de Notre-Dame de Sion, elle prend le nom de Sœur Emmanuelle mais se fait appeler Mère Emmanuelle par ses élèves. C’est sous ce nom qu’elle se fait connaître des médias et devient très populaire dans l’opinion publique, apparaissant régulièrement en tête des classements des personnalités préférées des français.

Madeleine Cinquin est née le 16 novembre 1908 d’un père français, originaire de Calais, et d’une mère belge, originaire de Bruxelles. Elle grandit dans une famille aisée de trois enfants ayant fait fortune dans la lingerie fine et partage ses jeunes années entre Paris, Londres et Bruxelles. En 1914, alors qu’elle n’a que six ans, elle est fortement marquée par la mort de son père, noyé sous ses yeux sur la côte d’Ostende. Cette expérience la traumatise profondément et lui fait se rapprocher de Dieu. Elle déclare que, dans son inconscient, sa vocation de religieuse date de cet accident.

Quelques années plus tard, Madeleine Cinquin souhaite aller à l’université catholique de Louvain mais sa mère s’y oppose car elle estime qu’elle y serait trop oisive. Elle remarque alors que sa fille fait preuve d’une certaine vocation pour le Christ et elle tente de l’en détourner en lui faisant rencontrer une supérieure d’un couvent de Notre-Dame de Sion à Londres. Ceci ne fait que renforcer ses convictions et accentue la quête de toute sa vie, l’aide à l’enfance malheureuse. Après avoir voulu initialement rejoindre les Filles de la Charité, Madeleine entre finalement comme postulante à la congrégation Notre-Dame de Sion le 6 mai 1929. Après des études de sciences philosophiques et religieuses, elle prononce ses vœux de religieuse le 10 mai 1931 et choisit le nom de Sœur Emmanuelle, qui signifie « Dieu avec nous » en hébreu.

La carrière d’enseignante de sœur Emmanuelle commence tout d’abord à Istanbul en Turquie, dans une école pour jeunes filles d’un quartier pauvre de la ville. Sœur Emmanuelle attrape alors la typhoïde et toutes les autres sœurs lui proposent leur sang afin de l’aider à combattre la maladie. Une fois rétablie, en guise de remerciement, sœur Emmanuelle donne une conférence sur la vie de Soliman le Magnifique et impressionne la directrice du collège, Mère Elvira, qui décide alors de l’affecter dans son établissement. Bien que celle-ci se soit engagée à affecter Sœur Emmanuelle chez les pauvres, elle la convainc qu’elle sera plus efficace si elle enseigne à des jeunes filles aisées, appelées à avoir un rôle influent dans la vie turque. Elle enseigne alors les lettres au Lycée Notre-Dame de Sion. Après la mort de sa supérieure, Sœur Emmanuelle ne s’entend pas avec sa remplaçante et elle est envoyée à Tunis.

De 1954 à 1959, elle enseigne en Tunisie pendant cinq ans où elle s’occupe de filles de français installés dans le pays mais ce nouveau poste ne lui convient pas. En pleine décolonisation du pays, les filles dont elle a la charge lui semblent plus superficielles et l’environnement général la fait doucement sombrer dans une dépression. Ce n’est qu’au bout de trois ans que les responsables de Sion se rendent compte de son état et se décident à la déplacer.

Après avoir décroché sa licence ès lettres à la Sorbonne à Paris, Sœur Emmanuelle est de nouveau affectée à Istanbul en 1959 pour une courte durée.

De 1964 à 1971, elle est envoyée en Égypte pour enseigner au collège de Sion à Alexandrie. Cette expérience s’avère de nouveau négative pour elle car les élèves dont elle est en charge sont peu ouverts sur la pauvreté. Elle décide donc d’arrêter d’enseigner la philosophie et s’occupe à la place des filles du quartier défavorisé de Bacos. C’est durant cet épisode qu’elle tombe amoureuse de l’Égypte.

En 1971, à l’âge de la retraite, elle décide de partir, à l’instar du Père Damien qu’elle vénère, s’occuper des lépreux au Caire mais doit renoncer face à des complications administratives car le lazaret se trouve en zone militarisée. Elle décide alors de partager la vie des plus démunis et, avec l’autorisation de sa congrégation, part s’installer à Ezbet-Al-Nakhl, un des bidonvilles les plus pauvres du Caire en Égypte, au sein de la communauté majoritairement copte chrétienne des zabbalines, chargée de la récupération des déchets. En collaborant avec plusieurs églises locales, elle parvient à établir une communauté et lance de nombreux projets de santé, d’éducation et de protection sociale visant à améliorer les conditions de vie.

En 1976, elle rencontre Sarah Ayoub Ghattas (sœur Sarah), alors supérieure de la congrégation copte-orthodoxe des Filles de Marie de Béni-Souef. Francophone et issue d’une famille de la bourgeoisie, elle obtient l’autorisation de l’évêque Athanasios, fondateur de la congrégation, pour rejoindre Sœur Emmanuelle à Ezbet-Al-Nakhl dont elle partage la cabane. En 1977, Sœur Emmanuelle publie son premier livre Chiffonnière avec les chiffonniers dans lequel elle raconte son combat. En compagnie de Soeur Sarah, elle part en 1978 aux États-Unis afin de récolter des fonds. A leur retour, avec l’argent amassé, elles peuvent investir et en 1980, le Centre Salam est inauguré par l’épouse du président Sadate et propose des dispensaires, des écoles, des jardins d’enfants, des centres de formation et un club social.

En 1982, après avoir confié la gestion d’Ezbet-Al-Nakhl à des jeunes religieuses de l’ordre des filles de Sainte-Marie, elle s’occupe des chiffonniers de Mokattam représentant, avec plus de 23 000 personnes vivant au milieux des détritus, la plus grande communautés de zabbalines du Caire. En 1984, Sœur Emmanuelle vient en aide à cinq familles pauvres et leur permet à chacune de se construire un abri, séparé du lieu où sont triés les déchets. Elle fera plus tard construire ce même type d’abris à plus grande échelle afin d’accueillir le plus de monde possible. Elle continue à utiliser son charisme afin de récolter des dons et mobiliser les pouvoirs. Elle permet de raccorder le bidonville à l’eau et l’électricité et poursuit la construction de nombreuses habitations et d’une usine de compost. En 1985, elle s’installe dans le bidonville de Meadi Tora puis se rend à Khartoum (Soudan) la même année pour créer des foyers, écoles, fermes-écoles et dispensaires.

En 1991, à l’occasion du cinquantenaire de la prononciation de ses vœux, le président Moubarak lui remet la nationalité égyptienne en reconnaissance de son œuvre en Égypte, . En 1993, à la demande de sa congrégation, Sœur Emmanuelle quitte définitivement l’Égypte et rejoint sa communauté en France. Sœur Sarah dirige alors l’ entreprise caritative et continue seule le développement du bidonville de Mokattam. Depuis, un lycée pour filles a été créé grâce à l’opération Orange et des écoles techniques ont été ouvertes pour les garçons. Un hôpital a même été construit grâce au prince Albert de Monaco. En 22 années de présence, l’œuvre de Sœur Emmanuelle a permis de scolariser 85 % des enfants, de faire diminuer la violence et de permettre aux femmes de se libérer.

A son retour en France, Sœur Emmanuelle continue de se battre pour plus de solidarité. Elle écrit des livres, rencontre des jeunes dans les lycées et les écoles, s’occupe également de l’association Les Amis de Paola à Fréjus en aide aux SDF et donne des conférences aux côtés de son association pour sensibiliser le public à l’engagement solidaire.

Parallèlement, Sœur Emmanuelle continue à donner « un souffle » à son association. Elle lui transmet ses principes d’actions qui sont chaque jour mis en pratique sur le terrain. « éduquer un homme c’est éduquer un individu, éduquer une femme, c’est éduquer un peuple ».

En 1995, avec Geneviève de Gaulle-Anthonioz, elle est à l’origine de l’orientation de la campagne présidentielle de Jacques Chirac sur le thème de la fracture et de l’exclusion sociale.

Le 1er janvier 2002, Sœur Emmanuelle est promue par Jacques Chirac au grade de commandeur de la Légion d’honneur avant d’être élevée, par Nicolas Sarkozy, le 31 janvier 2008 grand officier de la Légion d’honneur. En Belgique elle devint en 2005 grand officier dans l’Ordre de la Couronne.

Depuis 1993, elle vivait dans une maison de retraite de Callian dans le département du Var, où elle est morte le 20 octobre 2008 à l’âge de 99 ans. Soeur Emmanuelle aurait fêté ses 100 ans le 16 novembre 2008.

Afin de poursuivre son œuvre à plus grande échelle, Sœur Emmanuelle a fondé l’association « Les Amis de Sœur Emmanuelle » et la « fondation Sœur Emmanuelle ».

Afin de la soutenir dans son œuvre, de développer des actions humanitaires en Egypte et dans d’autres pays comme le Sénégal, le Liban, le Soudan, etc, et d’assurer sa relève, Sœur Emmanuelle a fondé deux associations, Les Amis de sœur Emmanuelle en 1980 et ASMAE et 1985, qui ont fusionné en 1987.

Sœur Emmanuelle était une personnalité très aimée de l’opinion publique en raison de son engagement humanitaire, de sa personnalité, de son caractère exubérant et de son franc-parler, souvent en contraste avec le ton employé par l’Église ou la simplicité d’autres religieux comme l’Abbé Pierre ou Mère Teresa qui s’étaient eux aussi engagés en faveur de plus pauvres et bénéficiaient d’un fort soutien populaire.

Elle était très médiatisée depuis son passage en 1990 à l’émission La Marche du siècle de Jean-Marie Cavada et s’était construite une image caractéristique avec sa blouse, son fichu, ses baskets noires et son habitude de tutoyer les journalistes.

Œuvres écrites par Sœur Emmanuelle

* Sœur Emmanuelle, Chiffonnière avec les chiffonniers, préf. de Jean-Marie Cavada, Editions de
l’Atelier, 1989 et 2007 (ISBN 978-2708239005)
* Sœur Emmanuelle, Une vie avec les pauvres, Editions de l’Atelier, 1991 (ISBN 978-2708228979)
* Sœur Emmanuelle, Yalla, en avant les jeunes, LGF – Livre de Poche, 1999 (ISBN 9782253145677)
* Sœur Emmanuelle, Un pauvre a crié, le Seigneur l’écoute, Emmanuel, 2005 (ISBN 978-2915313505)
* Sœur Emmanuelle, Les mots du Rosaire, Actes Sud, 2001 (ISBN 978-2742734429)
* Sœur Emmanuelle, Agenda 2009. Une année avec Sœur Emmanuelle, Presses de la Renaissance, 21
août 2008 (ISBN 978-2750904364)
* Sœur Emmanuelle, 365 Méditations de Sœur Emmanuelle, Presses de la Renaissance, 09 octobre
2008 (ISBN 978-2750904357)
* Sœur Emmanuelle, Je Te Salue Marie, Elytis, 15 octobre 2008 (ISBN 978-2356390073)
* Sœur Emmanuelle, Les Confessions d’une religieuse, Flammarion, 22 octobre 2008 (ISBN
978-2082125192)

Œuvres en collaboration avec Sœur Emmanuelle

* Sofia Stril-Rever, Matthieu Ricard, Enfants du Tibet : De cœur à cœur avec Jetsun Pema et Sœur
Emmanuelle, préf. de Sœur Emmanuelle, Desclée de Brouwer, 2000 (ISBN 978-2220048109)
* Sœur Emmanuelle, Edmond Blattschen, L’Evangile des chiffonniers, Alice, 2000 (ISBN
978-2930182308)
* Sœur Emmanuelle, Philippe Asso, Richesse de la pauvreté, Flammarion, 2001 (ISBN 9782082100540)
* Sœur Emmanuelle, Marlène Tuininga, Jésus tel que je le connais, J’ai lu, 2003 (ISBN
9782290328736)
* Sœur Emmanuelle, Philippe Asso, Vivre, à quoi ça sert ?, Flammarion, 2004 (ISBN 9782082103411)
* Sœur Emmanuelle, Marlène Tuininga, Le Paradis, c’est les autres, J’ai lu, 2004 (ISBN
9782290343159)
* Sofia Stril-Rever, Sœur Emmanuelle, La Folie d’Amour. Entretiens avec Sœur Emmanuelle,
Flammarion, 2005 (ISBN 978-2082105286)
* Sœur Emmanuelle, Jacques Duquesne, Annabelle Cayrol, J’ai 100 ans et je voudrai vous dire…,
Plon, 20 août 2008 (ISBN 978-2259209212)

Œuvres consacrées à Sœur Emmanuelle

* Pierre Lunel, Sœur Emmanuelle, la biographie, préf. de Bernard Kouchner, Anne Carrière, 2006 (
ISBN 978-2843373640)
* Sofia Stril-Rever, Sœur Emmanuelle, Mille et Un bonheurs : Méditations de Sœur Emmanuelle,
Carnets Nord, 2007 (ISBN 978-2355360046)

Distinction

* 1980 : Ordre du Mérite
* 1987 : doctorat honoris causa de l’université catholique de Louvain
* 1991 : Remise de la nationalité egyptienne par le Président Moubarak en remerciement de son
oeuvre
* 1993 : Officier de l’Ordre de Léopold (Belgique)
* 1995 : Médaille d’Or de l’Académie de Médecine
* 1996 : Officier de la Légion d’Honneur
* 2002 : Commandeur de la Légion d’Honneur (France)
* 2005 : Grand officier dans l’Ordre de la couronne (Belgique)
* 2008 : Grand officier de la Légion d’Honneur (France)

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( 9 novembre, 2008 )

Miriam MAKEBA-Décédée

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Miriam MAKEBA-Décédée

Miriam MAKEBA – 09-11-2008
La chanteuse sud-africaine Miriam Makeba, symbole de la lutte anti-apartheid, est décédée d’une crise cardiaque, dimanche soir. Elle avait 76 ans et toujours l’envie de lutter contre l’injustice, les inégalités, le racisme. Elle venait de chanter pour soutenir Roberto Saviano, l’auteur du film Gomorra, menacé de mort par la Mafia napolitaine. Le concert se déroulait dans la commune italienne où six immigrés africains et un Italien avaient été abattus, en septembre, dans des conditions encore obscures.
Miriam Makeba est née à Johannesburg, le 4 mars 1932, d’une mère Swazi et d’un père Xhosa. Elle se chauffe déjà la voix quand l’Afrique du Sud bascule aux mains des nationalistes afrikaners en 1947. Le pouvoir la déchoit de sa nationalité pour avoir participé, en 1959, au film-documentaire Come Back Africa sur la ségrégation, réalisé clandestinement par le Sud-Africain Lionel Rogosin. Elle a 27 ans et entame alors trente et un ans d’exil et de tournées, de joies et de souffrances.
Voix convoitée du groupe The Manhattan Brothers, Miriam Makeba décroche le succès avec Pata Pata, en 1962, une chanson reprise notamment par Sylvie Vartan sous le titre Tape Tape. En 1965, elle est la première femme noire à obtenir un Grammy Award, partagé avec le chanteur Harry Belafonte pour leur disque commun, An Evening with Harry Belafonte and Miriam Makeba. Quatre ans plus tard, elle épouse Stokely Carmichael (divorce en 1973), l’un des chefs des Black Panters américains, figure controversée de la lutte pour les droits civiques. Cela vaudra à la chanteuse des ennuis avec la justice américaine.
Elle doit s’exiler, encore, vers des terres amies. Elle obtiendra un titre de citoyenneté honoraire dans dix pays, dont la France. Et c’est avec un passeport français qu’elle est retournée en Afrique du Sud en 1991, à la demande de Nelson Mandela. Dans son album Homeland (2000), elle chante la joie d’être rentrée. « J’ai conservé ma culture, j’ai conservé la musique de mes racines. Grâce à elle, je suis devenue cette voix et cette image de l’Afrique et de son peuple sans même en être consciente », avait écrit, dans son autobiographie, celle que tout le monde surnommait « Mama Africa ».
(© Christelle GUIBERT – )

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Miriam Makeba (4 Mars 1932-10 novembre 2008)  était un chanteur de l’Afrique du Sud et militant des droits civiques. L’artiste gagnante du prix Grammy est souvent appelé Mama Afrika.

Premières années
Zenzile Miriam Makeba est né à Johannesburg en 1932. Sa mère était une Swazi sangoma et son père, décédé alors qu’elle était six, était un Xhosa. Enfant, elle chante à l’Institut de formation de Kilmerton à Pretoria, auquel elle a participé pendant huit ans.

Makeba tout d’abord fait des tournées avec un groupe d’amateur. Sa carrière a commencé dans les années 1950 avec les Frères de Manhattan, avant elle a formé son propre groupe, les Alouettes, chantant un mélange de mélodies de jazz et traditionnels d’Afrique du Sud.

En 1959, elle a dansé dans la musique King Kong aux côtés de Hugh Masekela, son futur mari. Si elle était un artiste d’enregistrement réussie, elle recevait seulement quelques dollars pour chaque séance d’enregistrement et aucune redevance provisoire et était désireux d’aller aux États-Unis. Sa pause est venu quand elle avait l’apparence d’une court invité dans l’anti – l’apartheid documentaire Come Back, Afrique en 1959, par le cinéaste indépendant Lionel Rogosin. La courte cameo ont fait une énorme impression sur les téléspectateurs et Lionel Rogosin a réussi à organiser un visa pour elle de quitter l’Afrique du Sud et d’assister à la première du film au Festival de Venise.

Exil

Makeba s’est ensuite rendu à Londres où elle rencontre Harry Belafonte, qui lui a aidé à obtenir l’entrée et à la renommée aux États-Unis. Elle a publié bon nombre de ses plus célèbres hits il notamment « Pata, Pata », « Song cliquez sur le » (« Qongqothwane » en Xhosa) et « Malaika ». En 1966, Makeba a reçu le Prix Grammy pour Meilleur enregistrement de folk avec Harry Belafonte, pour Une soirée avec Belafonte/Makeba. L’album traite le sort politique des sud-africains noirs sous l’apartheid.
Elle a découvert que son passeport en Afrique du Sud a été révoqué lorsqu’elle a essayé réintégraient en 1960 pour les funérailles de sa mère. En 1963, après de témoigner contre l’apartheid devant les Nations Unies, sa nationalité en Afrique du Sud et son droit de retourner dans le pays ont été révoqués. Elle a eu des neuf passeports,  et a obtenu la citoyenneté honoraire de dix pays. 
Son mariage avec le militant des droits civiques Trinidad et Comité de coordination non violente des étudiants leader Stokely Carmichael dans la controverse de 1968 causés aux États-Unis et son enregistrements des transactions et visites ont été annulés. À la suite de cela, le couple s’installe à la Guinée, où ils sont devenus étroite avec le Président Ahmed Sékou Touré et son épouse.  Makeba séparé de Carmichael en 1973 et il a continué d’exercer principalement en Afrique, en Europe et en Amérique du Sud. Elle figurait parmi les artistes africains lors du match de Rumble dans la jungle 1974 entre Muhammad Ali et George Foreman, qui s’est tenue au Zaïre. Makeba a également servi comme délégué guinéen à l’Organisation des Nations Unies, pour lequel elle remporte le prix de la paix Dag Hammarskjöld en 1986.
Après la mort de sa fille seule Bongi Makeba, en 1985, elle s’installe à Bruxelles. En 1987, elle fait de Paul Simon Graceland tournée. Peu de temps après, elle publie son autobiographie Makeba : mon histoire (ISBN 0-453-00561-6). 

De retour en Afrique du Sud

Nelson Mandela persuadé son retour en Afrique du Sud en 1990. En novembre 1991, elle a un aspect invité dans un épisode de The Cosby Show, dans l’épisode « Olivia Comes Out Of The Closet ». En 1992, elle joue dans le film Sarafina!, sur les 1976 soulèvements de jeunes de Soweto, comme mère du personnage, « Angelina. » Elle a également pris part dans le documentaire 2002 Amandla!: une révolution en harmonie Four-Part où elle et d’autres rappelle l’époque de l’apartheid.

Le 16 octobre 1999, Miriam Makeba a été nommé Ambassadeur de bonne volonté de l’ alimentation et l’agriculture (FAO) de l’Organisation des Nations Unies.  En janvier 2000, son album, intérieure, produit par Cedric Samson et Michael Levinsohn  a été mis en nomination pour un Grammy Award dans la catégorie « Best World Music ».  En 2001 elle a reçu la Gold Otto Hahn Médaille de la paix par l’Organisation des Nations Unies Association d’Allemagne (DGVN) à Berlin, « pour des services exceptionnels à la paix et de la compréhension internationale ». En 2002, elle partage le Prix de musique polaire avec Sofia Gubaidulina. En 2004, Makeba a été voté 38e dans Top 100 grand sud africains. Makeba a commencé une tournée d’adieu dans le monde en 2005, organiser des concerts dans tous ces pays qu’elle s’est rendu au cours de sa vie de travail.
Son publiciste note que Makeba avait subi « arthrite grave » pendant un certain temps. 
Elle et les membres de la famille étaient basés à Northriding, de Gauteng, au moment de son décès.

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 Mort
Le 9 novembre 2008, elle devient malade tout en participant à un concert organisé à l’appui d’écrivain Roberto Saviano dans sa position contre la Camorra, une organisation de mafieux locale de la région de la Campanie. Le concert a été détenu à Castel Volturno, près de Caserta, Italie. Makeba a subi une crise cardiaque après son chant hit « Pata, Pata » et a été prise à la clinique de la « Grande Pineta » où les médecins n’ont pas reprendre son. 

Discographie 
Albums studio
Miriam Makeba : 1960 – RCA LSP2267
Les nombreuses voix de Miriam Makeba : 1960 – Kapp KL1274
Le monde de Miriam Makeba : 1963 – RCA LSP2750
Makeba : 1964 – RCA LSP2845
Makeba chante : 1965 – RCA LSP3321
Une soirée avec Belafonte/Makeba (avec Harry Belafonte): 1965 – RCA LSP3420
La magie des Makeba : 1965 – RCA LSP3512
La magnifique Miriam Makeba : 1966 – mercure 134016
Tous les propos de Miriam : 1966 – mercure 134029
Miriam Makeba en concert! : 1967 – reprise RS6253
Pata, Pata : 1967 – reprise RS6274
Makeba! : 1968 – reprise RS6310
Vivre à Tokyo : 1968 – reprise SJET8082
Garder Me In Mind : 1970 – reprise RS6381
Une promesse : 1974 – RCA YSPL1-544
Vivre À Conakry – Appel A L’Afriqu : 1974 – Sonodisc SLP22
Miriam Makeba & Bongi : 1975 – Sonodisc SLP48
Vivre à Paris : 1977 – CD6508
Pays Girl : 1978 – Sonodisc ESP165518
Comme Une Symphonie d’Amour : 1979
Digium : 1988 – Warner Bros., 25673
Welela : 1989 – Gallo CDGSP3084
Yeux le demain : 1991 – Gallo CDGSP3086
Chante la chanson Me A: 1993 – CDS12702
Patrie, 2000 – Putumayo PUTU1642
La Collection définitive, girelle Records – 2002
De la petite enfance, girelle Records – 2002
Vivre à Berns hits, Stockholm, Suède, 1966 : 2003 – Gallo Music GWVCD-49
Reflétant, 2004 – Gallo Music GWVCD-51
Makeba Forever, 2006, Gallo Music CDGURB-082
[Modifier] Compilations
La Reine de la musique africaine – 17 chansons grands, 1987
Enregistrements de 1960-1965 Afrique, 1991
Yeux le demain, 1991
Le meilleur de Miriam Makeba & les Alouettes : enregistrements de 1956-1959, 1998
Mama Africa : The Very Best Of Miriam Makeba, 2000
Les années de la Guinée, 2001
La Collection définitive, 2002
Le meilleur de la petite enfance, 2003

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( 4 novembre, 2008 )

Byron Lee -Décédé

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 Byron Lee -Décédé

Byron Lee

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Biographie OD Byron Lee, JO  (né Byron Aloysius St. Elmo Lee, 27 juin 1935, Christiana, Manchester, Jamaïque, est décédé le 4 novembre 2008, à Kingston, en Jamaïque) est un musicien, producteur de disques et entrepreneur, mieux connu pour son travail comme chef de file de Byron Lee et le Dragonaires
Biographie
Lee est né à Christiana dans la paroisse de Manchester à une mère Afro-Jamaïque et d’un père chinois (un enseignant de langue) à l’origine de Kowloon, Hong Kong.  Sa mère était Auchtembeddie, où mento et junkanoo étaient des formes musicales populaires et sa famille a activement maintenu les traditions culturelles et musicales de leurs ancêtres africains.  La famille s’installe dans la région de Mountain View jardins de Kingston lorsque Lee était environ 8 ou 9.  Il a appris à jouer le piano dans une école de Mandeville, mais mis la musique en attente lorsqu’il est devenu un membre de l’équipe jamaïcaine de football.  Il enseigne lui-même à jouer basse sur un instrument de fabrication artisanale, et autour de 1950, avec son ami Carl Brady, il forme la première incarnation de la Dragonaires, nommé d’après l’équipe de football du Collège qui ils ont joué, à ce moment-là, se concentrant sur le mento. La bande professionnels en 1956 et est devenus une des bandes ska leaders de la Jamaïque, poursuit depuis et dans les autres genres comme calypso, SocA et MAS. 

En fin de 1959 ou de 1960 Byron Lee sait ont introduit la basse électrique à la Jamaïque. Cependant, la raison Lee ont commencé à utiliser le électrique basse par opposition à son homologue monologue n’avait rien à voir avec son. Plutôt, c’était un moyen de Lee éviter de transporter la mise sur pied basse, grande et lourde, le camion passer de gig de gig. La guitare basse rapidement gagné en popularité dans tout le pays et est rapidement devenu la norme. Plus fort, plus clair de la basse électrique et plus votre visage sonore bientôt changé tout son de la musique jamaïcaine entièrement, surtout après Skatalites bassiste Lloyd Brevett a pris un goût pour elle.

Lee a également travaillé comme producteur, d’entre les singles ska par The Maytals, production et ses compétences en entrepreneuriat conduit à lui mise en place de la tournée De Byron Lee Show spectaculaire, qui comportait plusieurs actes jamaïcaines (y compris The Maytals) tournée des Caraïbes. Il est aussi devenu le chef de la distribution en Jamaïque pour Atlantic Records. Lee a acheté les studios d’enregistrement de West Indies Records Limited (WIRL) de Edward Seaga après que incendie a détruit l’usine de pressage sur le même site et rebaptisé Dynamique Sounds, avoir bientôt une nouvelle usine de pressage construite sur le site. Il devint rapidement un des studios mieux équipés dans les Caraïbes, attirer les deux artistes locaux et internationaux d’enregistrement, notamment Paul Simon et les Rolling Stones.  Les productions de Lee comprennent Boris Gardiner Reggae Happening, Hopeton Lewis de liquidation sur la vie et Le producteur ‘ « Johnny Too Bad ».  Dynamique agit également comme l’un de la Jamaïque grands distributeurs Records.

Lee a inauguré en 1990, ce qui est devenu un événement annuel, le Carnaval de Jamaïque Byron Lee, qui s’est tenue sur le chemin de printemps constant et assisté par des centaines de milliers de personnes qui unissait les résidents « uptown » et « centre-ville » de Kingston, un événement que Lee appelle « le moment le plus heureux dans ma vie ».  Lee avait effectué avec le Dragonaires à carnavals autour des Caraïbes depuis le milieu des années 1970 et a choisi l’emplacement pour le Carnaval attirer les fêtards de toutes les classes de la Jamaïque, indiquant « le plus gros problème est que la plupart des Jamaïcains dit il marcherait, qu’il n’est pas un pays de carnaval, mais je persiste parce que j’ai cru qu’il. J’ai voulu carnaval d’aller au public. Vous aviez toujours autres carnavals qui ont eu lieu principalement l’intérieur, où les personnes devaient payer pour obtenir. Je suis allé au peuple et choisissez Half-Way arbre où uptown et répondre au centre-ville. C’est où la route restera ».  Alors que dans les premiers jours de ska, Lee a été créditée à prendre dans les ghettos et lui donnant un appel entre la Jamaïque « uptown » – et supérieur-classes moyennes, il a été crédité de prendre soca dans la direction opposée, popularise un genre qui auparavant seulement été jouissait en Jamaïque parmi les classes supérieures, avec la classe ouvrière de le île. 

Lee a manqué le Carnaval de la Jamaïque en 2007 qu’il recevait un traitement pour le cancer de la vessie après une intervention chirurgicale en Floride et n’est plus apparu sur scène avec le Dragonaires, même s’il était toujours impliqué dans la gestion de la bande et a participé avec le festival de nouveau en 2008. Un concert a eu lieu en son honneur le 30 juin 2007, pour célébrer ses 50 ans dans l’industrie de la musique, avec des artistes effectuant notamment des survivants du cancer collègues Myrna la Haye et Pluto Shervington.  Produit s’est rendu à la société du cancer de la Jamaïque. 

Lee a reçu l’ Ordre de la distinction en 1982, mis à jour au niveau du commandant le 15 octobre 2007, en reconnaissance de sa « contribution dans les domaines de musique et de divertissement tant à l’échelon local et international ». 

En octobre 2008, après avoir reçu le traitement pendant plusieurs semaines en Floride, Lee retourné à dépenser ses derniers jours en Jamaïque. Lors d’une cérémonie à l’hôpital de l’Université des Antilles le 26 octobre 2008, il a reçu l’ordre de la Jamaïque (JO).  Lee est décédé le 4 novembre 2008, âgé de 73 ans.  Dans une déclaration, le jour de la mort de Lee, a déclaré le premier ministre de la Jamaïque, Bruce Golding, « la Jamaïque et du monde, a perdu un autre pionnier de la grande musique avec l’adoption ce matin de Byron Lee, un des plus grands leaders bande jamais pour les stades de divertissement du monde ». 

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