FRANCO-Décédé
FRANCO-Décédé
FRANCO
Rep.Dem.Congo (ex-Zaïre)
Lokanga Ndju Lwambo Makiadi François de boulons né 06 juillet 1938 Sono-Bata, dans la province du Bas-Congo. La mort de son père en 1949, sa mère, Hélène Mbongo décide de s’installer à Kinshasa avec leurs trois enfants, jeunes François Lwambo, sa sœur Marie-Louise et son frère Siongo. Aller pour vivre Bosenge rue n ° 90 dans la municipalité de Ngiri-Ngiri. La destination sera beaucoup de choses, qui vivait dans la parcelle du père de Paul Ebengo, alias « Dewayon » qui devrait être plus plus tard à la personne que vous souhaitez ouvrir les portes de la musique pour les jeunes Lwambo.
À l’âge de 10 ans, Luambo Francois est un orphelin de père sans soutien, il quitte l’école à l’école primaire 3e et est dédié à la vie de la rue de la même façon que les autres jeunes de son âge. Allez à vivre les réalités de la rue avec leurs tourments, sa violence et leurs ambiguïtés.
Grâce à l’aide d’un camarade, découvrir les vertus de l’harmonica, cet instrument laissera pas ses lèvres déjà. Comme Tanto Luambo encore aider sa mère dans le travail sur le marché.
Sans les connaissances de base et de la culture musicale à l’âge de quinze ans, déjà enregistrements avec sa voix innocente et mal contrôlée chansons avec l’Orchestre de Waton de Dewayon de groupe qui avaient leurs présentations chaque barre de Kanza samedi bar.
Nous sommes dans les années 1950, la musique cubaine a pris l’amplitude avec présence grec, espagnol et portugais cette émission, puis le grand construit par le territoire de la Belgique administré, station de radio draine ménages cette musique. Musique de l’Amérique latine déballé rythmes mérengué, pachanga le grand plaisir des amateurs des musique
En 1953, neveu de la future Malula, cardinal José Kabasele lance aujourd’hui, à Kinshasa de Léopoldville son l’Orchestre de jazz africaine est l’événement culturel de l’époque. Kalle grand est nommé musique, Kalle innove en associant des instruments à vent de plagiat des rythmes latino-américains, Léopoldville est sous le charme de cet orchestre qui révolutionne la musique du moment. Son orchestre jouiront d’un monopole sur la musique congolaise. Diversifie son répertoire, tous les Léopoldville ville est sous le charme du jazz africaine qui vole de succès succès.
Pendant ce temps, Luambo Franco est caché. Contrairement à Kalle, décide d’imposer son style. En 1956, le 6 juin à Léopoldville, l’annonce est faite à un point dans la ville, vient de lancer un nouvel orchestre, Franco décide de créer un groupe de musique grâce à la contribution de certains musiciens congolais comme Pandy Saturnin (tombe), Daniel Loubelo, la lune (guitariste) j. Serge Essous (SAX), ils sont met d’accord sur la création d’un nouveau style. Ainsi est né l’Orchestre « OK Jazz », faire connaissance avec m. Oscar Kashama, elle accule et décide de les prendre dans sa barre.
En 1957, après la défection de plusieurs musiciens comme Serge Essous qui formeraient l’Orchestre STA – Mambo, autres musiciens congolais seraient Célestin Nkouka et Edo Nganga. Franco, explique ainsi dans le monde musical de la capitale, devient plus célèbre. Lutumba, Kwamy et bientôt Verkys Kiamanguana Mateta, ainsi que van Youlou Mabiala Michel Boyibanda dans les cheveux qui feront de la gloire de OK nombre de musiciens de jazz.
Titres tels que « Mboka paya mo passion », « Yamba ngai na leo », « Mobali déjà ouilleur », sont le signe de la réussite. OK Jazz est devenu à la mode de l’orchestre.
Autres chansons avec beaucoup de succès occupera la première place, « Numéro ya Kinshasa », « Bakabolaka bolingo bouée vous », « Dodo thon motema », « Ngai Marie Nzoto Ebeba », « MBanda mwasi na j’alingi ngai ».
Dans les deux dernières décennies (70-80 et 80-90), Luambo makiadi est au sommet de la musique. Brille comme une étoile dans le firmament des Congolais et musique africaine même. Louange pleuvait partout, vos disques sont vendus comme le pain dans tous les pays du continent. Les mouches de succès en succès. C’est l’apothéose.
Dans les années 1970 va signaler un changement majeur de direction dans la vie de l’orchestre. Réputation de Sam Magwana, Dizzy Mandjeku, membre de la Josky Ntesa Dalienst, Jo Mpoy, musiciens Ndombe Opetum Pépé et d’autres viennent pour agrandir les lignes de l’orchestre. Venir à ajouter Youlou, Boyibanda, Isaac Muzikiwa Dessoin, Decca, Simaro, pour former le grand jazz OK à beaucoup plus de l’Orchestre de l’audit.
Déjà les musicologues conservent et observent deux styles de musique sont opposés. Une tenue par jazz africaine est Kalle dont disciple fidèle sera école du Seigneur Tabu Loi Rochereau. Un autre style est imposé par franco. Parle sur l’avenir de deux écoles : un créé par Kalle et un créé par franco. Et ces deux styles de musique qui sera imposée pour les années à cette période.
N’oubliez pas que la disparition de jazz africaine en 1963, de cette Rochereau et Nico qui tentent de défendre l’emblème de son style. Viennent ensuite ajouter Janot Bombenga mais transitoirement. Toujours dans les années 1970, les autres orchestres tentent de faire face aux OK jazz, est fondée par dewayon (un des initiateurs du franc), Kobantou Congo Johnny Bokelo succès frère dewayon, noir succès Bholen et Marie Bavon-Marie (le frère de Franco qui vont mourir dans un tragique accident), le trio Sosolisso Madjesi. Tous ceux qui sont exprimées dans le style de Franco. Rumba pure et agressif.
Multiplie les concerts dans le pays et même vers l’extérieur. Pays tels que la Zambie, Kenya, Gabon, Congo, toute l’Afrique il recevra un roi, contrats pleuvoir, invitations sont multipliés, multiplie les investissements, les investissements de propriété, car il va créer son « Un-deux-trois » complexe dans la région de Kasavubu, acheter une maison de gros dans la région de Kinshasa avec piscine, enregistrement studio et terrain de jeux pour vos enfants, dont la plupart poursuivent leurs études ou vivant en Europe. Belgique, acquiert un chalet dans la banlieue résidentielle de Bruxelles, Rhode-Saint-Genèse. Suppose des jeunes compatriotes défavorisés et les envoie à l’étude de la Belgique. Votre compte bancaire est fourni, et leur générosité n’est pas absence.
En 1982, choisir d’installer en Europe avec tous ses musiciens pour une période indéterminée, mais dans le même temps, la création de nouvelles structures pour l’enregistrement, de promotion et de production de disques. Parfois à Paris, parfois à Bruxelles, arraza de succès avec des chansons comme « Non », « Très fâché », « Mamou », « Makambo nazali bourreau », « Tres impoli », « te lire au DG », « Mario ».
En 1983, le grand maître rend aux États-Unis pour une grande tournée, qui confirme sa célébrité pour les Américains. Communauté américaine négra qu’il salue chaleureusement.
Fait important, qui mettent en évidence, exploite son séjour européen d’enregistrer en duo avec Rochereau concurrent toujours: « Lisanga déjà banganga », « Hommage à grand Kalle » et « Ngungi » et puis en 1985, après plusieurs années d’absence, décide de retourner à Kinshasa. La ville et ses amateurs de musique vous réservé une réception à la hauteur de sa taille. À sa résidence à l’aéroport de Ndjili éloignés de moins de 20 km, des foules Kinshasa est apostan à contempler le héros.
Mais bientôt se font sentir retourne dans son pays, appels provenant d’autres pays. Franco a célébré lorsque décerné or comme le couronnement de sa maracas production phonographique considérable. Cette reconnaissance est rapidement suivie par le disque d’or pour sa chanson « Mario ».
Complètement qu’en succès, le grand maître de la musique africaine Luambo sommet.
En 1988, en présentant Perte de mémoire, dolores, reins, mal ne pouvait pas rester plus de mal que corroía il dedans. De nombreux médecins s’exécutera son en-tête sans pouvoir rechercher un diagnostic de sa maladie. Au début de l’année 1988, rétablit le voyage à Bruxelles pour faire une analyse et pour trouver la cause de sa maladie. ses partisans sont remplis de nombreux doutes. Sa famille et son homme de collègues ont été prises par angoisse. Franco est touché par le sida. Mais en dépit du mal qui érode les forces pour enregistrer ses dernières chansons soutenus par la voix de Sam Mangwana et d’autres musiciens qui se trouvent dans Bruxelles., médecins ce hospitalisé à l’Hôpital Mont-Godinne, non loin de la ville de Namur (Belgique), enfin . Dans la matinée du jeudi 12 octobre 1989, franco meurt à Namur (Belgique) une maladie longue et douloureuse.
Mano Radio Caraïbes
http://www.manoradiocaraibes.com
http://martelkapale.unblog.fr/
Portable:0696919145
Portable:0696840553